
Voir la liste des paroisses du diocèse de Saint Dié des Vosges
Voir la liste des communes pour connaitre sa paroisse
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12h30 : Repas partagé : apporter un plat ou un dessert, une boisson, etc.
..............tout sera mis en commun -
..............apporter également assiettes, verres, couverts
14h : Au choix ...
..........Documentaire : A la rencontre du Pape François
ou
..........A propos du Synode sur la Famille
15h15 : Au choix ...
..............Témoignage : le Service Evangélique des Malades (SEM)
ou
..............Après le typhon : lettre des Philippines
..............de Bellen, travailleuse missionnaire
16h : Temps de prière et envoi.
.................................................................................................— Pour revoir toutes les photos de 2013, cliquer ici
Par la suite, après la fête de l'Ascension qui est un peu, à Plombières, l'inauguration officielle de la saison thermale avec la Bénédiction des Eaux, la "messe du curiste" viendra s'adjoindre à ces moments de prière, d'échange, de méditation.
À noter, que la rencontre annuelle de la Pastorale secteur "Région Est", est programmée le jeudi 20 mars à Amnéville. Notre Paroisse sera représentée afin d'échanger sur les actions menées en faveur des curistes.
La nuit, des feux-follets apparaissent sur le marécage et une croyance s'implanta dans l'une des deux cités : celle-ci s'imagina voir ses voisins effectuer un bal nocturne et danser toute la nuit sur une musique d’un orchestre brillant par son absence.
Ces danseurs furent appelés « feux-follets » ou « fous-follets », déformés par la suite en Forfelets, ce qui est le nom actuel des habitants de Corcieux.
Les documents historiques ne le précisent pas, mais voici la légende que l'on contait autrefois, le soir à la veillée, légende recueillie sans doute par Pierre Gillon, ancien instituteur.
Au lieu-dit les Jointures s'élevait depuis plusieurs siècles la célèbre abbaye fondée par Déodat, Quand des marcaires **, au Val de Galilée vinrent s'établir dans notre pays. Des cabanes s'établirent sur les pentes avoisinant le marécage et si les hommes peinèrent pour défricher un soi peu fertile, ils connurent une indépendance qui avait bien son prix. Heureusement, pour ces braves gens que la chapelle St Jacques n'était pas très éloignée, Et c'est l’ombre de la chapelle qu'ils pouvaient se reposer après une vie de dur labeur. Cela durait depuis bien longtemps, mais tous avaient l'espoir qu'un jour une église s'élèverait dans leur village qui commençait à prendre de l'importance.Un évènement inattendu précipita les choses. Un vendredi alors qu'il essartait des corres non loin du rupt (un corre est un noisetier; en latin -noisetier se dit corylus et rupt veut dire ruisseau), un habitant connu pour sa grande piété, se trouva soudain en présence d'une statue de la Vierge Marie tenant Jésus dans ses bras. Elle était droite, n'ayant pas souffert des intempéries et les rameaux, harmonieusement disposés, lui faisaient une niche de verdure.
Aussi vite que le vent, la nouvelle se rependit dans toute la vallée. Ce fut alors de longues files de gens venant vénérer la sainte image que personne ne connaissait ni de vue ni d'oui dire. A n'en pas douter c’était un signe de Dieu, et tous, animés d'une grande foi, tombèrent d'accord sur la nécessité d'élever une église où prendrait place " Cette doulce image de Nostre Dame». On ne pouvait guère attendre. Aussi de suite on se mit en devoir de choisir l'emplacement du nouveau sanctuaire. Le monticule entre les deux ruisseaux, là ou se trouve actuellement le cimetière, était un endroit rêvé, dominant le marécage et visible de tous les points de la vallée à plusieurs lieues à la ronde. La statue de la Vierge fut transportée en procession et placée sur un autel provisoire. Elle présidait aux travaux qui allaient commencer et stimulait l'ardeur de toute la population qui voulait lui faire l'offrande de son travail.Quand les pieux ouvriers arrivèrent pour se mettre à l’œuvre mais la statue avait disparu. L'idée d'un vol sacrilège ne vint à personne, mais ce fut dans tout le village "grande consternation". Heureusement la Vierge fut retrouvée à l'endroit même où elle avait été découverte, au pied du buisson de corres. Elle reprit sa place sur son socle mais le jour suivant on la retrouva à nouveau.
Dans les "corres sise" (assise sous les noisetiers). Il est clair que l'église devait s'élever sur le lieu du miracle. -Ce fut alors "grand ravissement" de voir toute la population au travail, telle une ruche bourdonnante. Aussi la nouvelle maison de Dieu abrita bientôt la statue si Vénérée et on l'appela : ‘NOSTRE DAME DE CORRE SISE’. Certains prétendent que c'est là l'origine du nom du village qui s'appela ‘CORRESI’ en ces temps là et qui donnera le nom de ‘CORCIEUX’.