Paroisses

Dans les nombreux récits de visite qu’il nous est donné de recueillir, beaucoup se demandent, en relisant leur vie, « Ai-je aimé ? ».

— Si aimer c’est dire « j’ai besoin de toi », beaucoup apprennent aussi à aimer au coeur de la fragilité.

Comment vas-tu quand quelqu’un se met à ton écoute ?

Après les « pourquoi ? » en un mot, viennent les « pour quoi ? », en deux mots.

Après les défis incessants de perfection de notre société, viennent les « Je ne peux plus “assurer” »

Pendant les moments de séparations douloureux, de solitude, certains découvrent l’accompagnement de leurs voisins, d’autres personnes fragiles, dont ils n’auraient jamais soupçonné la sollicitude...

Et ainsi, certaines personnes témoignent qu’elles se sentent pleinement vivantes au coeur de ces situations de faiblesse : elles y acceptent l’abandon à la fragilité, elles acceptent de recevoir l’aide des autres, s’étonnent de l’interdépendance, elles se découvrent capables de se réjouir de la réussite des autres, se sentent utiles de permettre aux autres de donner, elles y découvrent que l’être humain ne se réduit pas à ce qu’il voit de lui-même, elles y confirment le besoin de se rassembler, de prier, voire d’implorer les Saints, elles réexpérimentent la vie comme un don, plein s’il est partagé, et nous communiquent cette joie infinie de l’homme... relevé...

N’est-ce pas là apprendre à se laisser aimer, par Dieu, par ses frères, comme dans l’Évangile ?

Raphaelle Claudel, Déléguée diocésaine à la Pastorale de la Santé. (Diocèse de St Dié)

M. Parison a participé à 2300 interventions durant 30 années de service. Dès que la sirène sonnait, Mme Parison ouvrait le garage.

Retraité depuis 15 ans, M. Parison a été nommé Capitaine Honoraire et il est toujours présent à l’Amicale.

Il fut secouriste de la Protection civile durant 10 ans.

Ses loisirs : timbres, fossiles, jardinage et pêche.

Chaque année, le pèlerinage à Mattaincourt auprès de saint Pierre Fourier nous rappelle la dédicace (consécration) de la basilique le 7 juillet 1853.

Cette année, il revêt un caractère tout particulier puisque nous rappelons le 450ème anniversaire de la naissance du saint, le 30 novembre 1565 à Mirecourt. À cette occasion, plusieurs évêques seront présents ainsi que des pèlerins de toute la Lorraine et au-delà.

De même que nos deux paroisses étaient réunies à Dompaire en septembre dernier pour la fête de la Croix glorieuse, la paroisse de la Croix-de-Virine ira retrouver celle de Saint-Pierre-Fourier en ce dimanche 5 juillet (il n’y aura pas de messe à la Croix-de-Virine ce jour-là). C’est une manière de partager, au sein de la communauté de paroisses, ce qui fait l’identité de nos communautés.

Au programme de cette journée : messe le matin (10 h 30) suivie d’un apéritif, repas partagé ou plateau-repas sur commande (renseignez-vous au XX.XX.XX.XX.XX). L’après-midi, prière, découverte du saint présenté par des enfants, exposition sur Pierre Fourier dans nos églises, conférence par soeur Marie-Armelle de la congrégation Notre-Dame nous portant vers les « périphéries » où nous envoie le pape François, visite du musée ou de la chapelle ronde : il y en aura pour tous les âges et tous les goûts !

« Être utile à tous et ne nuire à personne » : par-delà les siècles, la devise de saint Pierre Fourier nous dit le secret de son formidable rayonnement. Tout entier donné à Dieu, il vécut dans la recherche inlassable du bien de ses paroissiens.

Abbé Denis Beligné

Cette démarche personnelle influe directement sur le souffle et la respiration de notre communauté.

Animateur en équipes d’accueil pour les baptêmes et mariages, j’ai pu constater que chacun chemine de façon particulière et sincère dans la recherche de cette relation à Dieu. Les rythmes de vie ont énormément changé et la perte de points de repère ne facilite pas les choses.

Il y a peu de temps, un couple ayant un enfant de 10 ans m’a dit : « Étant baptisés nous-mêmes, nous souhaitions baptiser notre enfant. Les jours, les mois, les années ont passé bien vite et même si nous n’avons pas eu l’opportunité de rencontrer quelqu’un pour nous guider, nous regrettons aujourd’hui ce fait qui est bien de notre responsabilité ».

Cela suscite réflexion, notre paroisse se doit d’être missionnaire à travers tous ses membres, en se manifestant de façons diverses, actives et rayonnantes, montrant ainsi que la porte est ouverte à tous.

Vivre en communauté, se sentir enfant de Dieu en Christ pour VIVRE la FRATERNITÉ est, sans aucun doute, une très belle façon de réaliser sa relation à Dieu.

Gérard Euriat

lettre de Monseigneur l'Evêque

" Répondons "oui" au défi de la joie de croire..."

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Télécharger le tableau des Célébrations de la Semaine Sainte prévues dans les paroisses de notre doyenné :