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Une année qui se termine, et une autre qui commence, c’est l’occasion de jeter un regard sur le temps qui s’écoule et de voir comment nous l’employons.
C’est un moment où nous avons l’impression de pouvoir arrêter le temps… ne serait-ce qu’un instant, pour bien le regarder.
L’Avent nous a rappelé que l’histoire a un sens, que les époques passées étaient des étapes vers un accomplissement, qu’il fallait espérer, compter sur la force de Dieu qui ne nous laisse jamais tomber, s’occupe de nous, prend les devants.
Il ouvre un avenir.
Noël a fait scintiller une petite lumière dans la nuit : nous ne sommes plus seuls, Dieu s’est glissé dans notre humanité. Il a choisi d’entrer dans notre humanité par la porte du dénuement, de la vulnérabilité, de sorte que les personnes vivant ces situations sont les premières sur le chemin de Dieu, et sont assurées d’être prioritaires à ses yeux.
Voilà ce que Noël nous invite à vivre.
Voilà le miracle formidable de Noël.
Au seuil de l’année civile nouvelle, il est bon d’implorer la Bénédiction, la Force de Dieu pour poursuivre le rude chemin d’être homme et aussi de nous placer sous la garde de celle que l’on ose appeler « Mère de Dieu » et qui, de ce fait, est également Notre Mère.
Nous implorons la Bénédiction, la Force de Dieu pour poursuivre le rude chemin d’être homme. De la sorte, nous serons armés – doublement – pour affronter les aléas de cette nouvelle année.
Alors nous pouvons nous souhaiter en vérité : une Bonne et heureuse année, pour nous et pour tous les nôtres, pleine de paix et de joie.
Abbé Jean BELAMBO, Curé.
Nous avons reçu 9 réalisations, toutes très originales de par les matériaux utilisés (papier, bois, carton, légos, cailloux) et de par la représentation des personnages de la Sainte Famille.
En contemplant ces crèches, placées pour former un chemin vers le don de Dieu à tous les hommes de bonne volonté, nous ressentons le plaisir, la joie, la fierté que les enfants et leurs familles ont placés dans ces réalisations, où chacun a mis tout son cœur. Que tous en soient remerciés !
Nous pourrons les admirer tous les dimanches, jusqu’au 1ᵉʳ février inclus.
Les crèches exposées dans le choeur de l'église de Saulxures
Au début de la célébration, ils ont mimé une histoire d’anniversaire.
Ce conte nous faisait réfléchir sur les cadeaux de Noël : les plus importants sont, avant tout, les cadeaux venus du cœur et non les cadeaux matériels.
Ainsi les enfants ont repris en chœur « C’est Noël sur la terre chaque jour, car Noël, ô mon frère, c’est l’amour »
Ce fut une belle messe sous la présidence de l’abbé Paul PHILIPPE.
Après l’Évangile, l’abbé Jean BELAMBO a porté l’Enfant JESUS dans la crèche, suivi par tous les enfants très attentionnés à leur bougie.
Cette lumière qui fait scintiller la nuit de Noël et nous montre l’Amour de Dieu. Bravo à tous les participants !
Les enfants participent à la fête de NoëlLes enfants, avec l’aide de toute une équipe, avaient confectionné des couronnes de Noël qu’ils ont accrochées aux portes des chambres. En remerciement, les résidents avaient préparé des cœurs remplis de friandises.
Jésus était né à Bethléem en Judée, au temps du roi Hérode le Grand. Or, voici que des mages venus d’Orient arrivèrent à Jérusalem
et demandèrent : « Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu son étoile à l’orient et nous sommes venus nous prosterner devant lui. »
Les « nations » désignent dans la Bible tous ceux qui ne font pas partie du peuple d'Israël. Souvent, les traductions les appellent « les païens », ce qui peut paraître péjoratif- Certes, ils ne connaissent pas encore le vrai Dieu qui a fait alliance avec son peuple. Mais, dans sa bonté, Dieu a voulu « les associer au même héritage, au même corps, au partage de la même promesse, dans le Christ Jésus, par l'annonce de l'Évangile » (deuxième lecture).
Ce dessein de Dieu est ce que saint Paul appelle « le mystère du Christ ».
Pour l'humanité, c'est la bonne nouvelle !
Elle avait été annoncée, au sein même du peuple de l'Alliance, par quelques oracles prophétiques qui décrivent Jérusalem comme destinée à devenir le point d'attraction des nations : « La gloire du Seigneur brillera sur toi. Les nations marcheront vers ta lumière, et les rois, vers la clarté de ton aurore » (première lecture).
Mais cette perspective n'était guère au centre des préoccupations du peuple élu, attaché à ses privilèges et, à l'époque de Jésus, écrasé par une domination étrangère, donc païenne.
Nous savons que, sur cette question, le débat a été passionné dans les premières communautés chrétiennes où se côtoyèrent peu à peu les fidèles issus du judaïsme et ceux qui venaient du paganisme.