
Voir la liste des paroisses du diocèse de Saint Dié des Vosges
Voir la liste des communes pour connaitre sa paroisse
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Il n’y a ni âge ni condition préalable pour demander la confirmation,
juste le désir de faire un pas de plus dans la vie chrétienne,
de demander à l’Esprit
qu’il déploie ce que vous avez déjà reçu au baptême.
Gérardmer
18h00 : Messe :
Pour François-Xavier MOREL(5ème anniv.) et famille – Lucie LAUBACHER et Lucette GEOFFROY-COQUILLARD
Gérardmer :
10h00 : Messe :
Pour René BONNARD, André et Jeanne BALLAND – Michèle famille ROMAIN, LEDRU – Fam. MONIN, VERNIER, DURAND, LEROGNON, MOUGEOLLE, FREMINET, VOINSON, RIEFFEL – Gilberte GEORGEON, fam. GEORGEON et NICHINI – Georges VANIER, Maurice, Andrée et Fabrice FRANÇOIS, Pierre MARCHAL – Patrick LE FORT – Alice et Marie-Claire GABRIEL (20ème anniv) –Marie-Madeleine NURDIN – Alice GROSJEAN – Félicien SAINT-DIZIER et familles SAINT-DIZIER, CARTELLI, FERRY, DEZAGA
Recommandations : Delphine THIRIAT
Le Tholy :
10h00 : Adap :
Pour tous les paroissiens, les défunts : André et Odette VOIRIN, Denise Febvet (3ème anniversaire), Jean-Marc CLAUDEL (3ème anniversaire).
Xonrupt : Ni Messe, ni Adap.
Gérardmer :
18h00 : Messe :
Pour Abbé Jacques BARBE
Le Tholy :
14h00 : Réunion de l'équipe du Rosaire au presbytère.
Gérardmer :
16h00 : Groupe de prière avec les résidents à la chapelle du Clair Logis .
17h15 : Prière du chapelet à la chapelle
18h00 : MESSE DES CENDRES :ENTRÉE EN CARÊME
Pour Émile THIMONT – René DESJEUNES (rassemblement familial)
Gérardmer :
9 h 15 : Célébration à Clair Logis
18h00 : Groupe de prière du Renouveau à l'église (entrée par la porte latérale)
Gérardmer :
17h30 à 18h00 : Confessions et Adoration
18H00 : Messe
Gérardmer :
18h00 : Messe :
Pour Marguerite et Georges PIERRAT et défunts MORICE, PIERRAT- Daniel MUNIER (3ème anniversaire) .
Gérardmer :
10h00 : Messe :
Pour Antoinette VIRY, sa famille et Robert – Robert THOMAS
Le Tholy :
10h00 : Adap :
Pour tous les paroissiens, les défunts : Les défunts de la famille FRANÇOIS, Louis DEMANGE (6ème anniversaire).
Xonrupt :
10h00 : Adap.
Les demandes de messes doivent être faites 15 jours avant la célébration souhaitée :
au presbytère de Gérardmer, chaque matin de 9h30 à 11h30 (permanences le matin).
Ou pour le Tholy : Auprès d'Odile Mansuy : XX.XX.XX.XX.XX
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
L’onction des malades est le sacrement de la maladie grave.
Pourquoi un sacrement de la maladie grave ?
Parce que celle-ci apporte un bouleversement profond dans la vie d’un homme ou d’une femme : rupture avec les activités professionnelles et souvent avec la vie familiale, isolement ou promiscuité de la chambre d’hôpital, préoccupation financière, sans parler de la souffrance physique et morale, des interrogations secrètes que chacun se pose alors.
Par le sacrement de l’Onction, le Christ vient vers le malade pour l’apaiser, lui rendre confiance, lui pardonner sa faiblesse et le fortifier ainsi moralement face à la maladie.
On peut en voir déjà une annonce dans le récit que donne St Marc de la mission des Apôtres, envoyés par le Seigneur prêcher la conversion dans les village de Galilée : Ils faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades et les guérissaient. (Mc 5,13)
Mais c’est avec la lettre de St Jacques qu’apparaît le sacrement de l’Onction des malades. "L’un de vous est-il malade ? Qu’il fasse appeler les anciens de l’Eglise et qu’ils prient après avoir fait sur lui une onction d’huile au nom du Seigneur. La prière de la foi sauvera le patient ; le Seigneur le relèvera et, s’il a des péchés à son actif, il lui sera pardonné." (Jacques 5, 14-15)
La visite des malades :
La visite des malades et des personnes âgées est un geste fraternel, que tout homme et toute femme savent accomplir sans qu’ils aient besoin d’être motivés par la foi.
A côté du service rempli près des malades par le personnel médical et infirmier, la visite constitue une démarche gratuite et amicale, qui ravive l’espérance de celui qui la reçoit. Le bienfait est inappréciable pour le malade privé de toute relation familiale ou sociale.
Dans une perspective de foi, visiter un malade, c’est visiter le Christ, car celui-ci a voulu s’identifier à tous ceux qui souffrent : J’étais malade, et vous m’avez visité (Mt 25,36). La visite des malades et des personnes âgées est une charge qui incombe à toute communauté de chrétiens et particulièrement à la communauté paroissiale.
Sans doute la visite du prêtre a-t-elle un impact particulier près d’un malade chrétien, car il espère du ministre de Jésus Christ une parole qui, à ses yeux, aura plus de poids que celle d’un autre de ses frères, mais ceux-ci doivent se sentir concernés. Il est d’ailleurs des milieux où des laïcs pénètrent plus facilement que le prêtre, car on n’y attend rien de son sacerdoce. Il est souhaitable qu’on ne s’en remette pas à la bonne volonté générale mais que, dans chaque paroisse, il y ait un service des malades et des personnes âgées, chargé de coordonner les initiatives individuelles. Le rôle des femmes y est capital.
Notre diocèse a récemment reçu Pierre RABHI, qui prône une société humaine et écologique, une engagement citoyen inspiré par la "légende du colibri".
Ces défis écologiques dépassent les frontières de nos paroisses.
Les enjeux touchent à notre avenir et celui de nos enfants.
Le diocèse de Verdun propose une journée de formation sur ce thème avec cette question : "Et pourquoi comme chrétien se soucier d'écologie ?"
Ci-joint un bulletin d'inscription à cette journée pour ceux qui désirent un éclairage sur ce sujet.
C’est Josette, catéchiste qui a dévoilé la plaque de la
C’est Jeannine Aptel, leur fille qui a dévoilé la plaque après que nous ayons prié à leur intention et à celle des membres de leur famille
D’ailleurs, nous vous invitons à l’assemblée générale qui se tiendra
au N° 14 dans la Salle Abbé Barotte,
le 24 février ,
à 17 heures.
L’ordre du jour sera : Rénovation de la cuisine.
L’association doit demander l’accord des membres pour effectuer les dépenses relatives à ces travaux.
UN PEU D'HISTOIRE
La SEMAINE RELIGIEUSE du diocèse de Saint-Dié N°11 du vendredi 18 Mars 1898
En ce temps-là, un lépreux vint auprès de Jésus ; il le supplia et, tombant à ses genoux, lui dit : « Si tu le veux, tu peux me purifier. »
Saisi de compassion, Jésus étendit la main, le toucha et lui dit : « Je le veux, sois purifié. »
Dès le début de son ministère, Jésus se soucie de l'humanité souffrante.
L'évangile de Marc rapporte qu'il fit de nombreuses guérisons. Il précise la nature de plusieurs d'entre elles.
D'abord, Jésus délivre un homme possédé d'un esprit mauvais (4e dimanche) ; puis il guérit de sa fièvre la belle-mère de Simon (5e dimanche) ; aujourd'hui il purifie un lépreux ; et bientôt (7e dimanche, qui ne sera pas célébré cette année), il remettra sur pied un paralysé après lui avoir pardonné ses péchés.
Dans le premier miracle, il avait employé une parole, et, dans le deuxième, un geste, en saisissant la malade par la main ; dans le troisième, il joint la parole à un double geste. Dans le quatrième, il ne prononcera que des paroles, mais dans un ordre tout à fait original : d'abord, le pardon des péchés ; ensuite seulement la parole de guérison.
Il y a dans ces guérisons une sorte de sacramentalité qui s'ébauche : l'action bienfaisante s'opère à travers des gestes et des paroles ; elle a un effet de salut, au sens originaire du terme : elle rend la santé ; mais cette santé est indissociablement physique et spirituelle.
L'évangile montre le salut qui est à l'œuvre ; Jésus est vraiment le Sauveur attendu. La lèpre était considérée dans l'Antiquité non seulement comme une terrible maladie qui entraînait toutes les mises à l'écart (première lecture), mais aussi comme une souillure rituelle, ce qui explique le verbe employé :
Jésus purifie cet homme. Et il le fait par un geste rituel : il étend la main, puis il enfreint l'interdit légal en touchant le lépreux, et enfin il prononce une parole de purification.
En outre - et ceci est propre au récit de ce dimanche -, Marc précise ce qui, en Jésus, a provoqué la décision de guérir : il a été saisi de compassion.
Le verbe grec employé ici dit plus que la pitié : littéralement, Jésus est pris aux entrailles, le terme pouvant désigner les entrailles de la mère. L'évangile suggère que le Sauveur éprouve une tendresse maternelle pour ceux qui souffrent. Cela aussi est une dimension essentielle de la Révélation.