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Comte-rendu de dimanche autrement :
L'espace réservé aux mouvements et Services accueille dès 11h ses premiers visiteurs : ils peuvent y découvrir les panneaux informatifs mis en place par les différentes équipes. Chaque responsable est présent pour apporter si nécessaire des précisions sur le fonctionnement et les objectifs de son mouvement ou service.Son "merci" s'adresse tout particulièrement aux personnes «qui ont œuvré généreusement à la vie de la paroisse Saint-Laurent de La Bresse pendant de nombreuses années... à la sacristie, à l'entretien, aux permanences d'accueil, aux équipes liturgiques, à l'accueil des familles en deuil, à l'animation des obsèques, aux finances de la Paroisse...»
Mesdames Claudine VINCENT-VIRY et Liliane MENGIN, au nom de la Municipalité, apportent leurs encouragements pour les prestations de ce jour, appréciant les bonnes relations entre la paroisse et la commune.
Ambiance recueillie avec la proclamation de la prière pénitentielle et de la prière universelle par des jeunes du caté et des représentants des Mouvements ; ambiance joyeuse avec le chant de Mannick et Jo Akepsimas "Père Très Bon" repris à différents temps de la célébration, comme une invitation à aller de l'avant : "Père très bon, tu rassembles tes enfants... Ta Parole nous rassemble, nous voici dans ta maison... Pour toucher le cœur des hommes, fais de nous tes envoyés..."
Dans son homélie, Monsieur l'Abbé Claude DURUPT s'adresse en premier lieu aux enfants des catés et des collèges pour les faire réagir sur la "Parabole du Semeur", à partir de panneaux symbolisant le semeur et les différentes "terres" dans lesquelles le grain tombe ; panneaux confectionnés par eux-mêmes et leurs animatrices, qu'ils ont mis en évidence dans le chœur de l'église durant la lecture de l'évangile.
Nous voulons être une Église présente au monde, apte à faire face aux défis d'aujourd'hui. Pour cela, chacun est invité à prendre sa place et à accomplir la tâche qui lui revient au service de la mission commune. Cela suppose que nous expérimentions, que notre foi et notre espérance prennent leurs racines dans le mystère de Dieu.
Le décès brutal de l’Abbé DIEUDONNE, et l’absence de prêtre résident, ont bouleversé la vie religieuse très ancrée dans cette cité montagnarde.
Prêtres et bénévoles engagés dans la dynamique paroissiale ont apporté foi et conviction en l’avenir.
Un message d’espoir et de renouveau est en marche dans les pas du Christ ressuscité.
_Le Tholy / Xonrupt / Liézey.
Les C M 2 se rassemblent les mardis salle des célébrations à 20 heures salle Jeanne D'Arc avec les parents.
_Le premier rassemblement aura lieu le mardi 23 novembre 2010 à 20 heures.
«_ ENSUITE :»
Le 07 décembre 2010 à 20 heures.
Le 25 janvier 2011 à 20 heures.
Le 22 mars 2011 à 20 heures.
Le 19 avril 2011 à 20 heures.
Pour le temps fort de la première communion,la date,le lieu et l'horaire seront précisés par courrier aux parents.
Gérardmer :
18 h 00 (heure d'hiver) : Messe anticipée : Gilbert Caël et famille- Familles Jacquel-Flageollet-Perrin-Gabrion-Georges- Hélène, Henri, Guy et Alain Denys-Jeannette, Roger Demangeat et défunts famille- José Pita et ses parents- Recommandation : Jessie Callies
Gérardmer :
9 h 00 : ADAP
Le Tholy :
10 h 00 : Messe : Pour tous les paroissiens, pour les défunts : Pierre Babel et sa famille, Simone Baccanelli (demandée par des amis), Anaïs Daniel (recommandation). Rappel de l'ADAP du 2 novembre : Tous les défunts.
Xonrupt :
10 h 00 : ADAP
Gérardmer :
10 h 30 : Messe : Vocations- Jean-Marie Tisserand (3° anniv)- Marguerite Jeanselme- Famille Bossut-Speeg- Charlotte Voinson-Rieffel- Emile Thimont -Jean-François Goujat- Rodolphe et Estelle Lavergne- Gilberte Georgeon et défunts- Famille Georgeon-Nichini- Jeanne Dagneaux et Suzanne Charelain- Franco Tomba et famille- Recommandation : Anaïs Daniel - Jessie Callies-
Gérardmer :
18 h 30 : Messe
Gérardmer :
17 h 45 : Chapelet-
18 h 30 : Messe : Michel Bernard et famille- Pierre et Paul Didier et famille Désiré Didier-
Journée de prière pour les morts ds guerres
Gérardmer :
9 h 00 : Messe à Clair Logis
9 h 00: Messe pour les victimes de la guerre
Le Tholy :
10 h 30 : ADAP : Pour les victimes de la guerre
Xonrupt :
10 h 15 : ADAP : Pour les victimes de la guerre
Vendredi 12 novembre :
Gérardmer :
18 h 00 : Confessions-Adoration
18 h 30 : Messe
Gérardmer :
18 h 00 (heure d'hiver) : Messe anticipée : Gilbert Ferry, Romain Gros et fam Houillon-Antoine- Famille Pierre Imhoff et ses sœurs-
Gérardmer :
9 h 00 : ADAP
Le Tholy :
10 h 00 : Adap : Pour tous les paroissiens, pour les défunts : Odette Voirin, Laurent Mansuy et son papa, Jean-Marie Dubois et sa famille.
Xonrupt :
10 h 00 : ADAP
Gérardmer :
10 h 30 : Messe : Alice Bedel- Charlotte Voinson-Rieffel- Vivants et défunts famille Monin et parenté- Rodolphe et Estelle Lavergne- Famille Meni-Ziller- Familles Torti, Grandcolas, Loisel, Delsasalle- M. et Mme Louis Perrin- Famille Henry-Auer-
"Il n'est pas le Dieu des morts mais des vivants."
Des sadducéens - ceux qui prétendent qu'il n'y a pas de résurrection - vinrent trouver Jésus, et ils l'interrogèrent : « Maître, Moïse nous a donné cette loi : Si un homme a un frère marié, qui meurt sans enfant, qu'il épouse la veuve pour donner une descendance à son frère. Or, il y avait sept frères : le premier se maria et mourut sans enfant; le deuxième, puis le troisième épousèrent la veuve, et ainsi tous les sept : ils moururent sans laisser d'enfants. Finalement la femme mourut aussi. Eh bien, à la résurrection, cette femme, de qui sera-t-elle l'épouse, puisque les sept l'ont eue pour femme ? »
Jésus répond : « Les enfants de ce monde se marient. Mais ceux qui seront jugés dignes d'avoir part au monde à venir et à la résurrection des morts, ne se marient pas, car ils ne peuvent plus mourir : ils sont semblables aux anges, ils sont fils de Dieu, en étant héritiers de la résurrection. Quant à dire que les morts doivent ressusciter, Moïse lui-même le fait comprendre dans le récit du buisson, quand il appelle le Seigneur ' le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, le Dieu de Jacob.
Il n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants, car tous ont par lui la vie. »
Tous vivent en effet pour Lui dit le Christ dans l'Évangile du jour.
- Le ciel est une vie de famille auprès du Père. Non, il n'y a plus de mariage dans le ciel- certains le regretteront ! Mais le véritable époux, c'est le Christ, et tout le ciel sera une Noce éternelle. Ce qui ne veut pas dire que ceux qui auront vécu en couple sur cette terre n'auront pas une relation particulière entre eux dans l'au-delà : leur amour sera éternisé dans l'amour nuptial du Christ pour l'humanité.
- Le corps participe à la gloire des élus. Pour la Bible, l'homme est un corps animé. Il est son corps comme il est son esprit. Notre "moi" est la résultante de notre esprit et de notre corps.
- La résurrection des corps est une donnée incontestable de l'Écriture. Le Christ le dit dans l'Évangile du jour.
- Reste le problème difficile du "comment" : "Avec quel corps les morts reviennent-ils ?" demande saint Paul. Il ne répond pas en savant : il utilise l'analogie des semailles. Ce qui est semé dans la terre est périssable, ce qui ressuscite est impérissable, conclut Paul (1 Co 15, 42).
- N'était-ce pas ainsi qu'était le corps ressuscité du Christ, à la fois aussi familier et simple qu'autrefois, mais en même temps différent, spiritualisé, transfiguré, tout en restant charnel ?
- Né corps physique, notre corps ressuscitera corps spirituel.
Le 1er novembre, fête de tous les saints, un jour où chacun se souvient de ses proches disparus, en concrétisant cette pensée et ces prières par la pose d’ornements et de fleurs sur le tombeau familial.
Aussi, comme partout ailleurs, le cimetière de Plombières sera le temps de quelques jours, le lieu le plus fréquenté de la ville et se parera de plantes diverses et colorées. Comme d’habitude, on craindra la gelée qui fera ternir ce bouquet de chrysanthèmes si bien fourni.
Mais, sur le parcours pensera-t-on à s’attarder sur quelques “tombes célèbres” ?
Celles-là même de ces hommes qui ont donné leur patronyme à certaines rues et places de la station thermale. Ou encore celles de ces hommes d’église, religieuses, notables et personnalités qui ont marqué leur passage dans ce monde par une présence active au sein de la vie locale.
Religieuses de la communauté de Saint Charles, prêtres de Plombières comme l’abbé Balland, l’abbé Ménestrel, l’abbé Noël, pour n’en citer que quelques uns, maires de la commune…Ainsi en est-il également de ces personnes qui eurent de par leur haute situation une renommée “outre” Plombières. Charles Heulluy et Charles Durand, peintres de la cité, Jean Kastener archiviste départemental, historien, conservateur du Musée Louis Français, Mgr. André Würth, vicaire général du diocèse de Saint-Dié, le général Martin, grand officier de la Légion d’Honneur, directeur de Saint-Cyr, Marcel Deschaseaux, député-maire des Vosges, etc…la liste n’est pas exhaustive.
Reste encore à citer toutefois deux monuments incontournables du site.
Au travers une petite chapelle funéraire se distingue en effet la tombe de Louis Français.
Aux côtés des siens, Louis Français, peintre de Barbizon, y repose. Né en 1814 à Plombières, élève puis ami de Corot, il deviendra l’un des premiers pré-impressionnistes. Académicien en 1890, il s’est éteint à Paris en 1897. Ses 60 années de Salon (1837 à 1897) le feront proclamer “doyen des paysagistes”.
Un peu plus bas, presqu’en face, dans l’allée centrale, la tombe de l’éminent jurisconsulte, Raymond Théodore Troplong. Président du Sénat sous le Second Empire, premier président de la Cour de Cassation, né à Saint Gaudens (Haute-Garonne) en 1795, c’est ici qu’il voulut être enterré en 1869 auprès de sa fille unique Joséphine Marie-Louise décédée à Plombières en octobre 1839.
La petite n’avait que 8 ans et accompagnait ses parents venus trouver dans la station quelques jours de délassement. L’épouse du sénateur et mère de la fillette (1805-1881), repose aussi en ces lieux. Aujourd’hui encore, le Sénat s’occupe de l’entretien du tombeau.
Il resterait encore bien des souvenirs à évoquer, plus proches de nous, que chacun garde en son cœur, des souvenirs ravivés par tel ou tel nom gravé sur la pierre.
Sachons juste les conserver, les perpétuer quand, au moment de la Toussaint, après avoir prié pour nos proches, nous arpenterons les allées du cimetière et nous dirons à nos enfants, « tu vois le Monsieur là, il a fait plein de choses à Plombières… », ainsi, la nécropole plombinoise restera au fil des ans un lieu de recueillement, un lieu de mémoire, un lieu d’histoire.