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Paroisses
à 19 h,
à l’église Notre-Dame au Cierge et à l’église de Dogneville .
CELEBRATION DES CENDRES
et,
DÎNER FRUGAL PARTAGÉ ENSEMBLE.
Tous les paroissiens (enfants, jeunes, adultes) sont invités à poursuivre le rassemblement de l'office des Cendres par le partage d'un repas frugal (un bol de riz et une banane) qui sera offert par la paroisse.
Chacun pourra ensuite reverser personnellement, s’il le désire, le prix de son repas du soir
au CCFD Terre Solidaire (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement).
Ce temps communautaire de partage veut nous rappeler l'importance de la pénitence et du partage.
10 février,
après la messe
dans la salle de restauration de la maison diocésaine,
derrière l'église Notre-Dame.
MPORTANT : merci d’apporter un verre, un bol et une cuillère.
Pas d’inscription préalable.
CHORALE DES PEUPLES
DU NOUVEAU À LA PAROISSE SAINT-GOËRY
les curés de la Paroisse ont prévu d'instaurer une Messe pour les Peuples une fois par an dans notre paroisse. Le lieu et la date restent encore à définir.
Cette messe permettra aux paroissiens venus d’ailleurs de partager leur manière de célébrer et de chanter.
Une chorale « Gospel » est en gestation pour animer cette messe et pourquoi pas, à l’avenir, d’autres célébrations liturgiques.
Pour en savoir plus,
un premier contact est prévu
le mercredi 17 février 2016
à la maison paroissiale
à 16 h.
Venez nombreux afin de prendre connaissance de ce chaleureux projet.
C’est ouvert à toutes les personnes, enfants, jeunes qui aiment chanter, jouer un instrument ou qui aimeraient le faire.
Nous voulons chanter dans toutes les langues et de manière bien rythmée.
Venez et vous verrez !
Pour tout renseignement, contacter :
Abbé Mathias : XX.XX.XX.XX.XX
Anne-Marie Bavélélé : XX.XX.XX.XX.XX
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 4,1-13.
Jésus, rempli d’Esprit Saint, quitta les bords du Jourdain ; dans l’Esprit, il fut conduit à travers le désert
où, pendant quarante jours, il fut tenté par le diable. Il ne mangea rien durant ces jours-là, et, quand ce temps fut écoulé, il eut faim.
Le diable lui dit alors : « Si tu es Fils de Dieu, ordonne à cette pierre de devenir du pain. »
Jésus répondit : « Il est écrit : L’homme ne vit pas seulement de pain. »
Alors le diable l’emmena plus haut et lui montra en un instant tous les royaumes de la terre.
Il lui dit : « Je te donnerai tout ce pouvoir et la gloire de ces royaumes, car cela m’a été remis et je le donne à qui je veux.
Toi donc, si tu te prosternes devant moi, tu auras tout cela. »
Jésus lui répondit : « Il est écrit : C’est devant le Seigneur ton Dieu que tu te prosterneras, à lui seul tu rendras un culte. »
Puis le diable le conduisit à Jérusalem, il le plaça au sommet du Temple et lui dit : « Si tu es Fils de Dieu, d’ici jette-toi en bas ;
car il est écrit : Il donnera pour toi, à ses anges, l’ordre de te garder ;
et encore : Ils te porteront sur leurs mains, de peur que ton pied ne heurte une pierre. »
Jésus lui fit cette réponse : « Il est dit : Tu ne mettras pas à l’épreuve le Seigneur ton Dieu. »
Ayant ainsi épuisé toutes les formes de tentations, le diable s’éloigna de Jésus jusqu’au moment fixé.
LE COMBAT DE LA F0I
Le Carême est, par excellence, le parcours final du candidat au baptême qui sera célébré à Pâques.
Les paroisses qui accompagnent des catéchumènes, ce qui est de plus en plus fréquent, sont particulièrement concernées par ce parcours. Et, plus largement, le Carême est, pour tous les chrétiens, l'occasion privilégiée de réactualiser les réalités fondamentales de la foi.
Cette foi s'inscrit dans une histoire, l'histoire du salut. Les premières lectures des dimanches du Carême présentent un épisode de cette histoire.
Aujourd'hui on rappelle la délivrance lors de la sortie d’Égypte grâce à la puissance de Dieu, ainsi que l'entrée du peuple dans le pays ruisselant de lait et de miel (première lecture).
Cette délivrance de la captivité et l'entrée dans une terre de délices ont été interprétées par la tradition chrétienne comme une figure du baptême qui libère l'homme de la puissance du mal et le fait entrer dans le royaume de Dieu.
Mais cela ne s'obtient pas sans péril. Nous ne sommes pas menacés par les chars d’Égypte, mais par un ennemi plus retors, celui que Jésus lui-même dut affronter après le baptême qu'il reçut de Jean, en signe de sa solidarité avec les pécheurs.
Jésus, poussé au désert, y lutta pendant quarante jours contre le Diable, qui est le Diviseur (en grec, Diabolos), l'Ennemi qui cherche à séparer du Seigneur.
Nous ne pouvons pas nous représenter son action spirituelle, mais nous subissons ses tentatives qui sont autant de tentations, c'est-à-dire pas seulement des mises à l'épreuve mais des incitations à faire le mal : il cherche à nous séparer de Dieu et de son amour (évangile).
Pour triompher des tentations, nous sommes invités, comme le dit saint Paul (deuxième lecture), à affirmer que Jésus est le Seigneur et à croire que Dieu l'a ressuscité d'entre les morts.
C'est la condition requise pour être sauvé, c'est-à-dire pour avoir la vie sauve, la vie nouvelle qui jaillit précisément du Christ mort et ressuscité.
* La Paroisse Saint-Jean-Baptiste de Châtenois invite les membres de notre Communauté de Paroisses (Châtenois, Domrémy, Liffol, Neufchâteau) à une soirée de Carême "Bol de riz". * Cette soirée aura lieu
à la salle paroissiale de Châtenois (près de l'église)
le mercredi 24 février
à partir de 19h
* Programme de la soirée19h - Repas "Bol de riz" (riz, pomme, eau)
....... Apportez bol, couverts, verre.
.
20h - Animation proposée par le CCFD - Terre Solidaire
* Thème : "La justice climatique" : les actions menées en Amazonie bolivienne.
* Quête au profit du CCFD
* Présence du stand "Artisans du Monde" * *
A noter : Il n'y aura pas de soirée "Bol de riz" à Neufchâteau.
DMB
INVITATION
Invitation-ParticipationVous êtes conviés à une journée de ressourcement sur le thème
« Le service du frère et le respect de l’environnement : Tout est lié »Lundi 7 Mars 2016 de 8h45 à 16h45
Maison Diocésaine - 29 rue François de Neufchâteau, Epinal
Cette journée est ouverte à tous les bénévoles, sympathisants et toutes les personnes que nous rencontrons dans le cadre nos activités. Nous espérons que vous y trouverez une occasion d’échange et d’enrichissement, et nous comptons vivement sur votre présence. Fraternellement.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 6,1-6.16-18.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Ce que vous faites pour devenir des justes, évitez de l’accomplir devant les hommes pour vous faire remarquer. Sinon, il n’y a pas de récompense pour vous auprès de votre Père qui est aux cieux.
Ainsi, quand tu fais l’aumône, ne fais pas sonner la trompette devant toi, comme les hypocrites qui se donnent en spectacle dans les synagogues et dans les rues, pour obtenir la gloire qui vient des hommes. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont reçu leur récompense.
Mais toi, quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que fait ta main droite,
afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père qui voit dans le secret te le rendra.
Et quand vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites : ils aiment à se tenir debout dans les synagogues et aux carrefours pour bien se montrer aux hommes quand ils prient. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont reçu leur récompense.
Mais toi, quand tu pries, retire-toi dans ta pièce la plus retirée, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret ; ton Père qui voit dans le secret te le rendra.
Et quand vous jeûnez, ne prenez pas un air abattu, comme les hypocrites : ils prennent une mine défaite pour bien montrer aux hommes qu’ils jeûnent. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont reçu leur récompense.
Mais toi, quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ;
ainsi, ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement de ton Père qui est présent au plus secret ; ton Père qui voit au plus secret te le rendra. »
VOICI MAINTENANT LE MOMENT FAVORABLE
Pendant une année, il y a des périodes bien typées : le départ en vacances le temps des examens pour les plus jeunes, les achats de Noël, etc.
Il y a un temps pour tout, disait le sage Qohèleth. Un temps aussi pour se laisser réconcilier avec Dieu. Même chez les Croyants les relations avec Dieu ne sont pas toujours au beau fixe. Des tensions naissent, provoquées le plus souvent par nos faiblesses et nos péchés.
Or, nous dit saint Paul (deuxième lecture), voici le moment favorable, voici le jour du salut, du renouveau de notre vie. Il ne faut pas le laisser passer. Il s'agit de profiter de ces quarante jours pour essayer de devenir un peu meilleurs. Non que cela dépende d'abord de nos efforts. La sainteté ne se conquiert pas à la force du poignet. L'homme juste est celui qui accueille la justice venant de Dieu
N'empêche qu'il faut aussi mettre la main à la pâte
L’évangile d'aujourd'hui évoque trois pratiques traditionnelles :
- donner aux pauvres,
- prier dans le secret,
- jeûner, c'est-à-dire manger moins.
On retrouve les trois dimensions sur lesquelles nous sommes invités par l’Église à faire porter notre attention :
- développer notre relation à autrui en aidant ceux qui sont dans le besoin;
- approfondir notre intimité avec Dieu en le priant dans un seul à seul cordial;
- réguler les besoins de notre corps et de notre psychisme pour retrouver un bon équilibre physique et mental.
Le tout, loin des feux de la rampe, en évitant toute recherche du paraître.
Cette invitation à vivre notre foi chrétienne en profondeur concerne aussi les rites liturgiques, qui doivent éviter l'ostentation. Le Carême peut être l'occasion pour chacun de reprendre conscience notamment de la valeur de l'eucharistie où nous célébrons le don total du Fils de Dieu pour nous.
Aujourd'hui, nous ne ferons pas sonner de la trompette, mais nous recevrons les cendres, signes de la fragilité de notre vie humaine, symboles aussi d'un retour aux valeurs fondamentales de la vie, là où le Père est présent.
L e C a r ê m e
Le carême de quarante jours a été établi initialement comme temps de préparation immédiate au baptême, au temps où les candidats étaient majoritaire ment des adultes, c'est-à-dire pendant les six premiers siècles.
À la même époque, le carême était aussi la dernière étape préparatoire à la réconciliation pour les pénitents exclus delà communion. L'extension sur quarante jours s'était imposée par référence aux nombreuses quarantaines de la Bible, en particulier.
l'emblématique séjour au désert, où Dieu se manifesta pour proposer son Alliance et un chemin de vie. Jésus avait repris ce parcours à son compte, au début de son ministère (Le 4,2, le jeûne au désert), et à nouveau après sa résurrection.
Cependant, le carême s'étend sur une durée plus longue, car le décompte des quarante jours ne s'applique qu'aux jours recommandés pour le jeune, à savoir les jours de semaine, les dimanches en étant exclus.
Aux époques où s'étaient formées les traditions liturgiques, Pâques était le terme du cheminement pour les catéchumènes et les pénitents. Toute la communauté locale y participait, dans le jeûne et par des célébrations appropriées.
Des parrains et marraines accompagnaient les catéchumènes, et l'ensemble des fidèles vérifiait, de près ou de loin, le sérieux de la conversion des catéchumènes et des pénitents.
Les textes des célébrations, lectures, chants et prières, ont été choisis ou composés en fonction de leurs démarches de conversion et de profession de foi, en particulier ces trois évangiles de l'année A : la rencontre avec la Samaritaine, celle avec l'aveugle-né, et la résurrection de Lazare (Jn 4 ; 9 ; 11 ; dimanches 3-5).
Ces lectures ouvrent à la conversion au Christ ; d'autres textes donnent au carême une tonalité pénitentielle et favorisent, dans nos communautés actuelles, avec ou sans catéchumènes, les démarches vers la réconciliation offerte par Dieu et celle à proposer entre chrétiens. Dans le contexte de notre époque, la valorisation du jeûne, caractéristique du carême, ouvre au partage et à des actions de solidarité, comme celles proposées par le CCFD.