
Voir la liste des paroisses du diocèse de Saint Dié des Vosges
Voir la liste des communes pour connaitre sa paroisse
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La fête de la Pâque et des pains sans levain allait avoir lieu deux jours après.
Les grands prêtres et les scribes cherchaient comment arrêter Jésus par ruse, pour le faire mourir.Les passants l’injuriaient en hochant la tête : ils disaient : « Hé ! toi qui détruis le Sanctuaire et le rebâtis en trois jours,
sauve-toi toi-même, descends de la croix ! »
De même, les grands prêtres se moquaient de lui avec les scribes, en disant entre eux : « Il en a sauvé d’autres, et il ne peut pas se sauver lui-même !
Qu’il descende maintenant de la croix, le Christ, le roi d’Israël ; alors nous verrons et nous croirons. » Même ceux qui étaient crucifiés avec lui l’insultaient.
Quand arriva la sixième heure (c’est-à-dire : midi), l’obscurité se fit sur toute la terre jusqu’à la neuvième heure.
Et à la neuvième heure, Jésus cria d’une voix forte : « Éloï, Éloï, lema sabactani ? », ce qui se traduit : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
L’ayant entendu, quelques-uns de ceux qui étaient là disaient : « Voilà qu’il appelle le prophète Élie ! »
L’un d’eux courut tremper une éponge dans une boisson vinaigrée, il la mit au bout d’un roseau, et il lui donnait à boire, en disant : « Attendez ! Nous verrons bien si Élie vient le descendre de là ! »
Mais Jésus, poussant un grand cri, expira.
Le rideau du Sanctuaire se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas.
Le centurion qui était là en face de Jésus, voyant comment il avait expiré, déclara : « Vraiment, cet homme était Fils de Dieu ! »
Il y avait aussi des femmes, qui observaient de loin, et parmi elles, Marie Madeleine, Marie, mère de Jacques le Petit et de José, et Salomé, qui suivaient Jésus et le servaient quand il était en Galilée, et encore beaucoup d’autres, qui étaient montées avec lui à Jérusalem.
Déjà il se faisait tard ; or, comme c’était le jour de la Préparation, qui précède le sabbat,
Joseph d’Arimathie intervint. C’était un homme influent, membre du Conseil, et il attendait lui aussi le règne de Dieu. Il eut l’audace d’aller chez Pilate pour demander le corps de Jésus.
Pilate s’étonna qu’il soit déjà mort ; il fit appeler le centurion, et l’interrogea pour savoir si Jésus était mort depuis longtemps.
Sur le rapport du centurion, il permit à Joseph de prendre le corps.
Alors Joseph acheta un linceul, il descendit Jésus de la croix, l’enveloppa dans le linceul et le déposa dans un tombeau qui était creusé dans le roc. Puis il roula une pierre contre l’entrée du tombeau.
Or, Marie Madeleine et Marie, mère de José, observaient l’endroit où on l’avait mis.
« Le Christ entre à Jérusalem pour accomplir son Mystère pascal » (Missel romain ). Nous sommes au cœur de la foi chrétienne : l'évangile de l'entrée à Jérusalem nous rappelle une autre entrée, celle de Dieu dans l'histoire des hommes.
Cette terre de contradictions et de conflits, le Christ a choisi librement d'y vivre et d'y mourir.
Lors de la Nativité, les bergers de Bethléem rendaient hommage au Christ et aujourd'hui, c'est la foule de Jérusalem qui acclame l'entrée de Jésus.
Des peintres comme Giotto ont représenté Jésus sur un ânon lors de la fuite en Égypte, et peint à l'identique l'ânon servant de monture à Jésus lors des Rameaux.
Ainsi, dans ces représentations, les différents événements historiques de la vie de Jésus, et notamment sa naissance et sa passion-résurrection ne constituent qu'un unique mystère qui nous délie définitivement de l'emprise de la mort.
Jésus accomplit parfaitement ce que Dieu attend de chaque homme : ne pas garder sa vie comme un objet à préserver mais la donner librement comme une grâce à partager.
Nous entendrons cela dans la prière d'ouverture, après la procession d'entrée avec les rameaux : « Pour montrer au genre humain quel abaissement il doit imiter, tu as voulu que notre Sauveur, dans un corps semblable au nôtre, subisse la mort de la croix ».
Cet abaissement est d'autant plus significatif que c'est comme roi que Jésus est reconnu. Il porte le nom de Christ, ce qui signifie « celui qui a reçu l'onction », comme l'avait reçue le roi David.
Et en effet, la foule l'acclame comme roi-messie et c'est comme tel qu'il sera crucifié et humilié : « Que le Messie, le roi d'Israël, descende maintenant de la croix... » (lecture de la Passion).
Dans le monde romain où l'empereur triomphait sur son char, un règne d'une autre nature a déjà commencé, un royaume éternel qui ne connaîtra ni larmes, ni deuil.
En ce qui concerne le matériel il y a investissements de machine, de bâtiment et acquisition de fournitures administratives et techniques. Mais l’investissement le plus important est dans l’Homme.
Notre Eglise ne fait pas exception, ses besoins sont identiques : fournitures, énergie, bâtiments, assurances, machines. Mais la part humaine est présente par les prêtres, diacres, une foule de consacrés et missionnés.
L’une : la Société, comme l’autre : l’Eglise ont toutes deux besoin de trésorerie pour exister, fonctionner.
La production d’une entreprise, l’imposition de nos collectivités les font vivre. Pour l’Eglise il n’y a pas de production, il n’y a pas d’impôts, il n’y a que votre aide bénévole : le DENIER DE L’ EGLISE
Vendredi 3 avril 2015 (Vendredi Saint)
Chemin de Croix
15h00 à l’église de Thaon
Célébration de la Passion du Seigneur
19h00 à l’église de Thaon
Samedi 4 avril 2015 (Samedi Saint)
Veillée Pascale et Fête de la Lumière
20h30 à l’église de Girmont
Dimanche 5 avril 2015 (PAQUES)
Célébration de la Résurrection du Seigneur
10h00 à l’église de Thaon
Le Denier de l’Eglise, c’est la responsabilité de tous ! Chaque jour, les prêtres et les salariés laïcs du diocèse de Saint-Dié s’engagent pour l’annonce de l’Evangile et l’accompagnement de chacun sur le chemin de la Foi. Mais ils ont besoin de votre générosité. La campagne 2015 pour le denier de l’Eglise a débuté dans notre diocèse : Tous engagés pour une foi libre et éclairée au service de la fraternité.
Prêtres et salariés : savez-vous comment sont-ils rémunérés ? De quoi vivent-ils ? De vos dons uniquement ! Le Denier de l’Eglise est en effet la collecte annuelle qui permet d’assurer, chaque mois, un juste traitement à ceux qui s’engagent, avec l’aide précieuse de bénévoles, pour notre diocèse. L’Eglise ne reçoit aucune subvention. Et pourtant, seulement 10 % des catholiques en moyenne donnent au Denier !
Chaque baptisé est donc appelé à participer au Denier pour faire vivre son Eglise et témoigner ainsi de son attachement à l’action de son diocèse et de sa paroisse. Vous recevrez les bulletins dans vos boites à lettres sinon vous pouvez utiliser les bulletins disponibles à l’église ou à la cure de Thaon.
L’enveloppe-réponse remise avec le tract, affranchie, contenant votre chèque, sera envoyée à l’Association diocésaine de Saint-Dié, 7, rue de la Préfecture 88025 EPINAL ou la déposer au presbytère de Thaon. On peut aussi donner par carte bancaire. Si le don est en espèces, l’enveloppe sera remise le dimanche dans les quêtes ou au presbytère de Thaon (on n’envoie pas un don en espèces dans une enveloppe par la poste). Vous pouvez aussi donner en ligne : http://www.catholique-vosges.fr Attention : aucune personne n’a mandat pour collecter les enveloppes dans les maisons, les quartiers.
Denier de l’Eglise et déductions fiscales Déduction fiscale : si vous êtes imposable, vous pouvez déduire de votre impôt jusqu’à 66 % de votre don, dans la limite de votre revenu imposable. Ainsi quand vous donnez 150 euros, il ne vous en coûte réellement que 51 euros.
Déjà donateur ? Devenez aussi acteur du denier en diffusant ce message. Si vous êtes déjà donateur, vous pouvez également nous aider en diffusant largement ce message à vos proches, voisins ou amis qui ne donnent pas encore.
Nous comptons sur chacune et chacun d’entre vous et, d’avance, nous vous remercions.
P. Gilbert NZENZEMON