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Paroisses
A nous d’être à l’écoute de ceux qui cherchent à avancer,
qui attendent la force de ce sacrement et de leur proposer.
Merci d’être les relais de cette information.
A nous d’être à l’écoute de ceux qui attendent la force de ce sacrement et de leur proposer. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Confirmation des adultes
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Un parcours vers ce sacrement de l’initiation débutera à la pentecôte 2015 lors du rassemblement diocésain
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La confirmation aura lieu dans le temps pascal 2016.
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Il n’y a ni âge ni condition préalable pour demander la confirmation,
juste le désir de faire un pas de plus dans la vie chrétienne,
de demander à l’Esprit
qu’il déploie ce que vous avez déjà reçu au baptême.
- Si vous avez le désir d’être confirmé, contactez le service du catéchuménat.
- Des petites équipes par zone, au plus près de chacun, se constitueront avec des rencontres régulières et des rendez-vous diocésains.
- C’est l’occasion pour ceux qui tentent l’aventure de prendre le temps de parler de ce qui les anime en profondeur.
- Invitation à reconnaitre l’amour de Dieu dans son histoire, à laisser résonner la Parole de Dieu avec ses propres paroles, à prier, à connaitre davantage le Christ, à trouver sa manière de le suivre au quotidien.
- Tout cela avec des compagnons de route : les liens tissés, les échanges conduisent à une plus grande maturité dans la vie et dans la foi.
http://www.catholique-vosges.fr/catechumenat
Contact Annie Viry, tel XX.XX.XX.XX.XX, xxx@xxx.xx - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
(Gérardmer, Liézey, Le Tholy, Xonrupt) Annonces semaine du 14 au 22 février 2015 :
Samedi 14 février 2015 :
Gérardmer
18h00 : Messe :
Pour François-Xavier MOREL(5ème anniv.) et famille – Lucie LAUBACHER et Lucette GEOFFROY-COQUILLARD
Dimanche 15 février 2015 :
Gérardmer :
10h00 : Messe :
Pour René BONNARD, André et Jeanne BALLAND – Michèle famille ROMAIN, LEDRU – Fam. MONIN, VERNIER, DURAND, LEROGNON, MOUGEOLLE, FREMINET, VOINSON, RIEFFEL – Gilberte GEORGEON, fam. GEORGEON et NICHINI – Georges VANIER, Maurice, Andrée et Fabrice FRANÇOIS, Pierre MARCHAL – Patrick LE FORT – Alice et Marie-Claire GABRIEL (20ème anniv) –Marie-Madeleine NURDIN – Alice GROSJEAN – Félicien SAINT-DIZIER et familles SAINT-DIZIER, CARTELLI, FERRY, DEZAGA
Recommandations : Delphine THIRIAT
Le Tholy :
10h00 : Adap :
Pour tous les paroissiens, les défunts : André et Odette VOIRIN, Denise Febvet (3ème anniversaire), Jean-Marc CLAUDEL (3ème anniversaire).
Xonrupt : Ni Messe, ni Adap.
Mardi 17 Février 2015 :
Gérardmer :
18h00 : Messe :
Pour Abbé Jacques BARBE
Le Tholy :
14h00 : Réunion de l'équipe du Rosaire au presbytère.
Mercredi 18 Février 2015 :
Gérardmer :
16h00 : Groupe de prière avec les résidents à la chapelle du Clair Logis .
17h15 : Prière du chapelet à la chapelle
18h00 : MESSE DES CENDRES :ENTRÉE EN CARÊME
Pour Émile THIMONT – René DESJEUNES (rassemblement familial)
Jeudi 19 Février 2015 :
Gérardmer :
9 h 15 : Célébration à Clair Logis
18h00 : Groupe de prière du Renouveau à l'église (entrée par la porte latérale)
Vendredi 20 Février 2015 :
Gérardmer :
17h30 à 18h00 : Confessions et Adoration
18H00 : Messe
Samedi 21 février 2015 :
Gérardmer :
18h00 : Messe :
Pour Marguerite et Georges PIERRAT et défunts MORICE, PIERRAT- Daniel MUNIER (3ème anniversaire) .
Dimanche 22 février 2015 :
Gérardmer :
10h00 : Messe :
Pour Antoinette VIRY, sa famille et Robert – Robert THOMAS
Le Tholy :
10h00 : Adap :
Pour tous les paroissiens, les défunts : Les défunts de la famille FRANÇOIS, Louis DEMANGE (6ème anniversaire).
Xonrupt :
10h00 : Adap.
Les demandes de messes doivent être faites 15 jours avant la célébration souhaitée :
au presbytère de Gérardmer, chaque matin de 9h30 à 11h30 (permanences le matin).
Ou pour le Tholy : Auprès d'Odile Mansuy : XX.XX.XX.XX.XX
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
L’onction des malades est le sacrement de la maladie grave.
Pourquoi un sacrement de la maladie grave ?
Parce que celle-ci apporte un bouleversement profond dans la vie d’un homme ou d’une femme : rupture avec les activités professionnelles et souvent avec la vie familiale, isolement ou promiscuité de la chambre d’hôpital, préoccupation financière, sans parler de la souffrance physique et morale, des interrogations secrètes que chacun se pose alors.
Par le sacrement de l’Onction, le Christ vient vers le malade pour l’apaiser, lui rendre confiance, lui pardonner sa faiblesse et le fortifier ainsi moralement face à la maladie.
On peut en voir déjà une annonce dans le récit que donne St Marc de la mission des Apôtres, envoyés par le Seigneur prêcher la conversion dans les village de Galilée : Ils faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades et les guérissaient. (Mc 5,13)
Mais c’est avec la lettre de St Jacques qu’apparaît le sacrement de l’Onction des malades. "L’un de vous est-il malade ? Qu’il fasse appeler les anciens de l’Eglise et qu’ils prient après avoir fait sur lui une onction d’huile au nom du Seigneur. La prière de la foi sauvera le patient ; le Seigneur le relèvera et, s’il a des péchés à son actif, il lui sera pardonné." (Jacques 5, 14-15)
La visite des malades :
La visite des malades et des personnes âgées est un geste fraternel, que tout homme et toute femme savent accomplir sans qu’ils aient besoin d’être motivés par la foi.
A côté du service rempli près des malades par le personnel médical et infirmier, la visite constitue une démarche gratuite et amicale, qui ravive l’espérance de celui qui la reçoit. Le bienfait est inappréciable pour le malade privé de toute relation familiale ou sociale.
Dans une perspective de foi, visiter un malade, c’est visiter le Christ, car celui-ci a voulu s’identifier à tous ceux qui souffrent : J’étais malade, et vous m’avez visité (Mt 25,36). La visite des malades et des personnes âgées est une charge qui incombe à toute communauté de chrétiens et particulièrement à la communauté paroissiale.
Sans doute la visite du prêtre a-t-elle un impact particulier près d’un malade chrétien, car il espère du ministre de Jésus Christ une parole qui, à ses yeux, aura plus de poids que celle d’un autre de ses frères, mais ceux-ci doivent se sentir concernés. Il est d’ailleurs des milieux où des laïcs pénètrent plus facilement que le prêtre, car on n’y attend rien de son sacerdoce. Il est souhaitable qu’on ne s’en remette pas à la bonne volonté générale mais que, dans chaque paroisse, il y ait un service des malades et des personnes âgées, chargé de coordonner les initiatives individuelles. Le rôle des femmes y est capital.
Notre diocèse a récemment reçu Pierre RABHI, qui prône une société humaine et écologique, une engagement citoyen inspiré par la "légende du colibri".
Ces défis écologiques dépassent les frontières de nos paroisses.
Les enjeux touchent à notre avenir et celui de nos enfants.
Le diocèse de Verdun propose une journée de formation sur ce thème avec cette question : "Et pourquoi comme chrétien se soucier d'écologie ?"
Ci-joint un bulletin d'inscription à cette journée pour ceux qui désirent un éclairage sur ce sujet.
Trois de nos salles ont pris pour noms :
Abbé Barotte ,
Marie Vauthier,
au N° 14
Et,
Gaby et Yvonne Renaud,
au N° 20 ,
en souvenir et remerciements,
et
en présence de Mr l’Abbé Vuillemin, curé modérateur de la paroisse St Goëry d’Epinal, Mr le Curé Gérard Thomas, Jean Marie Thomas président de l’Association La Familiale et des Anciens de St Antoine.
Monsieur le Curé a dévoilé la petite plaque :
- Salle Abbé Barotte
Dans cette salle se trouve un joli tableau exécuté par un de nos anciens paroissiens représentant l’église à son origine. C’est en souvenir de Mr l’Abbé Barotte qui était aumônier du Cercle catholique d’Epinal et possédait un terrain au centre du quartier du Champ du Pin.
Il l’a donné et a été chargé par l’Abbé Brenier, Curé de St Maurice de s’occuper de la construction de l’Eglise.
La première pierre a été posée le 11 juillet 1897.
Mr l’Abbé Barotte repose dans l’ancien Cimetière St Michel.
Dans cette salle, des documents relatent la construction et les débuts de la vie dans notre église St Antoine.
C’est Josette, catéchiste qui a dévoilé la plaque de la
- Salle Marie Vauthier
C’est en souvenir de « Mademoiselle Marie » qui était membre de la SCI de la rue St Antoine en 1938.
Elle nous faisait le catéchisme dans cette salle. Elle habitait avec sa sœur Jeanne dans la maison Molli, 65 Route de Remiremont.
Elle consacrait tout son temps à la paroisse, chantait et jouait de l’orgue à tous les offices et de l’harmonium aux messes du matin, préparait toutes les fêtes, les kermesses etc . Elle est décédée subitement sur la scène de notre théâtre et a eu un enterrement de Bienheureuse.
Nous avons prié à l’intention de Mr l’Abbé Barotte pour le remercier de cette belle église et pour les prêtres, les vicaires ainsi que les religieuses qui se sont succédés dans notre paroisse.
Nous avons également prié pour Melle Marie ainsi que pour toutes et tous les catéchistes qui se sont dévoués à aider les enfants à devenir chrétiens.
C’est Jeannine Aptel, leur fille qui a dévoilé la plaque après que nous ayons prié à leur intention et à celle des membres de leur famille
- Salle Yvonne et Gaby Renaud
Gabriel Renaud était membre fondateur de l’Association La Familiale créée en 1937. Sa famille et lui même ont toujours été impliqués dans la vie de la paroisse.
Quelques exemples :
Yvonne avait mis en route « le panier du Curé »
Chaque dimanche, une famille préparait et apportait le repas pour les prêtres. Gaby, après l’installation des nombreux stands, avec son grand tablier blanc était le cuisinier et le caviste à la kermesse où l’on venait de tout Epinal et des alentours. Il y avait aussi celle que l’on appelait « Tan Ja » et les enfants de Gaby et Yvonne : Jeannine, Bernadette, Marie-Cécile, Marie-Madeleine, Marie-France et Odile et son mari Jacques qui était notre trésorier de la Familiale. Tous nous ont toujours témoigné toute leur amitié.
Jeanine a pris le relais. Elle a occupé de nombreux postes et toujours active, elle rend de très nombreux services à notre communauté. Elle est secrétaire de l’association La Familiale qui a en charge de gérer les locaux occupés par le Secours catholique (autrefois la Salle Notre Dame de Lourdes) et le bâtiment dans lequel nous sommes.
D’ailleurs, nous vous invitons à l’assemblée générale qui se tiendra
au N° 14 dans la Salle Abbé Barotte,
le 24 février ,
à 17 heures.
L’ordre du jour sera : Rénovation de la cuisine.
L’association doit demander l’accord des membres pour effectuer les dépenses relatives à ces travaux.
Article et photos de Michèle SCHNEIDER, déléguée à la communication.
UN PEU D'HISTOIRE
La SEMAINE RELIGIEUSE du diocèse de Saint-Dié N°11 du vendredi 18 Mars 1898
Nous sommes heureux d’annoncer pour dimanche prochain 20 Mars,
l’inauguration de la nouvelle église qui vient d’être construite sous l’invocation de St Antoine de Padoue.
Après les cérémonies de la bénédiction de l’édifice et de la cloche, Mr l’Archiprêtre célébrera la première messe.
Le soir même commencera dans le nouveau sanctuaire, en même temps que dans une salle pour l’autre rive de la Moselle, une retraite de huit jours pour les femmes du quartier.
L’on nous permettra de recommander à cette occasion,
aux fidèles si nombreux de notre diocèse qui cultivent la dévotion à St Antoine de Padoue et qui envoient leurs offrandes au dehors,
de diriger celle-ci de préférence vers la nouvelle église d’Epinal, la seule qui soit dédiée dans les Vosges, au saint apôtre des pauvres.
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1,40-45.
En ce temps-là, un lépreux vint auprès de Jésus ; il le supplia et, tombant à ses genoux, lui dit : « Si tu le veux, tu peux me purifier. »
Saisi de compassion, Jésus étendit la main, le toucha et lui dit : « Je le veux, sois purifié. »
À l’instant même, la lèpre le quitta et il fut purifié.
Avec fermeté, Jésus le renvoya aussitôt
en lui disant : « Attention, ne dis rien à personne, mais va te montrer au prêtre, et donne pour ta purification ce que Moïse a prescrit dans la Loi : cela sera pour les gens un témoignage. »
Une fois parti, cet homme se mit à proclamer et à répandre la nouvelle, de sorte que Jésus ne pouvait plus entrer ouvertement dans une ville, mais restait à l’écart, dans des endroits déserts. De partout cependant on venait à lui.
LA COMPASSION DU SAUVEUR
Dès le début de son ministère, Jésus se soucie de l'humanité souffrante.
L'évangile de Marc rapporte qu'il fit de nombreuses guérisons. Il précise la nature de plusieurs d'entre elles.
D'abord, Jésus délivre un homme possédé d'un esprit mauvais (4e dimanche) ; puis il guérit de sa fièvre la belle-mère de Simon (5e dimanche) ; aujourd'hui il purifie un lépreux ; et bientôt (7e dimanche, qui ne sera pas célébré cette année), il remettra sur pied un paralysé après lui avoir pardonné ses péchés.
Dans le premier miracle, il avait employé une parole, et, dans le deuxième, un geste, en saisissant la malade par la main ; dans le troisième, il joint la parole à un double geste. Dans le quatrième, il ne prononcera que des paroles, mais dans un ordre tout à fait original : d'abord, le pardon des péchés ; ensuite seulement la parole de guérison.
Il y a dans ces guérisons une sorte de sacramentalité qui s'ébauche : l'action bienfaisante s'opère à travers des gestes et des paroles ; elle a un effet de salut, au sens originaire du terme : elle rend la santé ; mais cette santé est indissociablement physique et spirituelle.
L'évangile montre le salut qui est à l'œuvre ; Jésus est vraiment le Sauveur attendu. La lèpre était considérée dans l'Antiquité non seulement comme une terrible maladie qui entraînait toutes les mises à l'écart (première lecture), mais aussi comme une souillure rituelle, ce qui explique le verbe employé :
Jésus purifie cet homme. Et il le fait par un geste rituel : il étend la main, puis il enfreint l'interdit légal en touchant le lépreux, et enfin il prononce une parole de purification.
En outre - et ceci est propre au récit de ce dimanche -, Marc précise ce qui, en Jésus, a provoqué la décision de guérir : il a été saisi de compassion.
Le verbe grec employé ici dit plus que la pitié : littéralement, Jésus est pris aux entrailles, le terme pouvant désigner les entrailles de la mère. L'évangile suggère que le Sauveur éprouve une tendresse maternelle pour ceux qui souffrent. Cela aussi est une dimension essentielle de la Révélation.