Saint Brice
Noël, c'est une occasion privilégiée pour échanger vœux et présents. Noël c'est ce merveilleux temps de l'année où il fait si bon partager avec les êtres chers. Noël c'est une foule d'émotions extraordinaires. Que Noël de cette année apporte à tous des joies par milliers. Le plus heureux des Noëls !
Que Noël soit l'annonce d'un bonheur grandissant dans la joie et la paix. Que la paix et la joie de cette Fête soient avec vous tous les jours de l'Année nouvelle.
Puisse chacun de vous trouver, grâce à la magie de la fête de Noël, l'étoile infaillible de la foi qui le guidera vers la lumière, la paix, la vérité, et, surtout, l'amour universel, à l'exemple des Rois mages en cette nuit de la Nativité... et à l'exemple de vous-même, qui œuvrez quotidiennement pour la gloire de Dieu. À l'aube du Nouvel An, acceptez de tout cœur mes vœux les plus chaleureux pour une année exceptionnelle. A Nouvel An, nouvel élan. C'est une nouvelle Année qui commence. Qu'elle vous apporte la joie, l'amour, la paix, la santé. Soyez heureux pour toujours.
Meilleurs vœux
Votre Curé
Père Gilbert NZENZEMON
Pour préparer et fêter Noël,
La paroisse Saint Brice vous invite à la célébration pénitentielle à l’église de Thaon
Le lundi 15 décembre 2014 à 18h30.
Grands et petits, nous avons tous besoin du pardon de Dieu car dit le prophète Isaïe :
« Fortifiez les mains défaillantes, affermissez les genoux qui fléchissent, Dites aux gens qui s’affolent : Prenez courage, ne craignez pas. Voici votre Dieu ! Il vient pour vous sauver ».
Venez célébrer la miséricorde de notre Dieu.
P. Gilbert NZENZEMON
L’Avent : retrouver au fond de soi tout ce qui attend d’être sauvé, se tourner vers le Christ qui viendra un Jour dans sa gloire mais qui, déjà, est là et nous attend. « Se tourner » vers le Christ est ce qu’on appelle « se convertir ». L’Avent est temps de conversion. Et temps d’espérance.
La paroisse vous propose un temps de réflexion et de partage qui sera animé par M. l’Abbé Jean-Pierre VUILLEMIN, du diocèse de Saint-Dié le VENDREDI 5 DECEMBRE A 20H00 A LA SALLE PAROISSIALE DE THAON ; 4 rue de Lorraine -Thaon.
P. Gilbert NZENZEMON
MERCI DE VOTRE COMPREHENSION.
P. Gilbert NZENZEMON
MESSE DE LA TOUSSAINT ET DES MORTS PAROISSE SAINT BRICE DE THAON LES VOSGES
Samedi 1er novembre 2014
- _ 9h30 : Messe à Girmont
- _ 10h00 : Messe à Thaon
- _ 11h00 : Messe à Chavelot
Dimanche 2 novembre 2014 - _ 10h00 : Messe à Thaon
P. Gilbert NZENZEMON
Par cette fête, célébrée le 1er novembre, une des très grandes solennités de l’année liturgique (avec Noël, Pâques, l’Ascension, la Pentecôte, l’Assomption de Vierge Marie), l’Eglise donne à ses membres d’honorer la foule innombrable et anonyme de ceux qui, ayant achevé leur parcours terrestre, partagent désormais la vie, le bonheur, la sainteté de Dieu. Ils sont intimement plus nombreux que ceux que l’Eglise, après les avoir béatifiés ou canonisés, honore nommément comme des témoins exemplaires de la foi. Mais ils n’ont pas suivi d’autre chemin : ils se sont comportés en enfants de Dieu, portés par l’espérance d’être un jour accueillis par lui comme leur Père, et s’efforçant de leur mieux, pour ce faire, de se comporter selon l’esprit des béatitudes évangéliques.
Le 2 novembre nous célébrons tous les fidèles défunts. La conviction que les vivants ont à prier pour les morts s’est établie dès les premiers temps du christianisme. Sans doute le langage humain est-il tout à fait inadapté à l’évocation de la situation des défunts, qui échappent désormais à nos notions de temps et d’espace ; c’est donc en terme très approximatifs qu’on peut parler de la miséricorde à solliciter de Dieu pour ceux qui n’ont « pas encore » été admis à participer à sa béatitude. Cette prière pour les morts a très vite trouvé son expression la plus achevée dans la messe : non seulement dans celle des funérailles mais aussi dans toutes celles qui sont célébrées quotidiennement, qu’elles le soient spécialement pour les morts ou non, car même en ce dernier cas elles comportent toujours un « memento de morts ».
L’idée d’une journée spéciale de commémoration des défunts à vu le jour de divers côtés dans les dix premiers siècles et souvent déjà, on avait pris l’habitude de la situer dans le prolongement immédiat de la Toussaint, pratique qui s’est généralisée et officialisée à partir du XI ème siècle. Le lien établi avec la Toussaint répond à une vue cohérente : le 1er novembre, l’Eglise célèbre dans l’allégresse la fête de tous les saints connus et inconnus, c’est-à-dire de tous ceux qui sont « déjà » admis à partager le bonheur de Dieu ; comment dès lors ne pas aussi penser aux autres, c’est-à-dire à ceux qui, ayant également quitté ce monde, ne font « pas encore » partie de celui des saints.
Le 2 novembre, jour des morts, ou selon le langage liturgique, commémoration de tous les défunts, toutes les messes sont célébrées pour l’ensemble des défunts et les chrétiens sont invités à se joindre par la prière, et si possible par la participation à la messe, à ce vaste mouvement de solidarité spirituelle. On peut penser que cette vision d’espérance n’est pas tout à fait étrangère aux foules qui se rendent dans les cimetières en ces journées : force est de constater, par contre, que, dans la plupart des cas, la note funèbre semble l’emporter l’allégresse de la fête de la Toussaint, dont le nom paraît indissociablement lié chez beaucoup à la mélancolie des chrysanthèmes.
Nous sommes les frères et sœurs des saints connus et inconnus et nous nous approchons de la Jérusalem céleste en les célébrant. Dans cet exode, chacun de nous peut devenir un saint pour la joie du Père. Que notre bonheur soit de répondre à son désir ; que notre bonheur soit de pouvoir dire ensemble : « Notre Père » et de nous reconnaitre les uns les autres pour ce nous sommes : les enfants de Dieu.
P. Gilbert NZENZEMON