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Voir la liste des communes pour connaitre sa paroisse
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Jésus partit en barque pour un endroit désert, à l'écart. Les foules l'apprirent et, quittant leurs villes, elles suivirent à pied.
En débarquant, il vit une grande foule de gens ; il fut saisi de pitié envers eux et guérit les infirmes.
Jésus prend soin de la foule dans tous ses besoins (évangile) : besoin de compassion, besoin de guérison, besoin de nourriture. II ne la repousse pas, il refuse même de la renvoyer.
Faudra-t-il donc se disperser, le ventre vide, alors que les plus proches auront le privilège de rester pour l’écouter ? « Donnez-leur vous-mêmes à manger! » sonne comme un défi lancé aux disciples, qui espéraient résoudre le problème sans avoir à s'en mêler !
C'est justement à partir de ce trop peu qu'il agit. Les yeux levés au ciel, le Fils reçoit de son Père ce geste de puissance et de partage ; la bénédiction devient surabondance tangible.
C'est une nourriture déjà eucharistique qui rassasie la foule présente et se fait promesse pour les futurs destinataires des douze paniers. De même, notre assemblée dominicale, loin d’être un petit groupe fermé, représente davantage qu’elle-même et témoigne d'un don qui la dépasse de toute part.
Comme Isaïe le proclamait déjà (première lecture), Dieu donne avec générosité, sans calcul et sans mesure, en rupture complète avec la logique païenne du marchandage ou l’être humain doit « acheter» la faveur divine par des sacrifices ou des actes méritoires.
II donne par amour et par compassion, en considérant les besoins et non les moyens : «Vous qui avez soif, venez, voici de l'eau! Même si vous n'avez pas d'argent, venez acheter et consommer». S'agit-il d'un monde idéal, bien éloigné du notre ? Non, car Paul peut énumérer des difficultés très concrètes, qu'il a expérimentées, tout en s’écriant avec émerveillement : « Rien ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur (deuxième lecture). Nous partageons son action de grâce.
Dimanche 25 juin, la communauté portugaise de Neufchâteau et des environs fêtait Notre-Dame de Fatima en l'église Saint-Nicolas.
La statue à l'entrée de l'église, encadrée par deux jolis porte-drapeauxPour voir toutes les photos de la matinée, cliquer ici
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DMB
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Dans cette feuille d’annonces :
Cette cérémonie rassemble les habitants, curistes, touristes, qui, massés derrière les officiels et le prêtre, participent avec enthousiasme à cette procession de la Bénédiction des Eaux.
Cette année le cortège partira de l'église vers 11h45 (à l'issue de l'office de 10h30) et se dirigera à la Buvette du Bain National, où les eaux seront bénies, par le prêtre Bernard Jacquel, originaire de Plombières.
Certainement pas un geste magique qui conférerait à cette eau des pouvoirs qu'elle ne posséderait pas naturellement.
Actuellement la protection de la planète est devenue une préoccupation pour tous.
_ Bénir les eaux, c'est reconnaître que la terre et ses richesses ne nous appartiennent pas : c'est un don qui nous est fait, c'est une mise à notre disposition pour notre bien et celui des autres.
Bénir les eaux, c'est rendre grâce, dire merci au créateur pour toutes les richesses de sa création : don généreux qui n'est pas un héritage du passé, mais don qui se renouvelle sans cesse comme l'eau d'une source.
Bénir les eaux, c'est dire merci à Dieu pour ces eaux particulières, ces eaux thermales de Plombières-les-Bains, qui soulagent tant de maux.
Bénir les eaux c'est aussi présenter à Dieu tous les curistes qui viendront au cours de cette saison pour se soigner, et peut-être aussi en profiter pour se ressourcer.