
Voir la liste des paroisses du diocèse de Saint Dié des Vosges
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En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : Moi, je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron.
Tout sarment qui est en moi, mais qui ne porte pas de fruit, mon Père l’enlève ; tout sarment qui porte du fruit, il le purifie en le taillant, pour qu’il en porte davantage.
Pour évoquer sa mort et sa résurrection, Jésus a utilisé l'image du grain de blé tombé en terre, qui doit mourir afin de germer.
Dans l'évangile de ce dimanche, il se compare à une autre plante, la vigne, déjà très présente dans les psaumes et chez les prophètes. C'est le discours d'adieux au soir de la dernière Cène, donc avant la Passion. Associé ici au Temps pascal, il prend une tonalité particulière.
Dans le souffle de la résurrection, tout est possible. Paul est un exemple saisissant, et quasi incroyable pour ses contemporains, de l'extraordinaire retournement que produit l'intimité avec le Ressuscité (première lecture). Parce qu'il a «vu le Seigneur», il a été saisi et totalement transformé, au point que le persécuteur s'est mué en prédicateur plein d'assurance ! Configuré au Christ, Paul endure lui aussi, à présent, l'hostilité des hommes.
Mais il a certainement le cœur en paix, la paix de celui qui désormais appartient à la vérité et fait sien ce programme de toute vie chrétienne authentique : « mettre notre foi dans le nom de son Fils Jésus Christ, et nous aimer les uns les autres » (deuxième lecture). C'est toujours à ce titre que nous sommes rassemblés pour la célébration eucharistique, proclamation de la foi et célébration de l'amour. Impossible de garder pour nous le trésor que nous avons reçu ! « Seigneur, à toi ma louange dans la grande assemblée ! » chante le psaume. Nous devenons louange dans notre assemblée eucharistique.
Du 12 au 17 avril, l’Aumônerie des Vosges organisait un temps fort à Rome pour les jeunes de l’aumônerie du lycée.
Parmi ces jeunes, 9 appartenaient à la communauté de paroisses de Neufchâteau (21 pour le secteur Plaine, 95 pour l’ensemble du diocèse).
L’objectif de ce voyage intitulé « Tous les chemins mènent à Rome » était de découvrir les lieux qui ont vu naître l’Eglise, découvrir l’Eglise dans son universalité, rencontrer des chrétiens d’aujourd’hui, créer le désir de vivre ensemble en chrétiens.
Chacun était invité à marcher sur les chemins vers l’autre (en allant à la rencontre des membres du groupe), sur les chemins d’avenir, sur les chemins d’espérance, sur les chemins de Dieu (en ouvrant son cœur à sa Parole).
Dimanche 12 avril « Tous les chemins mènent à Rome »
- 23h00 : Départ d’Epinal, après un moment pour faire connaissance
Lundi 13 avril « Rendez-vous en terre inconnue »
— Arrivée à Sienne (région de Toscane) et visite de la cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
— Arrivée à Rome (logement à Fraterna Domus, petite communauté de religieuses accueillant pèlerins, familles et groupes).
Mardi 14 avril « Sur les pas des bâtisseurs et des baptiseurs »
Matin :
— le Capitole (une des sept collines de Rome),
— le Colisée (le plus grand amphithéâtre de l’empire romain),
— la basilique Saint-Clément-du Latran, la basilique Saint-Jean-de-Latran (cathédrale de l'évêque de Rome, le pape),
— Largo di Torre Argentina (vaste place de Rome, presque entièrement occupée par un complexe archéologique comprenant quatre temples romains).
Après-midi :
— le Panthéon (à l’origine, temple dédié à toutes les divinités de la religion antique, converti en église chrétienne au 7e siècle),
— Saint-Louis-des-Français (16e siècle, église nationale des Français à Rome),
- Piazza Navona (la plus grande place touristique de Rome).
Mercredi 15 avril « En route avec François »
— Audience papale sur la place Saint-Pierre,
— marche vers le château Saint-Ange (monument romain, actuellement musée national),
— visite de la Basilique Saint-Pierre du Vatican,
— le Trastévère (un des quartiers du centre historique de Rome),
— visite à la communauté San Egidio (mouvement de laïcs investis dans l'évangélisation et dans la charité à Rome, en Italie et dans plus de 70 pays).
Jeudi 16 avril « A la croisée des chemins »
— A la Fraterna Domus : chants, temps personnel, temps en équipes
— Messe à Saint-Nicolas-des-Lorrains (sanctuaire lorrain de Rome)
— Veillée sur la place Navona.
Vendredi 17 avril « Retour vers le futur »
— Retour à Épinal
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DMB
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C'est une tradition très ancienne chez les chrétiens que la messe soit offerte à des intentions particulières, pour les vivants et pour les défunts.
ils accompagnent leur demande d'une offrande en argent (on dit aussi un honoraire)
selon un montant fixé par l'évêque du diocèse, en lien avec les autres évêques de la province.
Actuellement, l'honoraire est de 16 euros.
Si une somme d'argent est fournie au prêtre lorsqu'on lui demande une intention de messe, ce n'est pas pour payer la messe, car la messe n'a pas de prix :
c'est le prix qu'a payé le Christ en se sacrifiant, et l'Église se joint à son offrande.
« Tu fus immolé, rachetant pour Dieu , au prix de ton sang , des hommes de toute tribu, langue , peuple et nation » (Apocalypse 5, 9).
L'offrande donnée au prêtre sert à sa subsistance.
La pratique de cette offrande est attestée dès les premières communautés chrétiennes voir : Actes des Apôtres 11, 29-30 et 2ème lettre de St Paul aux Corinthiens 8, 1-15.
Durant des siècles le pain et le vin de la messe étaient apportés par des fidèles, en même temps que des biens , de la nourriture ou de l'argent pour les pauvres.
Enfin, le fait que des hommes, surtout à partir du IVème siècle abandonnent toute profession pour se consacrer entièrement à leur ministère de prêtre, a réclamé des fidèles qu'ils fassent des offrandes pour leur subsistance.
Le Denier du culte ou de l’Église trouve là son origine.
Aujourd'hui , pour la majorité des prêtres, le Denier de l’Église n'est pas un moyen de subsistance suffisant.
L'apport des offrandes de messes leur est indispensable.
Chaque prêtre ne reçoit qu'un seul honoraire de messe par jour pour la messe qu'il célèbre.
Chaque prêtre ne pourra donc percevoir plus de 30 honoraires de messe pour un mois. Selon le Droit canon en effet, il ne peut y avoir plus d'un honoraire de messe par jour. Si le prêtre doit célébrer plusieurs messes le même jour , il ne garde qu'une seule offrande. S'il y a donc plusieurs intentions de messes le même jour , un seul honoraire est gardé, les autres honoraires sont reversés au diocèse pour des prêtres qui n'ont pas d'intentions de messes ou pour les missions.