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Services

Les services de l'Eglise catholique dans les Vosges

29/03 /12 Fabriquer un bouquet de Pâques avec un enfant (Catéchèse)

Pour faire le bouquet de Pâques

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Au cours d’une promenade avec les enfants, ramasser des branches mortes, les disposer dans un gros pot de terre ou un panier.
  • Le jour des rameaux, mettre quelques branches de buis ou des branches vertes.
  • Le vendredi saint, suivant le support et la place, vous pouvez ajouter quelques pierres au pied des branches.
  • Le samedi saint, pour entrer dans la joie de Pâques, l’arbre mort renait à la vie par toutes les décorations et couleurs qu’on lui donne.

Pour décorer ce bouquet

Avec les enfants :

  • faire des petits pompons jaunes, coller dessus des petits points noirs et faire un petit bec (pour faire un poussin).
  • Repartir sur les branches des morceaux de bolduc brillant (doré ou jaune).
  • Reproduire au mieux les figurines, les découper, les décorer puis les accrocher aux branches.
  • Décorer des œufs (en plastique que vous pouvez trouver dans les magasins de bricolage ou en soufflant pour vider les œufs).
    Accrocher tous ces objets à l’arbre mort.

Pourquoi des œufs… Depuis toujours l’œuf est à la fois symbole de vie et de mort. Enfermé dans sa coquille, le poussin est comme dans un tombeau. Les chrétiens d’Égypte l’avaient adopté comme symbole de résurrection. Il est arrivé en France au moment des croisades.

Le bouquet de Pâques

28/03 /12 Grande joie : le baptême de Sylvie (Catéchuménat)

Aux côtés de son parrain, l’abbé André Romary, et de ses trois accompagnatrices : Annie Viry, Delphine Dirr et Anne-Lise Petitcolin, Sylvie chemine depuis un an et demi vers son Baptême qui sera célébré à la fin du Carême, samedi 7 avril 2012, lors de la Veillée de Pâques, à 21 h en l’église de Docelles.
Propos recueillis par Jeanne-Hélène Bailly publié dans Vologne, le journal paroissial de Saint Antoine en Vologne et reproduit sur ce site avec l'aimable autorisation de son auteure.

 

Vologne : Nous aimerions connaître votre itinéraire, Sylvie, d’abord vers Le Ruxelier, puis vers le Baptême.

 
Sylvie : Mon mari, nos deux enfants et moi habitions en région parisienne. Nous avons eu un vrai coup de foudre pour les Vosges en y passant nos vacances. Dès lors, notre décision était prise : nous devions y ouvrir l’auberge de nos rêves. Après quatre mois de recherches, ce rêve s’est concrétisé : c’est Le Ruxelier, à Cheniménil.
Notre fille de dix ans à l’époque espérait deux choses : des chevaux … et … pouvoir être baptisée. La préparation au Baptême de Valériane m’a permis de faire des rencontres amicales et décisives.
Moi-même, je n’étais pas baptisée, mais l’affectueuse éducation que ma grand-mère (espagnole et très mariale) m’avait donnée lorsque j’étais enfant, m’avait imprégnée de valeurs chrétiennes, sans qu’elles soient réellement nommées.
Depuis longtemps j’avais en moi un manque profond. Mes conversations avec les dames catéchistes encadrant Valériane m’ont permis de comprendre : j’aspirais à marcher vers Dieu.
Anne-Lise m’a mise en contact avec l’abbé Romary et mon initiation comme candidate au Baptême (le pré-catéchuménat) a commencé.
Moi qui me sentais encore étrangère, j’ai eu la joie d’être accueillie, entourée par une équipe attentive.

 
Vologne : Sylvie, avec l’aide de Delphine et Annie qui ont partagé les étapes de votre catéchuménat, détaillez-nous les moments forts.

 D’abord, l’entrée en église, à Cheniménil.
C’était très émouvant : avec mes accompagnants, nous étions dehors, sur le seuil, devant la porte fermée de l’église. A l’intérieur, je l’ignorais, les paroissiens étaient venus nombreux pour la messe du dimanche. J’ai frappé à la porte. L’abbé François Bresson a ouvert et m’a demandé :
« Que veux-tu ? »
Publiquement, j’ai expliqué pourquoi je voulais entrer en église.
Ce cérémonial très symbolique et intimidant transformait ma démarche, qui jusque là était cachée et personnelle, en l’entrée dans une communauté. C’est la communauté entière qui m’a accueillie au sens propre comme au sens figuré  car de nombreuses personnes aimées étaient présentes et ont partagé mon bonheur.
Mon parcours s’est poursuivi à l’aide de l’équipe : lecture de la Parole, discussions, questionnements, éclaircissements, échanges, au cours de rencontres mensuelles.
Je me transformais et me fortifiais face aux épreuves de la vie, percevant petit à petit en moi la chaleur de l’amour que Dieu me donnait.
En janvier dernier,  une célébration proposée par Annie s’est déroulée à l’église de La Baffe :
la transmission du Notre Père. Au cours de ce rite chargé d’émotion, William (un autre catéchumène) et moi avons été bénis pendant la messe et avons reçu la Prière que Delphine avait mise en valeur en l’écrivant sur un parchemin entouré d’un ruban.
L’appel décisif : l’entrée en Carême a été marquée, le 25 février 2012, par une journée diocésaine avec notre évêque Jean-Paul Mathieu. Nous sommes cinq catéchumènes dans le diocèse. Nous avons pu nous exprimer en toute confiance, échanger et nous soutenir mutuellement. C’était très enrichissant.
Une messe a ensuite été concélébrée  à l’église St Paul d’Epinal par l’évêque, deux vicaires généraux (l’un d’eux sera présent à mon baptême) et deux diacres.
L’évêque a appelé chaque catéchumène par son nom. Cette démarche symbolique nous a permis de confirmer notre engagement face à lui avant de signer le registre diocésain. Cela signifie aussi que toute l’Eglise diocésaine est touchée par notre appel et se réjouit.
Le scrutin : samedi 17 mars, à 18h, à l’église de La Sainte-Famille à Epinal, avec deux autres catéchumènes, nous vivrons le scrutin. Ce sera la dernière ligne du Carême. Nous nous laisserons « scruter les reins et le cœur » par Dieu (Jérémie 17,10) : particulièrement pendant le Carême, nous acceptons le regard plein d’amour du Christ et le laissons illuminer, révéler et guérir ce qui est obscur en nous. Amenés devant le chœur, les catéchumènes se tiennent agenouillés et inclinés avec humilité. Cette attitude montre notre désir de nous convertir et de faire du Christ le modèle de notre vie.
L’imposition des mains rappelle l’aide indispensable de l’Esprit Saint.
Ensuite la prière en commun signifie que toute la Communauté est invitée à accueillir le don de Dieu.
La dernière rencontre avec l’équipe avant le grand jour aura lieu le 26 mars, mais le lien avec elle se maintiendra ensuite.
Le 7 avril, lors de la Vigile pascale, avec une immense joie, je recevrai le Baptême, le Saint Chrême  et l’Eucharistie pour la première fois.

Propos recueillis par Jeanne-Hélène Bailly

 

26/03 /12 Rencontre Art et Foi (Art sacré)
Le cycle de conférence-rencontre Art et Foi de la Maison diocésaine se poursuit ce jeudi 30 mars à 14 h ou 20 h sur le thème de l'espace liturgique au fil du temps. Animée par l'abbé Pierre-Jean Duménil et Claude Faltrauer, cette rencontre est ouverte à tous gratuitement.
25/03 /12 Soirée Ciné pour les aumôniens lycéens d'Epinal (Zone Épinal)
Tous les aumôniens d'Epinal, vous invités à la grande soirée ciné ce mercredi 28 mars ! Un grand film projeté spécialement pour vous dans le cadre de "Culture et foi". Son titre : " Et maintenant on va où ?" . L'histoire : dans un village du Moyen Orient, dans un contexte de conflits entre chrétiens et musulmans, les femmes vont user de stratégies originales pour empêcher les hommes de s'entretuer. Consignes : - RDV à l'aumônerie à 18h - (pique-nique et infos) ou 19h15 au ciné Palace. Début du film à 19h30. Tarif : 4,5 € - prévoir la monnaie ! Bande annonce : http://www.youtube.com/watch?v=awGWsjQaeps

Et maintenant on va où ? - Bande annonce http://www.youtube.com Bande annonce du film "Et maintenant on va où ?" un film de et avec Nadine Labaki, et Claude Baz Moussawbaa, Layla Hakim, Yvonne Maaloouf Sortie le 14 septem...

22/03 /12 « La diaconie : servir la fraternité à la suite du Christ » (Communication)
La conférence des évêques de France, avec plus de 75 mouvements, services d’église et congrégations, invitent les chrétiens à porter une plus grande attention au devenir de la société dans laquelle ils sont acteurs de charité. Cette démarche de trois ans centrée sur le service des frères, intitulée “Diaconia 2013 – servons la fraternité” se met en place de manière active dans les Vosges.
Le prochain numéro du magazine diocésain proposera une piste concrète d‘action pour les communautés locales. mais pour ancrer l’action, rien de tel qu’une note théologique. voici de larges extrais de la première note élaborée par le comité de suivi Diaconia 2013. découverte.

Lorsque l’on veut parler du service du chrétien à l’égard d’autrui, nous employons différents mots : solidarité, fraternité, charité ou encore justice et “option pour les pauvres”. La diaconie est aussi une façon de parler de cet engagement, mais qui se veut plus global et peut-être plus radical. Pour en comprendre le sens, nous devons préciser la signification de ces notions voisines qui constituent en fait autant de dimensions de la diaconie.

La charité

L’amour est plus qu’un sentiment ou qu’une disposition intérieure. Parler de charité, c’est dire que l’amour est un engagement envers l’autre qui instaure une relation de vie. Bien qu’on agisse rarement de façon complètement désintéressée, la charité tend vers le bien de l’autre. L’amour de charité (agape) est la source d’un service qui prend soin d’autrui sans aucune condition préalable. Interpellé par un Dieu d’amour, le chrétien peut répondre à son Dieu par un amour le plus gratuit possible. La charité est ainsi au fondement de la diaconie. Celle-ci veut en être le moyen pour agir concrètement, notamment de façon organisée et communautaire, au service de la charité de Dieu qui se donne à l’humanité.

La solidarité

Comme les êtres humains ne peuvent pas vivre sans liens entre eux, il est important de mettre en place une solidarité afin de défendre des intérêts communs. La solidarité, concept d’origine juridique popularisé par le mouvement ouvrier au XIXe siècle, suppose que des personnes s’engagent sur un pied d’égalité à assumer une charge de responsabilité. On peut rapprocher l’idée de solidarité de l’Alliance de Dieu et de son peuple. Toutefois, il faut noter que cette Alliance ne suppose pas obligatoirement dès le départ une égalité entre les partenaires, alors que la solidarité s’adresse à des personnes qui sont capables de s’engager, en tant que pairs. Or, Dieu s’est directement tourné vers les plus faibles pour en faire des partenaires. C’est dans le sens de cette Alliance avec les plus démunis que la diaconie veut aller.

La fraternité

Les êtres humains peuvent se reconnaître frères les uns des autres. La fraternité est une donnée à vivre dans des relations proches, mais cela dépend toujours d’une reconnaissance de l’autre comme frère/sœur. Sur le plan politique, la fraternité est une des grandes valeurs républicaines. Pour les chrétiens, fils du même Père, la fraternité est donnée et chacun est ainsi invité à élargir le cercle pour accueillir toute personne sans discrimination. La fraternité est donc à la fois un don et une tâche. La diaconie construit ainsi la fraternité de façon proactive, en mettant en œuvre une réciprocité entre les personnes.

La justice

Chaque personne a droit à la justice. En effet, chacun doit pouvoir recevoir ce qui lui est dû. La justice vise à accorder à chaque individu ce à quoi il a droit. On reste ici à un niveau de calcul et de répartition des biens. L’Évangile parle de la justice du Royaume qui dépasse la justice humaine. Cela veut dire que, à côté de la justice qui compte, il y a une autre justice qui vient dire la dignité de chaque être humain. Toute justice a besoin d’amour et de gratuité - donc de la charité telle que nous l’avons définie auparavant -pour ne pas se cantonner au plan du calcul. La diaconie cherche ainsi à mettre en œuvre cette justice du Royaume pour reconnaître chaque personne dans sa singularité.

L’option préférentielle pour les pauvres

Cette option signifie que l’Église doit se soucier des plus pauvres afin de leur permettre d’avoir une vie digne. Au-delà des actions humanitaires, il faut chercher à construire un monde plus juste où les pauvres ne soient plus oubliés. Plus encore, c’est une invitation à reconnaître la dignité de toute personne. La diaconie reconnaît ainsi les pauvres et les souffrants comme acteurs essentiels de cette humanisation et en fait plus qu’une option : une priorité.
En définitive, si ce terme de “diaconie” peut paraître exotique, il faut en souligner la profondeur spirituelle et sociale
Parler de diaconie engage à une véritable conversion du regard, de l’intelligence et du cœur. On peut dire qu’elle récapitule ces différentes approches de l’engagement envers autrui en les enracinant dans la relation au Christ.

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A la redécouverte de la diaconie

Le terme “diaconie” vient du grec (diako¬nia) et désigne le fait de se mettre au service des autres. Si le terme “diaconie” avait disparu du langage de l’Église, il est de retour depuis quelques années. Le Pape Benoît XVI en parle explicitement comme étant “le service de l’amour du prochain exercé d’une manière communautaire et ordonnée” (Deus Caritas Est, n°21).

Les Actes des Apôtres sont l’expression de la solidarité vécue entre les membres de l’Église et les plus démunis. Une mise en commun des biens permettait de venir en aide à ceux qui étaient frappés par le malheur. C’est notamment pour assurer ce service que le ministère des diacres a été institué. Dans les premiers siècles de l’Église, l’attention aux plus fragiles concerne tous les membres de la communauté chrétienne. Mais par la suite, au fil des siècles, la participation des baptisés à la diaconie de l’Église a eu tendance à se limiter à des dons en argent. Ils ont délégué à des acteurs spécialisés la mise en œuvre concrète de la solidarité. En résumé, on peut dire que la diaconie a progressivement émigré du centre vers la périphérie de l’Église. Or, l’avenir de la foi et de l’Église passe par un retour de la diaconie au cœur de la vie chrétienne.

L’Église est en effet constituée par trois tâches fondamentales : l’annonce de la Parole (prédication), la célébration des sacrements (liturgie) et le service de la charité (diaconie). Ces trois piliers de la vie chrétienne sont inséparables. Une communauté qui annonce doit aussi célébrer et vivre ce qu’elle annonce et célèbre.

L diaconie : qu’est-ce que c’est ?

Le Nouveau Testament emploie le terme “diaconie” dans plusieurs sens :

1. Diaconie = mission du Christ : “Le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi mais pour servir et donner sa vie en rançon pour la multitude” (Mc 10, 45).

2. Diaconie = façon de vivre les rapports humains dans la communauté. C’est une invitation à ne pas rechercher les premières places mais à vivre selon la logique du Christ : une présence joyeuse, un engagement risqué, une existence livrée (Mc 9, 35 : “Si quelqu’un veut être le premier, il sera le dernier de tous et le serviteur de tous”).

3. Diaconie = mission des disciples, qui se disent “serviteurs” : ce terme intègre alors aussi l’annonce de la Parole.

4. Diaconie = entraide entre les communautés

5. Diaconie = service aux personnes

Au total, la “diaconie” apparaît comme une invitation à vivre des relations où chacun se lie véritablement à ses frères et sœurs et se met au service de tous. Par conséquent, la “diaconie” est bien plus que l’addition d’actions de solidarité ou qu’un ensemble d’instances spécialisées. Il s’agit de “convertir” toutes nos relations - proches et lointaines - à la lumière de l’Évangile, y compris avec ceux qui ne partagent pas notre foi. Il en découle que, dans l’Église, nul ne peut s’approprier la diaconie en disant : “c’est mon affaire”, puisque c’est l’affaire de tous. Inversement, personne ne peut s’en sentir exempté en disant à d’autres : “c’est votre affaire” !

Cependant, cette conversion de nos rapports humains doit d’abord se vérifier avec les plus vulnérables de notre société, sans lesquels nous ne pouvons accueillir pleinement la Bonne Nouvelle : les pauvres et les souffrants ont en effet un trésor à partager. La communauté chrétienne ne pourrait donc pas grandir sans leur donner une place de choix dans sa prière et dans sa vie.

La rencontre avec les plus pauvres nous amène ainsi à souligner que la diaconie n’est pas une simple conséquence de la foi ; elle se situe en son cœur comme son “terreau”. Servir la charité par la diaconie n’est pas alors seulement un devoir éthique mais un “rendez-vous avec le Christ”. En parlant de diaconie, on permet aux chrétiens de vivre leurs engagements solidaires comme une expérience de type sacramentel. Enfin, la diaconie de l’Église est appelée à se faire publique et politique. En se montrant particulièrement sensibles aux plus faibles, en luttant à leurs côtés pour une société plus juste, les chrétiens peuvent jouer un rôle de veille et de mobilisation nécessaire face aux logiques dominantes du monde. C’est aussi un enjeu pour collaborer avec celles et ceux qui n’appartiennent pas à l’Église. Tant qu’elle est au service de la fraternité entre tous, la diaconie concerne en effet la société dans son ensemble.

Cet article a été publié dans le magazine « Eglise dans les Vosges ». En vous abonnant , vous soutenez et favorisez la circulation de l’information et le dialogue dans le diocèse.

22/03 /12 Aumônerie district Epinal : la confirmation, une étape... (Zone Épinal)

La confirmation, une étape dans une vie de jeune !

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53 jeunes jeunes des collèges de Bruyères, Granges-Sur-Vologne, Charmes, Châtel, Thaon, Epinal et Xertigny,Bains se sont retrouvés pour se préparer à la confirmation.
Les quelques lignes ci-dessous traduisent ce que les jeunes ont ressenti et vécu au cours de ce week-end au Vic les 3 et 4 mars.
Après un 1er temps de connaissance, réflexion, expression artistique, jeu à la recherche des 7 dons de l’esprit, témoignages d’adultes, temps personnel et de prière, rencontre avec notre évêque et célébration ont rythmé ce temps fort.

«Ce temps fort m’a permis de me préparer à la confirmation et à prier, ce qui est bien car je ne trouve pas toujours le temps de le faire. Il y avait des temps calmes comme des temps où l’on s’amusait c’était bien ! Claire»

J'ai apprécié la rencontre avec l'évêque, ainsi que les petits jeux et les moments de prière. Les deux messes étaient dynamiques, pleine de bonheur. J'ai passé un super temps fort, merci et je garderai un très bon souvenir de ce week-end au Vic. Romain

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Veillée Gospel

mercredi 16 mai à 20h30
église St Paul, Epinal.

Confirmation

jeudi 17 mai à 15h30
église St Paul , Epinal