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Paroisses

carte des paroisses du diocèse de Saint Dié
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23/02 /15 Aux futurs mariés 2015 (Paroisse Sainte-Croix du Haut du Roc)
Une équipe de couples chrétiens s’est mise en place depuis quelques années, pour vous proposer, en accord avec les prêtres, et avec leur participation, de prendre le temps d’une réflexion en commun, d’un échange d’expériences sur la vie de couple et le sens de l’engagement dans le mariage.
— Dans un premier temps, pour une journée de prise de contact qui rassemble tous les couples. Elle est fixée le dimanche 1er février 2015 à Saulxures sur Moselotte, dans les salles paroissiales, à « l’Espace Tilleul », 434 Avenue Jules Ferry (Près de la poste, voir plan au verso) de 10h à 17h, le repas de midi est prévu ; une participation de 10 euros par personne est demandée.
— Dans un deuxième temps, selon votre choix et en fonction de vos possibilités : Soit pour une session de 2 rencontres à SAULXURES S/MOSELOTTE toujours aux salles paroissiales au 1er étage de « l’Espace Tilleul » 434 Avenue Jules Ferry (près de La Poste) aux dates suivantes : Dans ce cas nous insistons sur la nécessité de participer aux deux rencontres avec le même groupe, la qualité des échanges en est renforcée, et c’est pourquoi nous vous demandons de nous indiquer un 2ème choix afin de nous permettre de constituer des groupes équilibrés garants eux aussi d’une participation active de tous. Samedi 7 février et samedi 21 février de 14H30 à 16H30 Vendredi 13 mars et vendredi 27 mars de 20H à 22H Mardi 5 mai et mardi 19 mai de 20H à 22H Soit pour une session d’une seule demi-journée à LE THILLOT, aux salles paroissiales, accès par le parking du salon « Ghyslaine coiffure » au 13 rue de la Gare, aux dates suivantes : Samedi 21 mars ou samedi 16 mai de 14H à 18H de 14H à 18H

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22/02 /15 Message du Pape François pour le Carême (Guide vers la Foi)
Tenez ferme (Jc 5, 8)

Chers frères et sœurs,

Le Carême est un temps de renouveau pour l’Église, pour les communautés et pour chaque fidèle.

Mais c’est surtout un « temps de grâce » (2 Cor 6, 2). Dieu ne nous demande rien qu’il ne nous ait donné auparavant : « Nous aimons parce que Dieu lui-même nous a aimés le premier »(1 Jn 4, 19). Il n’est pas indifférent à nous. Il porte chacun de nous dans son cœur, il nous connaît par notre nom, il prend soin de nous et il nous cherche quand nous l’abandonnons.

Chacun de nous l’intéresse ; son amour l’empêche d’être indifférent à ce qui nous arrive. Mais il arrive que, quand nous allons bien et nous sentons à l’aise, nous oublions sûrement de penser aux autres (ce que Dieu le Père ne fait jamais), nous ne nous intéressons plus à leurs problèmes, à leurs souffrances et aux injustices qu’ils subissent… alors notre cœur tombe dans l’indifférence : alors que je vais relativement bien et que je suis à l’aise, j’oublie ceux qui ne vont pas bien.

Cette attitude égoïste, d’indifférence, a pris aujourd’hui une dimension mondiale, au point que nous pouvons parler d’une mondialisation de l’indifférence.

Il s’agit d’un malaise que, comme chrétiens, nous devons affronter.

Quand le peuple de Dieu se convertit à son amour, il trouve les réponses à ces questions que l’histoire lui pose continuellement.

Un des défis les plus urgents sur lesquels je veux m’arrêter dans ce message, est celui de la mondialisation de l’indifférence.

L’indifférence envers son prochain et envers Dieu est une tentation réelle même pour nous, chrétiens. C’est pour cela que nous avons besoin d’entendre, lors de chaque Carême, le cri des prophètes qui haussent la voix et qui nous réveillent.

Dieu n’est pas indifférent au monde, mais il l’aime jusqu’à donner son Fils pour le salut de tout homme.

Dans l’incarnation, dans la vie terrestre, dans la mort et la résurrection du Fils de Dieu, la porte entre Dieu et l’homme, entre ciel et terre, s’ouvre définitivement.

Et l’Église est comme la main qui maintient ouverte cette porte grâce à la proclamation de la Parole, à la célébration des sacrements, au témoignage de la foi qui devient efficace dans la charité (cf. Ga 5, 6).

Toutefois, le monde tend à s’enfermer sur lui-même et à fermer cette porte par laquelle Dieu entre dans le monde et le monde en lui.

Ainsi, la main, qui est l’Église, ne doit jamais être surprise si elle est repoussée, écrasée et blessée.

C’est pourquoi, le peuple de Dieu a besoin de renouveau, pour ne pas devenir indifférent et se renfermer sur lui-même.

Je voudrais vous proposer trois pistes à méditer pour ce renouveau.

1. « Si un seul membre souffre, tous les membres partagent sa souffrance » (1Co 12, 26) – L’Église La charité de Dieu qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence, nous est offerte par l’Église dans son enseignement et, surtout, dans son témoignage. Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.

Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde, de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.

La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.

Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus ne veut pas être seulement un exemple de la manière dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.

Ce service ne peut être rendu que par celui qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.

Seul celui-là a « part » avec lui (Jn 13, 8) et peut ainsi servir l’homme.

Le Carême est un temps propice pour nous laisser servir par le Christ et ainsi devenir comme lui.

Cela advient quand nous écoutons la Parole de Dieu et quand nous recevons les sacrements, en particulier l’Eucharistie.

Nous devenons en elle ce que nous recevons : le Corps du Christ.

Dans ce corps, cette indifférence qui semble prendre si souvent le pouvoir sur nos cœurs, ne trouve pas de place.

Puisque celui qui est du Christ appartient à un seul corps et en lui personne n’est indifférent à l’autre.

« Si un seul membre souffre, tous les membres partagent sa souffrance ; si un membre est à l’honneur, tous partagent sa joie » (1 Co 12, 26).

L’Église est communio sanctorum parce que les saints y participent mais aussi parce qu’elle est communion de choses saintes : l’amour de Dieu révélé à nous dans le Christ et tous ses dons.

Parmi eux, il y a aussi la réponse de tous ceux qui se laissent atteindre par un tel amour.

Dans cette communion des saints et dans cette participation aux choses saintes personne n’a rien en propre, mais ce qu’il possède est pour tout le monde.

Et puisque nous sommes liés en Dieu, nous pouvons faire quelque chose aussi pour ceux qui sont loin, pour ceux que nous ne pourrions jamais rejoindre par nos propres forces, parce que nous prions Dieu avec eux et pour eux afin que nous nous ouvrions tous à son œuvre de salut.

22. « Où est ton frère ? » (Gn 4, 9) – Les paroisses et les communautés

Il est nécessaire de traduire tout ce qui est dit par l’Église universelle dans la vie des paroisses et des communautés. Réussit-on dans ces réalités ecclésiales à faire l’expérience d’appartenir à un seul corps ?

Un corps qui en même temps reçoit et partage tout ce que Dieu veut donner ?

Un corps qui connaît et qui prend soin de ses membres les plus faibles, les plus pauvres et les plus petits ?

Ou bien nous réfugions-nous dans un amour universel qui s’engage de loin dans le monde mais qui oublie le Lazare assis devant sa propre porte fermée ? (cf. Lc 16, 19-31). Pour recevoir et faire fructifier pleinement ce que Dieu nous donne, il faut dépasser les frontières de l’Église visible dans deux directions.

En premier lieu, en nous unissant à l’Église du ciel dans la prière. Quand l’Église terrestre prie, s’instaure une communion de service réciproque et de bien qui parvient jusqu’en la présence de Dieu.

Avec les saints qui ont trouvé leur plénitude en Dieu, nous faisons partie de cette communion dans laquelle l’indifférence est vaincue par l’amour.

L’Église du ciel n’est pas triomphante parce qu’elle a tourné le dos aux souffrances du monde et se réjouit toute seule.

Au contraire, les saints peuvent déjà contempler et jouir du fait que, avec la mort et la résurrection de Jésus, ils ont vaincu définitivement l’indifférence, la dureté du cœur et la haine.

Tant que cette victoire de l’amour ne pénètre pas le monde entier, les saints marchent avec nous qui sommes encore pèlerins. Sainte Thérèse de Lisieux, docteur de l’Église, convaincue que la joie dans le ciel par la victoire de l’amour crucifié n’est pas complète tant qu’un seul homme sur la terre souffre et gémit, écrivait : « Je compte bien ne pas rester inactive au Ciel, mon désir est de travailler encore pour l'Église et les âmes » (Lettre 254, 14 juillet 1897).

Nous aussi, nous participons aux mérites et à la joie des saints et eux participent à notre lutte et à notre désir de paix et de réconciliation.

Leur joie de la victoire du Christ ressuscité nous est un motif de force pour dépasser tant de formes d’indifférence et de dureté du cœur.

D’autre part, chaque communauté chrétienne est appelée à franchir le seuil qui la met en relation avec la société qui l’entoure, avec les pauvres et ceux qui sont loin. L’Église est, par nature, missionnaire, et elle n’est pas repliée sur elle-même, mais envoyée à tous les hommes.

Cette mission est le patient témoignage de celui qui veut porter au Père toute la réalité et chaque homme.

La mission est ce que l’amour ne peut pas taire.

L’Église suit Jésus Christ sur la route qui la conduit vers tout homme, jusqu’aux confins de la terre (cf. Ac 1,8). Nous pouvons ainsi voir dans notre prochain le frère et la sœur pour lesquels le Christ est mort et ressuscité.

Tout ce que nous avons reçu, nous l’avons reçu aussi pour eux. Et pareillement, ce que ces frères possèdent est un don pour l’Église et pour l’humanité entière.

Chers frères et sœurs, je désire tant que les lieux où se manifeste l’Église, en particulier nos 3 paroisses et nos communautés, deviennent des îles de miséricorde au milieu de la mer de l’indifférence !

3. « Tenez ferme » (Jc 5, 8) – Chaque fidèle Même en tant qu’individu nous avons la tentation de l’indifférence.

Nous sommes saturés de nouvelles et d’images bouleversantes qui nous racontent la souffrance humaine et nous sentons en même temps toute notre incapacité à intervenir.

Que faire pour ne pas se laisser absorber par cette spirale de peur et d’impuissance ? Tout d’abord, nous pouvons prier dans la communion de l’Église terrestre et céleste.

Ne négligeons pas la force de la prière de tant de personnes ! L’initiative 24 heures pour le Seigneur, qui, j’espère, aura lieu dans toute l’Église, même au niveau diocésain, les 13 et 14 mars, veut montrer cette nécessité de la prière.

Ensuite, nous pouvons aider par des gestes de charité, rejoignant aussi bien ceux qui sont proches que ceux qui sont loin, grâce aux nombreux organismes de charité de l’Église.

Le Carême est un temps propice pour montrer cet intérêt envers l’autre par un signe, même petit, mais concret, de notre participation à notre humanité commune.

Enfin, la souffrance de l’autre constitue un appel à la conversion parce que le besoin du frère me rappelle la fragilité de ma vie, ma dépendance envers Dieu et mes frères.

Si nous demandons humblement la grâce de Dieu et que nous acceptons les limites de nos possibilités, alors nous aurons confiance dans les possibilités infinies que l’amour de Dieu a en réserve.

Et nous pourrons résister à la tentation diabolique qui nous fait croire que nous pouvons nous sauver et sauver le monde tout seuls.

Pour dépasser l’indifférence et nos prétentions de toute-puissance, je voudrais demander à tous de vivre ce temps de Carême comme un parcours de formation du cœur, comme l’a dit Benoît XVI (cf. Lett. Enc. Deus caritas est, n. 31).

Avoir un cœur miséricordieux ne veut pas dire avoir un cœur faible.

Celui qui veut être miséricordieux a besoin d’un cœur fort, solide, fermé au tentateur, mais ouvert à Dieu.

Un cœur qui se laisse pénétrer par l’Esprit et porter sur les voies de l’amour qui conduisent à nos frères et à nos sœurs. Au fond, un cœur pauvre, qui connaisse en fait ses propres pauvretés et qui se dépense pour l’autre.

Pour cela, chers frères et sœurs, je désire prier avec vous le Christ en ce Carême : « Fac cornostrum secundum cor tuum » : « Rends notre cœur semblable au tien » (Litanies du Sacré Cœur de Jésus).

Alors nous aurons un cœur fort et miséricordieux, vigilant et généreux, qui ne se laisse pas enfermer en lui-même et qui ne tombe pas dans le vertige de la mondialisation de l’indifférence.

4 Avec ce souhait, je vous assure de ma prière afin que chaque croyant et chaque communauté ecclésiale parcourt avec fruit le chemin du Carême, et je vous demande de prier pour moi.

Que le Seigneur vous bénisse et que la Vierge Marie vous garde.

Du Vatican, le 4 octobre 2014

Fête de saint François d’Assise François

22/02 /15 Le Carême, un temps de conversion de 40 jours (Paroisse Sainte-Croix du Haut du Roc)
La durée du Carême – quarante jours sans compter les dimanches – fait en particulier référence aux quarante années passées au désert par le peuple d’Israël entre sa sortie d’Égypte et son entrée en terre promise ; elle renvoie aussi aux quarante jours passés par le Christ au désert (Matthieu 4, 1-11) entre son baptême et le début de sa vie publique.

Ce chiffre de quarante symbolise les temps de préparation à de nouveaux commencements.

Le Carême, temps de conversion, repose sur la prière, la pénitence et le partage. La pénitence n’est pas une fin en soi, mais la recherche d’une plus grande disponibilité intérieure.

Le partage peut prendre différentes formes, notamment celle du don.

Pour en savoir plus :

Carême : quelques notions essentielles Prière, jeûne, pardon, conversion... sur le portail de la liturgie catholique édité par le Service Nationale de la Pastorale liturgique et sacramentelle.

22/02 /15 Etre Pélerin (Paroisse Sainte-Croix du Haut du Roc)
SE RETROUVER...SE RESSOURCER au cours des pèlerinages diocésains 2015

S'adresser : Pèlerinages diocésains - 29 rue François de Neufchâteau 88000 EPINAL

Directeur : Christian MARCHAL

Accueil : Marie-France GEORGEL

Tél : XX.XX.XX.XX.XX

mail: pele@catholique-vosges

site : http://www.catholique-vosges.fr/pelerinages

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Le pèlerin a un but…

celui-ci mène quelque part, à un terme, un lieu quel qu’il soit, qui aimante sa marche et dont en son cœur de pèlerin il attend je ne sais quoi, à la fois d’humble et d’immense, dont sa vie sans doute, et il l’espère, sera bouleversée. Le pèlerin n’est pas errant, il est mystérieusement aimanté.

Etre pèlerin, c’est marquer une pause dans le rythme fou des jours et celui de l’ennui ou de la solitude…

pour une rencontre...

C’est s’exposer à la nouveauté, à la surprise, à la différence, à la rencontre.

Le pèlerinage ne représente-t-il pas aussi le secret espoir que pour nous comme pour Moïse ait lieu une rencontre comparable à celle qu’il fit, s’approchant du buisson ardent ?

Car partir, c’est se rendre vulnérable ou perméable à Dieu. C’est manifester, par ce départ, que l’on est en quête de Dieu.

Dans sa longue marche, le pèlerin se réajuste, dans tous les sens du terme. Un peu comme on accorde un piano, pour que le timbre et la mélodie soient justes. L’homme en marche en quête de son Dieu s’ajuste, dans toutes les dimensions de son être. A mesure que son corps connaît la fatigue, au rythme de la marche, il retrouve en lui des profondeurs inattendues, des sources insoupçonnées. Dépouillé de" l’inessentiel", il devient plus profondément lui-même, retrouvant la voix intérieure de son Dieu, redevenant aussi peu à peu plus juste à l’égard d’autrui, ouvert à une relation différente. L’homme qui marche redécouvre autrement le visage de Dieu, de ce Dieu mystérieux qui aimante, ou oriente sa vie, comme à l’Orient se lève le soleil…

Nomades, le petit livre du marcheur et du pèlerin

Bayard, 2008

20/02 /15 Méditation : 1er dimanche de carême - 22 février 2015 (Saint Gérard de la vallée des lacs)

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1,12-15.

Jésus venait d’être baptisé. Aussitôt l’Esprit pousse Jésus au désert et, dans le désert, il resta quarante jours, tenté par Satan. Il vivait parmi les bêtes sauvages, et les anges le servaient.

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Après l’arrestation de Jean, Jésus partit pour la Galilée proclamer l’Évangile de Dieu ;
il disait : « Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à l’Évangile. »

VIVRE LA FIDÉLITÉ À DIEU

« Accorde-nous, Dieu tout-puissant, tout au long de ce Carême, de progresser dans la connaissance de Jésus Christ et de nous ouvrir à sa lumière par une vie de plus en plus fidèle » (prière d'ouverture).

Difficile pour l'homme de vivre au quotidien la fidélité à Dieu. Le récit du Déluge nous le rappelle (première lecture). En choisissant l'homme comme partenaire de l'Alliance, Dieu prenait un risque. L'épreuve du temps est là et l'homme a oublié Dieu. Pourtant, l'épisode du Déluge n'est pas d'abord l'histoire d'une vengeance de Dieu ; il raconte un nouveau commencement, une alliance renouvelée et universelle, à l'épreuve du temps et pour la vie.

L'arc-en-ciel est le signe donné de cette recréation. Aujourd'hui, par le baptême, le chrétien est création nouvelle en Jésus, mort et ressuscité (deuxième lecture). Il est engagé dans une alliance avec Dieu, alliance qui demande fidélité et adhésion par la foi au Dieu de Jésus Christ.

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Au désert, le peuple, infidèle à Dieu, avait succombé pendant ses années d'errance ; Jésus, lui, sort vainqueur de son affrontement à Satan.

Au désert, Israël avait failli dans sa fidélité à Dieu ; Jésus, lui, va se montrer totalement fidèle à Dieu, son Père. Au désert, il est l'homme nouveau de la nouvelle alliance (évangile).

En ce premier dimanche de Carême, les chrétiens sont invités à relire et à réentendre que l'Évangile est l'accomplissement de l'Alliance conclue avec le peuple élu et l'annonce de la destinée des baptisés : avoir part à la victoire du Christ au matin de Pâques. Mais cette participation requiert une entière fidélité à Dieu, c'est-à-dire une conversion permanente qui nous tient dans l'Alliance nouvelle.

20/02 /15 Jésus de Nazareth, la figure et le message (Lire et méditer ...)
Oeuvres Complètes de Joseph RATZINGER/BENOÎT XVI - volume VI/1

Editions Parole et Silence, 676 pages

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