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Saint Gérard de la vallée des lacs

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23/09 /12 Méditation du jour de Noël - 25 déc. 2012 (Saint Gérard de la vallée des lacs)

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 2, 1-14

Aujourd'hui vous est né un Sauveur

En ces jours-là, parut un édit de l'empereur Auguste, ordonnant de recenser toute la terre.
Ce premier recensement eut lieu lorsque Quirinius était gouverneur de Syrie.
Et chacun allait se faire inscrire dans sa ville d'origine. Joseph, lui aussi, quitta la ville de Nazareth en Galilée, pour monter en Judée, à la ville de David appelée Bethléem, car il était de la maison et de la descendance de David.
Il venait se faire inscrire avec Marie, son épouse, qui était enceinte.
Or, pendant qu'ils étaient là, arrivèrent les jours où elle devait enfanter. Et elle

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mit au monde son fils premier-né; elle l'emmaillota et le coucha dans une mangeoire, car il n'y avait pas de place pour eux dans la salle commune.
Dans les environs se trouvaient des bergers qui passaient la nuit dans les champs pour garder leurs troupeaux.
L'ange du Seigneur s'approcha, et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa lumière. Ils furent saisis d'une grande crainte, mais l'ange leur dit : « Ne craignez pas, car voici que je viens vous annoncer une bonne nouvelle, une grande joie pour tout le peuple : aujourd'hui vous est né un Sauveur, dans la ville de David.
Il est le Messie, le Seigneur. Et voilà le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire. » Et soudain, il y eut avec l'ange une troupe céleste innombrable, qui louait Dieu en disant : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes qu'il aime. »

Un enfant nous est né

Dieu s'est fait enfant. Il se donne comme un cadeau : c'est l'unique pauvreté et l'unique richesse de Dieu. L'incarnation de Dieu n'est pas une idylle, mais bien un scandale : Dieu vient à notre rencontre dans la petitesse d'un enfant.

Dieu demanda à l'homme : comment vas-tu ?
Et pour se faire une idée plus précise, il descendit du ciel en personne , pour aller là où l'homme se trouve.
Il le vit et lui dit : je reste ici et je deviens comme toi, je me fais homme. Je t'accompagne jusque dans la mort et à travers la mort jusqu'à la vie. Ainsi tu seras sauvé ! L'histoire de Noël est l'histoire de Dieu qui descend des cieux : elle est l'histoire d'une communion avec Dieu qui se fait compagnon de route et nous accompagne en Jésus sur nos chemins.

L'enfant Jésus, notre petit frère en humanité, est le Fils éternel du Père éternel. Le lien entre l'homme et Dieu est rétabli. Dieu trouve l'homme et l'homme trouve Dieu.
Nous-mêmes devons descendre de nos hauteurs, pour être présents aux autres, pour cheminer ensemble. Chacun offrant un cœur qui s'ouvre et s'élargit, animé du désir de savoir comment vont les autres. "Si vous ne redevenez pas comme des petits enfants, vous n'entrerez pas dans le Royaume des cieux"
Devenir homme, c'est devenir enfant.

Pouvoir devenir enfants de Dieu, c'est là toute notre dignité.

Voilà pourquoi nous devons d'abord avoir un infini respect de nous-mêmes, alors que, à nos propres yeux, nos faiblesses, nos péchés, l'usure de notre corps nous entraîneraient au mépris de nous-même ou au désespoir. Voilà pourquoi désormais, nous devons aimer tout être humain d'un amour inconditionnel et sans limites : tout être humain, quel qu'il soit, l'homme dont nous différencient la langue, la race, la classe, la nation, les opinions.

Quel qu’homme que ce soit est digne d'amour, parce qu'il est, dans le dessein de Dieu, destiné à devenir enfant de Dieu .
Aimer, c'est un devoir, une tâche, une mission.

23/09 /12 Méditation du 28 juillet 2013 - 17ème dimanche (Saint Gérard de la vallée des lacs)

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 11,1-13.

Un jour, quelque part, Jésus était en prière. Quand il eut terminé, un de ses disciples lui demanda : « Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean Baptiste l'a appris à ses disciples. »
Il leur répondit : « Quand vous priez, dites : 'Père, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne.
Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour.
Pardonne-nous nos péchés, car nous-mêmes nous pardonnons à tous ceux qui ont des torts envers nous. Et ne nous soumets pas à la tentation. ' »
Jésus leur dit encore : « Supposons que l'un de vous ait un ami et aille le trouver

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en pleine nuit pour lui demander : 'Mon ami, prête-moi trois pains : un de mes amis arrive de voyage, et je n'ai rien à lui offrir. '
Et si, de l'intérieur, l'autre lui répond : 'Ne viens pas me tourmenter ! Maintenant, la porte est fermée ; mes enfants et moi, nous sommes couchés. Je ne puis pas me lever pour te donner du pain', moi, je vous l'affirme : même s'il ne se lève pas pour les donner par amitié, il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami, et il lui donnera tout ce qu'il lui faut.
Eh bien, moi, je vous dis : Demandez, vous obtiendrez ; cherchez, vous trouverez ; frappez, la porte vous sera ouverte.
Celui qui demande reçoit ; celui qui cherche trouve ; et pour celui qui frappe, la porte s'ouvre.
Quel père parmi vous donnerait un serpent à son fils qui lui demande un poisson ? ou un scorpion, quand il demande un œuf ?
Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus le Père céleste donnera-t-il l'Esprit Saint à ceux qui le lui demandent ! »

Prière officielle des Journées Mondiales de la Jeunesse à Rio de Janeiro [Brésil) du 23 au 28 juillet 2013.

Père, tu as envoyé Ton Fils Eternel pour sauver le monde et tu as choisi des hommes et des femmes pour que, par Lui, avec Lui et en Lui, ils proclament la Bonne Nouvelle à toutes les nations.

Accorde, par la puissance de ton Esprit Saint, les grâces nécessaires pour que brille sur le visage de tous les jeunes le bonheur d'être les évangélisateurs dont l'Église a besoin en ce Troisième Millénaire.

Christ, Rédempteur de l'humanité, c'est avec les bras grand ouverts que Tu accueilles, du haut du mont Corcovado, tous les peuples. Par ton Offrande pascale, Tu nous conduis, avec l'aide de l'Esprit Saint, à la rencontre filiale avec le Père.

Les jeunes, qui s'alimentent de l'Eucharistie, T'écoutent à travers la Bible et Te rencontrent dans les autres. Ils ont besoin de ton infinie Miséricorde pour partir sur les chemins du monde comme disciples-missionnaires de la nouvelle évangélisation. Saint Esprit, Amour du Père et du Fils, envoie sur tous les jeu¬nes ta Lumière, splendeur de Vérité et feu de ton Amour.

Qu'animés par les Journées Mondiales de la Jeunesse, ils puissent répandre aux quatre coins du monde la foi, l'espérance et la charité, en devenant promoteurs d'une culture de vie et de paix, ainsi que protagonistes d'un monde nouveau.

Amen !

Les jeunes devront se poser cette question a dit le Pape François :
« Seigneur que dois-je faire de ma vie ? Quelle route dois-je prendre ? »

22/09 /12 Méditation du 27 janvier 2013 - 3ème dimanche (Saint Gérard de la vallée des lacs)

Commencement de l'Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 1,1-4.4,14-21.

Plusieurs ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, tels que nous les ont transmis ceux qui, dès le début, furent les témoins oculaires et sont devenus les serviteurs de la Parole.
C'est pourquoi j'ai décidé, moi aussi, après m'être informé soigneusement de tout depuis les origines, d'en écrire pour toi, cher Théophile, un exposé suivi, afin que tu te rendes bien compte de la solidité des enseignements que tu as reçus.
Lorsque Jésus, avec la puissance de l'Esprit, revint en Galilée, sa renommée se répandit dans toute la région.
Il enseignait dans les synagogues des Juifs, et tout le monde faisait son éloge.
Il vint à Nazareth, où il avait grandi. Comme il en avait l'habitude, il entra dans la

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synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture.
On lui présenta le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit :
L'Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m'a consacré par l'onction. Il m'a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux prisonniers qu'ils sont libres, et aux aveugles qu'ils verront la lumière, apporter aux opprimés la libération, annoncer une année de bienfaits accordée par le Seigneur.
Jésus referma le livre, le rendit au servant et s'assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui.
Alors il se mit à leur dire : « Cette parole de l'Écriture, que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit. »

ANNÉE DE LA FOI

suite du commentaire du Notre Père « Notre Père qui es aux cieux »


Comment osons-nous nommer Dieu « Père » ? Une seule réponse . Elle nous vient de Jésus lui-même : « Vous donc, priez ainsi : Notre Père » (Mt 6, 9) .

A la messe, avant le Notre Père, nous entendons ce rappel : « Comme nous l'avons appris du Sauveur et selon son commandement, nous osons dire : Notre Père... »
Nommer une des personnes de la Trinité « Père », c'est dire plusieurs choses. D'abord qu'il y a de la relation en Dieu. Qu'il y a de la pluralité dans le Dieu un, des relations d'amour à l'intérieur même de Dieu : « Tout est amour dans l'amour même ».

C'est dire que les mots unité et trinité qui sont contradictoires selon nos vues humaines, dans notre logique humaine (pensons aux réactions des monothéismes juif et musulman au dogme chrétien de la Trinité) ne sont pas contradictoires en Dieu. Plutôt que parler d'un Dieu unique , il vaudrait mieux invoquer, comme Tertullien, un « Dieu uni ». C'est aussi affirmer que la paternité et la filiation que nous vivons dans nos relations humaines disent quelque chose de la vie intime de Dieu et de nos rapports avec lui. C'est dire encore que, par Jésus, le Fils unique, nous entrons dans une relation filiale avec le Père : Dieu, dit saint Paul, nous a appelés « à reproduire l'image de son Fils, afin qu'il soit l'aîné d'une multitude de frères » (Romains 8, 29).

Quand Jésus prie, il dit Père, Abba, mon Père. Déjà dans les livres de la Première Alliance, le nom de Père est plusieurs fois attribué à Dieu. « C'est que notre Père, c'est toi ! Abraham ne nous connaît pas, Israël ne nous connaît plus. C'est toi Seigneur qui es notre Père, notre Rédempteur depuis toujours, c'est là ton nom » (Isaïe 63, 16).

San doute Jésus pense-t-il à de tels passages lorsqu'il s'adresse à Dieu en l'appelant « son Père » . Pourtant ce mot a, dans sa bouche, une signification infiniment plus forte : il dit une relation personnelle et unique. « Tout m' a été remis par mon Père, et nul ne connaît le Fils sinon le Père, et nul ne connaît le Père si ce n'est le Fils, et celui à qui le Fils veut bien le révéler. » (Matthieu 11, 27 et Luc 10, 22). Et encore, après la résurrection : « Je monte vers mon Père et votre Père... » (Jean 20, 17).

Rappelons-nous aussi les paraboles évangéliques. « Le Père donne de bonnes choses à ses enfants » (Mt 7 , 11 ; Luc 11, 11) . Dans la parabole du fils retrouvé, le père « est pris aux entrailles ».

En disant que « nous sommes fils ou filles dans Le Fils unique », nous reconnaissons que nous nous recevons d'un autre : Dieu est notre origine. Et c'est vivre dans la confiance : Dieu est un père miséricordieux. La vie nous a été donnée comme une chance inouïe : « Choisis donc la vie » (Deutéronome 30, 19). Reconnaître le Père de toute miséricorde apporte la paix du cœur, calme l'angoisse de la culpabilité.

Mais aujourd'hui, les expériences humaines de la paternité et de la filiation sont souvent difficiles. Les catéchistes disent fréquemment qu'il leur est difficile de parler de Dieu comme père à des enfants « nés de père inconnu » ou dont le père est absent, physiquement ou affectivement. Ces remises en question du rôle du père ne sont pas étrangères au fait que beaucoup de chrétiens aujourd’hui donnent plus de place au Fils incarné qu'au Père lointain et inaccessible, dans leur vie spirituelle, dans leur prière. Redécouvrons le Père qui est à l'origine de notre vie en le priant avec l'Eglise entière.

21/09 /12 Méditation du 28 avril 2013 - 5ème dimanche de Pâques (Saint Gérard de la vallée des lacs)

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 13,31-33a.34-35.

Au cours du dernier repas que Jésus prenait avec ses disciples, quand Judas fut sorti, Jésus déclara : « Maintenant le Fils de l'homme est glorifié, et Dieu est glorifié en lui.
Si Dieu est glorifié en lui, Dieu en retour lui donnera sa propre gloire ; et il la lui

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donnera bientôt.
Mes petits enfants, je suis encore avec vous, mais pour peu de temps, et vous me chercherez. J'ai dit aux Juifs : Là où je m'en vais, vous ne pouvez pas y aller. Je vous le dis maintenant à vous aussi.
Je vous donne un commandement nouveau : c'est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres.
Ce qui montrera à tous les hommes que vous êtes mes disciples, c'est l'amour que vous aurez les uns pour les autres. »

AIMER COMME JÉSUS

« Si j'avais à écrire un livre de morale, il aurait cent pages. Quatre vingt-dix neuf seraient blanches et sur la dernière, j'écrirais : Je ne connais qu'un seul devoir, et c'est celui d'aimer » (Albert Camus).

  • « Aimez vous les uns les autres » : voilà la charte du chrétien, le signe visible de son appartenance au Christ. « Voyez comme ils s'aiment », disaient les païens des premières communautés chrétiennes.
  • Aimons-nous les uns les autres dans notre Église de France, sans prendre un malin plaisir à opposer, chrétiens de droite et chrétiens de gauche, chrétiens d'action et chrétiens charismatiques.
  • Aimons-nous les uns les autres entre les diverses confessions chrétiennes, si on veut que le christianisme soit crédible.
  • Aimons nous planétairement, nous n'avons plus le choix : 180.000 morts en 1870 ; neuf millions en 1914-1918 ; cinquante-cinq millions en 1940-1945... Un milliard à la prochaine guerre ?

Le chrétien, c'est celui qui, un jour, a pris en plein visage cette découverte de l'amour fou de Dieu . Surpris, décontenancé, il essaie à son tour de le vivre, et voilà comment il devient à son tour source d'étonnement, pour tous ceux qui ne connaissent pas Dieu. Il devient ce signe, plus éclairant, que n'importe quel signe vestimentaire, ou qu'une belle croix en or achetée chez le bijoutier.

Ce n'est pas n'importe quel amour qui est signe. Chacun peut mettre derrière ce mot ce qui l'arrange. Il y a des amours affreusement possessives, où l'amour n'est qu'un sentiment épidermique, une vague sentimentalité à l'eau de rose. C'est pour cette raison que Jésus a dit : « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés ».
Le Seigneur nous a aimés le premier. Il nous a aimés avant que nous ne l'aimions. De la même façon celui qui aime dans un couple, dans une famille, c'est celui qui aime le premier, qui dit le premier son amour, qui revient le premier après un conflit.

Le Christ nous aime gratuitement. Dieu ne nous aime pas parce que nous sommes aimables. Dieu nous aime pauvre, déprimé, laid, pécheur . Il nous aime parce qu'il nous aime, c'est tout. Si Dieu ne nous aimait que pour nos qualités, nous risquerions de ne plus l'être si nous les perdions un jour !
De la même façon apprenons à aimer sans raison, gratuitement !

N'oublions jamais le geste du lavement des pieds. Jésus, les deux mains dans une bassine, lavant les pieds de ses apôtres. Aimer, c'est sortir de soi, s'extérioriser vers autrui.
Celui qui aime se fait le serviteur de ses frères .
Le Christ nous a aimés d'un amour qui pardonne, qui restaure. Le Christ regardait toutes les personnes qu'il rencontrait, la prostituée, le voleur, et voyait la beauté cachée en eux. Aimer, c'est d'abord voir la beauté de l' autre.
Jésus nous a aimés au prix fort, donnant sa vie pour nous. Jusqu'au bout. Jusqu'au dernier souffle. Jusqu'à la dernière goutte de son sang. L'amour est excessif. Il aime toujours plus. Ce n'est pas moins que l'Amour fou qui est proposé à tout chrétien.

21/09 /12 Annonces du 23 fév. au 3 mars 2013 (Saint Gérard de la vallée des lacs)
Horaires des célébrations ainsi que des intentions de prières : PAROISSE SAINT-GÉRARD-DE-LA-VALLÉE-DES-LACS
(Gérardmer, Liézey, Le Tholy, Xonrupt)
Annonces semaine du 23 février au 3 mars 2013 :

Samedi 23 Février :

Gérardmer :
18h00 : Messe : Manuel Batista – Charles Crouvezier et Fam. – Fam. Thirion Rossi – Jacqueline Willmann, Imhoff – Alain, Guy, Henri, Hélène Denys – Odile Cadario


Dimanche 24 février :

Gérardmer :
10h00 : Messe : 2éme dimanche de Carême
Margueritte Jeanselme – Suzanne Henri et J. Pierre Morel – Rodolphe et Estelle Lavergne et Fam. Lavergne Morlot – Pascale Caël – Gilberte Georgeon – Fam. Georgeon , Nichini – Suzanne Thirion (cimes argentées) – Robert Marchal – Jacques Torti – Famille Marchal- Morel- Paul Pierre et son épouse (19éme Ann. ) Clémentine Mougel - Fam Pierrel , Mougel , et fam. Alliées - Pour une malade Bernadette – Paulette Etienne
Recommandations : Deux malades Sylviane et Daniela – Défunts : André Bonne - Marguerite Gérard – Alexandre Corberand- Marcelle Gaspard-

Le Tholy :
10h00 : Adap : pour tous les paroissiens, les défunts : Marcel Péché et Patricia, Georgette Grivel (9ème anniversaire), son époux Pierre et les défunts de la famille, _ Albert Pierre (recommandation), Jean-Claude Demangel (recommandation)

Xonrupt : 10h00 : Ni Messe ni Adap


Mardi 26 février :

Gérardmer :
18h00 :Messe


Mercredi 27 février :

Gérardmer :
16h00 : Groupe de prière avec les résidents à la chapelle du Clair Logis
17h15 : Chapelet à la chapelle Saint Gérard à l’église
18h00 : Messe Suzanne et Camille Chipot


Jeudi 28 février :

Gérardmer :
9h15 : Messe à Clair Logis pour les résidents.
18h00 : Groupe de prière du Renouveau au sous sol de l'église


Vendredi 1er Mars :

Gérardmer :
17h30 : Confessions – Adoration
18h00 : Messe : Fam. Demangeon Pierrat


Samedi 2 Mars :

Gérardmer :
18h00 : Messe Manuel Batista et Deolinda Gonçalves – Abbé Jacques Barbe


Dimanche 3 Mars :

Gérardmer :
10h00 : Messe : 3ème dimanche de Carême
Action de grâce pour le pontificat de BENOÎT XVI – Pour les vocations dans l’église - Alice Didier – Marguerite Jeanselme - Fam. Morel - Fam Antoine , Simon – Robert Layrisse – Antoine-

Le Tholy :
10h00 : Adap : pour tous les paroissiens, les défunts

Xonrupt :
10h00 : Messe avec célébration du Sacrement de Réconciliation


Les demandes de messes doivent être faites 15 jours avant la célébration souhaitée :
au presbytère de Gérardmer, chaque matin de 9h30 à 11h30 (permanences le matin).
Ou pour le Tholy : Auprès d'Odile Mansuy: XX.XX.XX.XX.XX

21/09 /12 Méditation du 27 oct. 2013 - 30ème dimanche (Saint Gérard de la vallée des lacs)

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 18,9-14.

Jésus dit une parabole pour certains hommes qui étaient convaincus d'être justes et qui méprisaient tous les autres :
« Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L'un était pharisien, et l'autre, publicain.

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Le pharisien se tenait là et priait en lui-même : 'Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes : voleurs, injustes, adultères, ou encore comme ce publicain.
Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne. ' Le publicain, lui, se tenait à distance et n'osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : 'Mon Dieu, prends pitié du pécheur que je suis ! '
Quand ce dernier rentra chez lui, c'est lui, je vous le déclare, qui était devenu juste, et non pas l'autre. Qui s'élève sera abaissé ; qui s'abaisse sera élevé. »

LA PRIÈRE QUE DIEU PRÉFÈRE

Les pharisiens étaient des gens respectables. À l’époque de Jésus, ils constituaient dans le judaïsme un groupe fervent, soucieux d'observer fidèlement la loi de Moïse. Refusant tout compromis, ils se distinguaient d'autres courants plus laxistes, tel celui des sadducéens.

_ Pourtant, ils n’étaient pas à l'abri de dérives. Ceux à qui s'en prend Jésus tiraient orgueil de leur comportement moral rigoureux et de leurs pratiques assidues de piété. Jésus met en scène, non sans humour, un tel dévot vaniteux : «Je ne suis pas comme les autres hommes ! » (évangile)

Ce genre de personnage, « convaincu d’être juste et méprisant tous les autres », se retrouve à toutes les époques et dans tous les milieux religieux. Or, pour Jésus, ce n'est pas cette prière que Dieu aime entendre.
II préféré de loin : « Mon Dieu, prends pitié du pécheur que je suis ! » Non que Dieu se complaise dans l'expression de notre sentiment de culpabilité. Bien au

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contraire, puisqu'il est venu nous en délivrer en nous pardonnant nos péchés.

Mais il aime la vérité. Et la vérité, c'est que l'homme, quel que soit son rang dans la hiérarchie sociale ou religieuse, est un pécheur pardonne. Face à la miséricorde de Dieu, l'homme doit reconnaître ses limites et ses fragilités, mais, en même temps, il est appelé à vivre non pas dans la culpabilité morbide mais dans l'action de grâce pour le pardon reçu. Sa prière doit être celle d'un pauvre car, comme le dit le Sage, «la prière du pauvre traverse les nuées », et il ajoute: « Le Très-Haut se prononce en faveur des justes »(première lecture).

Mais l’évangile précise que le juste est d'abord celui qui se reconnaît pécheur : «Qui s'abaisse sera élevé. »