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Infos-Actualités


28/03 /09 Destination Centrafricaine pour Delphine et Matthieu (Infos-Actualités)
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Deux nouveaux visages dans notre rubrique "Vosgiens sur la planète" .

Delphine, originaire de Remiremont, et Matthieu sont deux jeunes coopérants partis en République Centreafricaine avec la Délégation Catholique pour la Coopération (DCC)

Ils ont décidé de passer deux ans à Bambari, en tant que gérante de librairie pour Delphine, et gestionnaire de garage pour Matthieu.

Découvrez vite leur aventure

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D'autres aventures dans notre rubrique "Vosgiens sur la planète" .

21/03 /09 Communiqué de Mgr Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié~: J’aime mon Église parce qu’elle porte l’Évangile ! (Infos-Actualités)
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J’aime mon Église
parce qu’elle porte l’Évangile !

Communiqué de Mgr Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié

Émotion, perplexité ! Tout le monde s’en est mêlé, personnalités politiques, leaders d’opinion et autres : l’on s’en prend à notre pape Benoît XVI, après la levée d’excommunication des 4 évêques de la Fraternité Saint Pie X, et désormais pour avoir parlé du préservatif. Autant de domaines où les nuances apportées par le pape n’ont pas été perçues, et où les simplifications se sont multipliées. Je ne ferai pas ici de nouveaux commentaires : ils ne manquent pas !

Je dirais seulement que la levée d’excommunication n’est que le début d’une réconciliation possible où tout un chemin reste à faire. L’Évangile nous invite à la réconciliation en vérité ! Il va de soi que les propos négationnistes ne sauraient à aucun moment être tolérés.

À propos du préservatif, la fidélité dans le couple est un idéal auquel invite l’Église ; ce n’est pas une valeur dépassée. Mais il vaut mieux utiliser le préservatif pour ne pas transmettre le Sida plutôt que de devenir criminel ou suicidaire.

L’Église est aussi engagée dans l‘accueil, l’accompagnement et le soin des personnes touchées par le SIDA. Elle est la première organisation privée de soins aux malades (44% sont des institutions d’État, 26,70% sont des institutions catholiques, 18,30% sont des ONG et 11% d’autres religions. Source CEF).

L’Évangile appelle aussi à l’écoute. Dans ce contexte d’une médiatisation maladroite, je voudrais être à l’écoute de tous les vosgiens qui ont quelque chose à dire à l’Église.

Je crois utile de permettre à ceux qui sont émus et s’interrogent de s’exprimer. Ils peuvent m’écrire. Plusieurs m’ont déjà dit leur souffrance, voire leur colère. Je lirai tous les courriers, même si je sais que je ne pourrai répondre à tous. De ces lettres, j’espère pouvoir faire une synthèse utile, notamment auprès des jeunes que ces questions concernent au plus haut point.

Il me semble nécessaire, pour annoncer Jésus-Christ dans les Vosges, d’être attentif aux préoccupations de tous ceux qui sont touchés par une mauvaise communication de la part de l’Église, mais aussi et de façon plus constante, de prêter l’oreille à tant de souffrants de notre société mondialisée, qui restent le plus souvent silencieux.

Pour écrire à l’évêque~:
Père Jean-Paul Mathieu - Évêché
7 rue de la Préfecture
88 000 Épinal
Courriel : xxx@xxx.xx

Épinal, le 20 mars 2009.

À noter également~:
— le communiqué de Mgr Jean-Paul Mathieu à propos du drame de la filette de Recife
— l'article "Église et Sida"

— Télécharger le communiqué "J'aime mon Église parce qu'elle porte l'Évangile" au format pdf
— Visionnez le reportage réalisé et diffusé par Images Plus, la télévision vosgienne.

19/03 /09 Rendez-vous des acteurs de la communication paroissiale dans les Vosges (Infos-Actualités)
Plusieurs dizaines de journaux paroissiaux dans les Vosges, c'est dire son importance dans l'information locale. Tous ses acteurs sont invités à se retrouver le 1er avril au couvent de Portieux pour un partage d’expériences et pour dessiner la suite.

Dans un récent numéro de la vie diocésaine, Hubert Bernard présentait la longue tradition de communication écrite de l’Eglise diocésaine. Dans les Vosges, ils sont des dizaines à écrire régulièrement pour le bulletin ou le journal paroissial. Depuis une dizaine d’année, ils sont rejoints par les passionnés d’internet. Tous ont des questions, des doutes. Mais tous aussi ont des astuces, des solutions, des « bons plans ». La matinée sera consacrée à ce temps de partage. Bruno Dardelet (Voir encadré) apportera alors son expérience sur les techniques journalistiques pour l’écrit comme pour le web. Après le déjeuner, un deuxième temps plus spécifique à la prospective sera proposé. Comment faire notre journal demain ?à qui s’adresse-t-on ? Comment pourra-t-on mutualiser nos moyens et compétences ? Toutes ces questions ne trouveront pas forcément réponses immédiatement. Mais elles ouvriront un débat, dresseront des pistes de solution et des perspectives pour de prochaines rencontres.

Feuille, Bulletin, journal, site paroissiaux

En amont à cette rencontre, il apparaît nécessaire de bien connaître le sens des dénominations La feuille paroissiale présente essentiellement les nouvelles de la communauté paroissiales : agenda des célébrations, des sacrements, réunions, mariages, décès, baptême. Sa diffusion est assurée à l’issue des célébrations dominicales. Le bulletin paroissial est constitué d’un agenda et surtout d’articles sur la vie de la communauté paroissiale. Sa diffusion est plus large généralement sur abonnement auprès des catholiques. Le journal paroissial est une portée encore plus large. Il est souvent distribué dans toutes les boites aux lettres. Son financement est assuré par la publicité et le budget de la paroisse. Il s’adresse à tous les habitants du territoire paroissial, pratiquants, croyants ou non. Son contenu propose des articles sur la vie et les préoccupations des hommes et des femmes avec un éclairage chrétien. Il propose également des informations paroissiales. Le site paroissial aujourd’hui dans son contenu ressemble soit à un bulletin (informations pour les catholiques) soit à un journal (pour les habitants du territoire de la paroisse, catholiques compris). Il n’est pas rare dans ce dernier cas de voir les mairies se manifester pour apporter du contenu (horaires d’ouvertures, fêtes et manifestations communales). Bref, les formes et contenus s’adaptent à leurs publics. Pour aller plus loin, rendez-vous le 1er avril et ce n’est pas un poisson.

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Bruno Dardelet : notre expert

Directeur fondateur d’une agence de communication (BD Consultant), Bruno Dardelet a longuement sillonné les diocèses en particulier dans le domaine du “Denier de l’Eglise”, tout en accompagnant, en tant que professionnel, mouvements, services et associations qui avaient besoin de renouveau dans leur communication. Auteur de nombreux ouvrages, dont plusieurs sur la communication (“Dieu créa la communication”, “La Pastorale et l’argent”, “Associations traquent ressources”...), il est aussi un “militant dans l’âme” et peut témoigner de nombreux engagements civiques et associatifs au service, entre autres, de l’action culturelle, de l’action sociale et de la solidarité. Au début d’une nouvelle étape de sa vie, sa « retraite », il s’est vu confier la Présidence de la Société de Saint-Vincent de Paul. Agitateur d’idées, il met au service de tous, sa créativité et son sens de l’organisation associative qui l’habite avec passion.

Le mercredi 1er avril de 9h30 à 16h30 au couvent de Portieux. Renseignements et inscriptions : Christophe Chevardé Tél. XX.XX.XX.XX.XX

18/03 /09 Église et Sida (Infos-Actualités)
A l'occasion de son voyage en Afrique (17-23 mars 2009), le pape Benoît XVI a été interrogé par un journaliste au sujet du sida. Éléments de compréhension.

Question de Philippe Visseyrias de France 2

Saint Père, parmi les multiples maux dont souffre l'Afrique, il y a aussi en particulier celui de l'épidémie du sida. La position de l'Église catholique quant aux moyens de lutter contre ce fléau est souvent considérée comme irréaliste et inefficace. Aborderez-vous ce thème durant le voyage ?

Réponse de Benoît XVI [traduit de l'italien]

Je dirais le contraire. Il me semble que l'entité la plus efficace, la plus présente sur le front de la lutte contre le sida est vraiment l'Église catholique, avec ses mouvements et ses diverses structures. Je pense à la Communauté Saint Egidio qui fait tant, de manière visible et aussi de manière invisible pour lutter contre le sida, aux religieux Camilliens, à toutes les religieuses qui sont au service des malades... Je dirais qu'on ne peut vaincre ce problème du sida uniquement avec des slogans publicitaires. Si ce n'est pas le cœur, si les africains ne s'y entraident pas, on ne peut résoudre ce fléau avec la distribution de prophylactiques : au contraire, le risque est d'accroître le problème. La solution ne peut venir que d'un double engagement : en premier, une humanisation de la sexualité, c'est-à-dire un renouveau spirituel et humain qui permette une nouvelle manière de se comporter les uns avec les autres, et deuxièmement une vraie attention particulièrement à l'égard des personnes qui souffrent, la disponibilité, les sacrifices aussi, les renoncement personnel pour être avec les personnes souffrantes. Ce sont les moyens qui aident et permettent des progrès visibles. C'est pourquoi, je dirais que c'est là notre double force : renouveler l'homme intérieur, donner une force spirituelle et morale pour un comportement juste dans la manière de considérer son propre corps et celui d'autrui, et d'autre part cette capacité à souffrir avec ceux qui souffrent, d'être présents aux cotés de ceux qui traversent des épreuves. Je crois que c'est là la juste réponse, que l'Église la met en œuvre et offre ainsi une aide très grande et importante. Nous remercions tous ceux qui y participent.

Quelques éléments de compréhension

Le Pape évoque l'engagement de l'Église dans la lutte contre le sida : Comment s'implique-t-elle concrètement dans la prévention et le soin ?

Dans ses réflexions sur la prévention contre le sida, Benoît XVI a d'abord voulu souligner l'engagement de l'Église dans l'accueil, les soins médicaux et l'accompagnement social et spirituel des personnes touchées par le sida. Parmi les institutions dans le monde qui s'occupent des personnes ainsi atteintes, l'Église est le plus important prestataire privé de soins aux malades du sida (44% sont des institutions d'État, 26,70% sont des institutions catholiques, 18,30% sont des ONG et 11% d'autres religions).

L'Église est également engagée dans la prévention contre la transmission du virus HIV par l'intermédiaire de ses réseaux d'écoles, de mouvements de jeunesse et d'associations familiales.

Le Saint-Siège a créé en 2004, sous l'impulsion du Pape Jean-Paul II, la Fondation du Bon Samaritain afin de financer de projets de soins et d'éducation en direction des personnes concernées et de la prévention. C'est dire combien l'Église est active dans ces domaines.

Qu'a voulu dire le Pape au sujet du préservatif ? Il considère que le préservatif ne peut être "la" solution au problème du sida. On voit bien d'ailleurs, depuis des dizaines d'années, que la pandémie est loin d'être enrayée, au contraire.

Mercredi 18 mars, lors d'un point presse à Yaoundé, le Père Federico Lombardi, Porte-parole du Pape, est revenu sur ce sujet : il a expliqué que, pour l'Église, « développer une idéologie de confiance dans le préservatif » n'est « pas une position correcte » car elle ne met pas l'accent sur « le sens des responsabilités ». Il a également indiqué « qu'il ne faut pas attendre de ce voyage un changement de position de l'Église catholique envers le problème du sida ».

Le Père Lombardi a aussi rappelé « les lignes essentielles de l'engagement de l'Église catholique dans le combat contre ce terrible fléau qu'est le sida : en premier, par l'éducation à la responsabilité des personnes dans la pratique de la sexualité et en réaffirmant le rôle essentiel du mariage et de la famille. Deuxièmement : par la recherche et l'utilisation des thérapies efficaces contre le sida et dans leur mise à disposition au plus grand nombre possible de malades grâce à de nombreuses initiatives et instances sanitaires. Troisièmement, par l'assistance humaine et spirituelle des malades du sida comme de tous ceux qui souffrent et qui demeurent au cœur de l'Église ».

Dans sa réflexion sur la question que pose l'épidémie du sida, le Pape s'appuie sur la manière dont l'Église envisage l'amour et la sexualité. C'est pourquoi il considère que la sexualité humaine ne peut pas s'élaborer psychologiquement et se signifier moralement en fonction d'une maladie. Ce n'est pas à partir du sida qu'on définit la sexualité humaine, mais à partir du sens de l'amour, de l'amour qui est un engagement entre un homme et une femme dans une relation et dans la responsabilité. L'Église témoigne d'un amour de vie.

Comment les évêques africains réagissent-ils aux propos du Saint-Père ? D'après l'agence de presse I-Média, « plusieurs haut prélats africains ont salué les propos tenus par Benoît XVI dans l'avion qui le menait à Yaoundé (Cameroun) le 17 mars 2009 sur le fait que la distribution de préservatifs aggraverait le problème du Sida ». Interrogés par la chaîne catholique française KTO et I.MEDIA le 18 mars dans la capitale camerounaise, ils ont aussi invité les Occidentaux à ne pas imposer leur façon de voir les choses en la matière.

"Je demande aux Occidentaux de ne pas nous imposer leur unique et seule façon de voir", a ainsi martelé le cardinal sénégalais Théodore-Adrien Sarr. "Dans des pays comme les nôtres, a alors expliqué l'archevêque de Dakar, l'abstinence et la fidélité sont des valeurs qui sont encore vécues et, avec leur promotion, nous contribuons à la prévention contre le sida".

"Nous ne pouvons pas promouvoir l'utilisation du préservatif, a encore souligné le cardinal sénégalais, mais prêcher les valeurs morales qui, pour nous, demeurent valables, afin d'aider nos populations à se prémunir du sida : l'abstinence et la fidélité". Ces valeurs, a enfin expliqué le cardinal Sarr, sont "des réalités" pour les Africains et "il ne faut vraiment pas nous dire que nous n'avons pas à prêcher ces valeurs".

Dans le même sens, Mgr Simon Ntamwana, archevêque de Gitega au Burundi, a dénoncé "le glissement de pensée" de l'Occident, et son "hédonisme sexuel devenu comme un chemin incontournable". "Ce n'est pas le préservatif, a-t-il soutenu, qui va diminuer le nombre d'infections du Sida, mais certainement une discipline que chacun doit s'imposer pour pouvoir changer d'attitude, une attitude qui va l'aider à échapper à un hédonisme qu'il ne peut plus contrôler".

"Pour moi, la façon la plus sûre (de lutter contre le Sida, ndlr), c'est ma volonté", a encore expliqué Mgr Simon Ntamwana. "Vous démissionnez de votre volonté, de l'engagement de l'effort, et je ne sais pas vers où vous allez", a enfin prévenu l'évêque burundais à l'intention des Occidentaux. Le préservatif "aggrave le problème car il donne une fausse sécurité, une sécurité qui n'en est pas toujours une", a expliqué pour sa part Mgr Laurent Monsengwo Pasinya en reprenant les propos de Benoît XVI dans l'avion qui le menait au Cameroun. Ainsi, pour l'archevêque de Kinshasa (République démocratique du Congo), "le préservatif n'est pas le moyen le plus sûr car il peut être de mauvaise qualité". Que propose l'Église aux hommes d'aujourd'hui ? L'Église ne cesse de rappeler la dignité de la personne humaine et la signification de l'amour. Elle affirme qu'il n'y a de remède ultime au sida que grâce à un comportement digne de l'homme, c'est-à-dire capable de respect, de fidélité et de maîtrise de soi qui sont les conditions même de l'amour. Egalement interrogé sur les propos du Pape, Mgr di Falco a répondu sur RTL, ce mercredi 18 mars, que, d'après lui, le Pape a voulu dire que le préservatif « n'était pas suffisant mais qu'il devait y avoir derrière de l'éducation, de la responsabilisation (...) Ce qu'à dit le pape, c'est l'idéal de la fidélité proposé aux chrétiens (...) Le plus haut responsable exprime l'idéal. Il n'entre pas dans les situations concrètes". Mgr di Falco a également estimé que « si on n'arrive pas à vivre la situation telle qu'il la propose on ne doit être ni criminel, ni suicidaire et on doit utiliser le préservatif. Il a précisé que, sur le terrain, les religieux incitent, si nécessaire, à utiliser le préservatif pour ne pas se mettre en danger ou mettre en danger des partenaires ». « 0n n'a jamais dit autre chose depuis dix ans" a-t-il ajouté. En décembre 1988, le cardinal Lustiger avait répondu sur ce sujet à l'Express : « Il faut aider la nouvelle génération : elle désire découvrir la dignité de l'amour. La fidélité est possible. Tout véritable amour doit apprendre la chasteté. Des malades du sida sont appelés, comme chacun de nous, à vivre la chasteté non dans la frustration, mais dans la liberté. Ceux qui n'y parviennent pas doivent, en utilisant d'autres moyens, éviter le pire : ne donnez pas la mort. ». A la remarque du journaliste : « Un pis-aller, le préservatif ? », il avait répondu : « Un moyen de ne pas ajouter au mal un autre mal... » Autrement dit, il ne s'agit pas d'exclure le recours au préservatif dans certaines situations. Le discours sanitaire peut être nécessaire mais reste largement insuffisant quand il s'arrête à des mesures purement techniques.

Source : Conférence des Évêques de France

Voir le dossier complet sur le site de l'épiscopat français

17/03 /09 A propos du drame de la fillette de Recife (Infos-Actualités)
Fallait-il évoquer le cas dramatique d’une petite de 9 ans, enceinte, violée depuis 3 ans par son beau-père, en termes d’excommunication, comme a cru bon de le faire l’archevêque de Récife ? En présence de ce drame, des médecins ont procédé à cet avortement, sans doute avec un vrai dilemme de conscience. A première vue, on était loin d’une demande d’avortement par simple convenance personnelle. En ce cas, pour l’Église, le silence n’eut-il pas été préférable ?

En une situation aussi sordide, il est vain d’évoquer la sentence canonique : j’éprouve surtout une immense tristesse et une profonde compassion pour cette petite et cette famille abîmée. Je ne me sens pas capable, au nom de l’évangile, de condamner ceux qui ont cru bon d’apporter une solution de misère à un drame de la misère. On est submergé par les interrogations : que faire pour que de telles situations engendrées par l’extrême pauvreté et le machisme ne se reproduisent pas ? Tout faire pour réduire les structures de péché qui engendrent de telles pauvretés matérielles et morales. Mais ici, je ne peux pas juger.

La question de l’avortement est un acte grave. À côté des cas plus tragiques, il y a aussi des demandes d’avortement plus ou moins pour convenance personnelle.

Il faut saluer le travail de ceux et celles qui accompagnent et essaient d’autres alternatives pour aider les familles en détresse, et surtout les jeunes, qui ne se sentent pas capables d’accueillir et d’élever un enfant. L’Église veut attirer l’attention sur la gravité d’un acte qui consiste à ôter la vie à un être humain. « Tu ne tueras pas » ! Défendre la vie est essentiel pour l’Église. Mais faire appel à la Loi en des cas aussi dramatiques n’est sans doute pas le meilleur moyen de sauvegarder la vie. Pour protéger la vie, les évêques encouragent à travailler la bioéthique, pour que la vie soit respectée dès ses commencements et jusqu’à la fin. Non en stigmatisant des situations critiques, mais en éclairant nos consciences et celles des législateurs sur le respect de la dignité humaine.

+ Jean-Paul Mathieu, Evêque de Saint-Dié

Editorial du Père Mathieu, publié dans la Vie diocésaine de Saint-Dié.

A noter également la lettre ouverte de Mgr Daucourt à Mgr José Cardoso Sobrinho, archevêque d'Olinda et de recife

16/03 /09 Camps d'été au diapason du MRJC (Infos-Actualités)
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En Lorraine ou dans le Berry, le MRJC 88 a des idées pour un été merveilleux. À découvrir.


Camp 1 (13-16 ans) du 12 au 26 juillet 2009

Camp itinérant en Lorraine. (Prix : 365€)

LORRAINE EXPRESS Prêt pour l’aventure ?
Si toi aussi t’as envie de découvrir la Lorraine tranquillement assis sur ton vélo,
Si toi aussi tu veux te la « pêter » en connaissant cette région mieux que personne,
Si toi aussi tu veux profiter de nos magnifiques paysages, de notre culture, de notre délicieuse culture culinaire, ...
Si toi aussi tu veux aller à la rencontre de nos habitants locaux si sympathiques.

Bref, si t’as envie d’être acteur de tes vacances…

… rejoins-nous pour plein d’aventures passionnantes !!!

Cindy, Marie, Sophie, Clément et Valentin

Camp 2 (15-17ans) du 20 juillet au 2 août 2009

Camp fixe en Indre (Prix : 450€)

Recette du fondant de vacances grandioses dans le Berry

* Prenez 20 jeunes de Lorraine et mélangez-les énergiquement pendant 14 jours avec 250 autres jeunes de toute la France !

* Faites les mijoter à feux doux en les faisant échanger sur le monde : réchauffement climatiques, surexploitation des ressources naturelles, atteinte à la biodiversité, raréfaction de l’eau, développement durable… * Mettez à leur disposition un terrain de 5 hectares en Brenne, pour qu’ils construisent leur village idéal : un défi pour construire le monde de demain !

* Soupoudrez ces jeunes d’animations en tous genres : des chantiers, des rencontres avec les habitants de la région, la découverte du Berry, un bar local et équitable, un cinéma, un lieu, d’exposition et de débat, un jardin public, un terrain de jeux, un lieu de spectacles, des concerts, des grands jeux, des veillées !!!

NE LAISSE PAS CRAMER CETTE BONNE RECETTE ET VIENT VITE NOUS REJOINDRE !

Laure, Ludovic, Martin et Elise

RENSEIGNEMENTS~:

MRJC des VOSGES
17 rue Boulay de la Meurthe
88000 Epinal

Tél : XX.XX.XX.XX.XX

E-mail : xxx@xxx.xx Sites~: http://mrjc88.free.fr et http://www.mrjc.org