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Paroisses
(Gérardmer, Liézey, Le Tholy, Xonrupt) Annonces semaine du 15 au 23 mars 2014 :
Samedi 15 MARS 2014 :
Gérardmer :
18h00 : Messe : Pierre IMHOFF en son 24éme anniversaire – Jeannot MOREL et sa famille - Andrée JOUBIER , ROLAND – Pierre LARUELLE et Guy DENYS-
Dimanche 16 MARS 2014 :
Gérardmer :
10h00 : Messe : 2éme dimanche de Carême
Pour Michèle et famille ROMAIN LEDRU – Marie –France PARMENTELAT– Jean CACLIN (4éme anniv.) – Gilberte GEORGEON et famille GEORGEON, NICHINI – Gérard REMY de la part de la classe 47 – Jeanne BOMBARDE – Pierre GOURY et sa famille – Thérèse BADONNEL (15éme anniv.)-Régine DIDIER et famille- Pascale CAËL – Défunts du groupe Renouveau de Gérardmer - Félicien SAINT-DIZIER et fam. SAINT-DIZIER , CARTELLI , FERRY , VILLAUME , VOINIER
Recommandations : Michèle LAZZATI – Marie-Thérèse DIDIER (Liézey) – Laurent DIDIER ( Liézey ) – Laure PERRIN
Le THOLY :
10h00 : Adap :
Pour tous les paroissiens, les défunts, Odette VOIRIN et Léa CLAUDON, famille René DIDIER, Famille Albert BOMBARDE, Maria THOMAS (8éme anniv.) et vivants et défunts de la famille, Jean-Marc CLAUDEL, Micheline et Francine HATTON
XONRUPT : pas de célébration
Mardi 18 MARS 2014 :
Gérardmer :
Messe à 18h00 : Charlotte et Roger VOINSON et défunts famille
Mercredi 19 MARS 2014 :
Gérardmer :
16h00 : Groupe de prière avec les résidents à la chapelle de Clair Logis-
17h15 : Chapelet à la chapelle Saint-Gérard de l'église
18h00 : Messe
Jeudi 20 MARS 2014 :
Gérardmer :
9 h 15 : Clair Logis : Messe pour les résidents
18h00 : Groupe de prière du Renouveau au sous-sol de l’église
Vendredi 21 MARS 2014 :
Gérardmer :
Confessions de 17h30 à 18h00
et adoration à la chapelle Saint Gérard de 17h30 à 18h00 .
18h00 : Messe : – Famille DEMANGEON - PIERRAT - Abbé Jacques BARBE
Samedi 22 MARS 2014 :
Gérardmer :
18h00 : Messe :
Pour François-Xavier, Pierre, Hélène BARTHELEMY – Jeannot MOREL – Alain, Hélène , Henri, Guy DENYS et défunts de la famille DENYS, CADARI0-
Dimanche 23 MARS 2014 :
Gérardmer :
10h00 : Messe : 3éme dimanche de Carême
Pour Famille Albert LAVERGNE et Henry MOREL – Marguerite JEANSELME – Georges VANIER, Pierre MARCHAL, Maurice, Andrée et Fabrice FRANCOIS – Jean, Gérard, Brigitte LAVERGNE – Marie- Thérèse LAMBERT
Le Tholy :
10h00 : Adap : pour tous les paroissiens, les défunts : Yvonne Marchal.
XONRUPT :
10h00 : ADAP
Les demandes de messes doivent être faites 15 jours avant la célébration souhaitée :
au presbytère de Gérardmer, chaque matin de 9h30 à 11h30 (permanences le matin).
Ou pour le Tholy : Auprès d'Odile Mansuy : XX.XX.XX.XX.XX
Les mardis 16 h 15 par Monsieur L'Abbé à la cure. ou Les samedis 9 h 45 par Christiane au Foyer Saint-Paul.
Vue panoramique
Une œuvre d'art de 180 M², d'un seul tenant entièrement réalisée en dalles de verre par Gabriel Loire, maître verrier à Chartres et qui retrace toute la vie de la Vierge Marie, depuis les premiers temps de la Genèse où son Immaculée Conception est symbolisée, jusqu'à son Couronnement final sur les nuées du ciel, en passant assurément par ses mystères joyeux, douloureux, glorieux.
Sanctuaires célèbres et attributs empruntés aux Litanies ou à la Légende Dorée, parsèment tout le vitrail.
Proportions exceptionnelles, richesse de la composition, splendeur chatoyante des couleurs : tout concours à la contemplation.
Abbé Roger OHNIMUS
NOTRE DAME AU CIERGE - IMMACULÉE CONCEPTION
NATIVITÉ DE LA VIERGE - EDUCATION DE LA VIERGE - PRÉSENTATION DE LA VIERGE
LA VIERGE AU PUITS - ANNONCIATION
VISITATION - MARIAGE DE MARIE ET DE JOSEPH
NATIVITÉ DE JÉSUS - PRÉSENTATION DE JÉSUS AU TEMPLE
FUITE EN EGYPTE
A NAZARETH - AU PIED DE LA CROIX
LA PIETÀ - RÉSURRECTION - PENTECÔTE
ASSOMPTION ET ANGES - COURONNEMENT
TOUR DE DAVID - LES CLES - MONOGRAMME "M"
TRONE DE LA SAGESSE - ETOILE ET ROSE DES VENTS - LA LICORNE
ARCHE D'ALLIANCE - MAISON D'OR - FLEUR DE LYS - CIERGE
CHARTRES - PARIS - LOURDES
PONTMAIN - LA SALETTE - RONDCHAMP
- NOTRE DAME AU CIERGE
Il convenait qu'au zénith du vitrail, dominant toutes les scènes de la vie de la Vierge, figure la Patronne de l'église : Notre-Dame au Cierge.
Présente au cœur de l'ancienne église dont on aperçoit les ruines, elle préside aux destinées de cette nouvelle église.
On peut y lire son monogramme : N.D.C.
Il est évident que la vraie Lumière qu'elle donne au monde, c'est bien son Fils, le Christ Jésus.
- IMMACULÉE CONCEPTION
La Vierge des commencements et de la fin des temps.
Dès les Premières pages de la Genèse, la figure de Marie, Mère du Rédempteur, Celle que le péché ne souillera jamais, se trouve prophétiquement esquissée quand Dieu dit au serpent symbolique :
_ " Je mettrai une hostilité entre toi et la femme, entre ta descendance et sa descendance. Elle t'écrasera la tête et tu la viseras au talon.".
De son coté, l'Apocalypse des derniers temps nous parle d'un signe grandiose dans le ciel : une femme, sur le point d'enfanter, ayant pour parure le soleil, la lune et les étoiles.
L'enfant d'abord, la femme ensuite, sortent vainqueur des puissances infernales.
- NATIVITÉ DE LA VIERGE.
Marie vient de naître.
Sainte Anne sa mère, reste couchée; pendant quelques instants elle confie sa fille entre les bras d'une voisine qui vient de lui rendre visite.
Marie est bien une juive, une fille d'Israël, qui attend tout de son Messie.
- ÉDUCATION DE LA VIERGE.
Anne initie Marie à la lecture de la Bible, livre de famille, d'école, de vie quotidienne.
Marie en sera tellement pénétrée que le plus beau chant d'action de grâce qui jaillira de son cœur (le Magnificat) sera une réminiscence biblique.
Comme on le voit, dans l'éducation d'un enfant, l'influence de la mère, l'environnement du milieu sont prépondérants. - PRÉSENTATION DE MARIE.
Comme Jésus le fera lui-même à 12 ans, Marie fait son premier pèlerinage à Jérusalem.
Guidée par une lumière intérieure, elle gravit les degrés du Temple et vient s'offrir à Dieu par l'intermédiaire du Grand Prêtre, qui accueille sa démarche, les bras grands ouverts.XX.XX.XX.XX.XXe0-8c8d-f8098fc31af8" class="align-center embedded-entity" data-langcode="fr">
Avant d'offrir son corps pour accueillir le Fils de Dieu, Marie offre son cœur et, dans un choix courageux, se voue totalement au Seigneur.
- LA VIERGE AU PUITS
Pendant des années, Marie mène la vie des femmes de Nazareth.
Elle se rend au puits dont on aperçoit la ferronnerie stylisée, elle en revient avec sa cruche d'eau sur l'épaule, va pétrir les galettes de pain, balayer la maison, faire le ménage.
Ainsi par la simplicité de sa vie Marie est proche des hommes et des femmes de tous les temps et montre que la sainteté de la vie s'actualise dans les tâches les plus humbles. - ANNONCIATION.
Au dire du maître-verrier, c'est une des plus belles scènes du vitrail.
L'ange Gabriel, tout de feu, enveloppe Marie de sa puissance, sollicitant son consentement à devenir Mère de Jésus, le Fils du TRÈS-HAUT.
A la suite de son "oui", sous l'action de l'Esprit Saint, symbolisé par la colombe, Marie conçoit L'Enfant Dieu.
On dirait que la scène se déroule sur un parterre de fleurs N'est-ce pas précisément le printemps de Dieu sur la terre
- VISITATION.
Marie se rend chez sa cousine Élisabeth qui attend la naissance de Jean-Baptiste.
Grâce au Christ qu'elle porte en elle, une grâce, discrète comme le parfum d'une rose, émane de Marie, illumine leur rencontre, favorise leurs confidences et inspire leur action de grâce commune.
C'est l'heure du MAGNIFICAT
Le bouquet d'œillets symbolise l'affection qui unit ces deux femmes.
- MARIAGE DE MARIE ET DE JOSEPH
Une belle trilogie.
Cette cérémonie a lieu dans la synagogue, devant le Grand Prêtre, qui les bénit.
Marie a placé sa main dans celle de Joseph : tous deux se promettent amour et fidélité pour la vie.
Au pied du nouveau couple, l'artiste a précisément représenté:
le cœur, symbole de l'amour;
le chien, symbole de la fidélité;
les deux alliances, symboles du mariage.
- NATIVITÉ DE JÉSUS.
Marie serre son enfant dans ses bras, on dirait qu'elle se blottit contre lui, car son Enfant, c'est également son Dieu.
Remarquons l'admirable symbolisme de la scène :
Une croix et une gerbe de blé complètent le tableau.
En s'immolant sur une croix, Jésus deviendra le vrai Pain de Vie.
On dirait aussi que les animaux sont de la fête et participent à l 'extase de la Vierge. Le bœuf et l'âne les réchauffent, les oiseaux gazouillent, le ciel rayonne de lumière.
- PRÉSENTATION DE JÉSUS AU TEMPLE.
Comme la loi de Moïse le prescrivait, les parents de Jésus viennent au Temple présenter l'Enfant au Seigneur.
Le don de deux tourterelles est l'expression de leur offrande personnelle.
Siméon, l'homme sage du Temple, prophétise :
"Cet Enfant se révélera Lumière des nations".
Quand à Marie, elle s'entend dire cette prophétie mystérieuse :
"Un glaive de douleur transpercera ton cœur."
Pour sauver L'Enfant de la colère d'Hérode, il faut fuir en Égypte.
Joseph part d'un pas résigné et Marie est toute à sa méditation.
L'âne paraît tressaillir d'allégresse à la pensée de porter le Sauveur du monde. Pas d'affolement dans le groupe car l'Ange de Dieu les guide, comme par une cordelette invisible, en ce lieu de refuge, l'Égypte dont on aperçoit au pied de l'ange les jaunes pyramides ainsi que les épis de blé symbolisant les réserves nourricières de la vallée du Nil.
Pourquoi cette branche et ce petit lapin ?
Ici l'artiste fait allusion au folklore des Évangiles apocryphes qui racontent qu'au passage de Jésus, la création était en fête les branches se courbaient, les animaux accouraient.
C'est certainement la scène la plus pittoresque du vitrail.
- A NAZARETH
Marteau en main, Jésus exerce le métier de charpentier, tandis que Marie, à ses cotés, file et tisse les vêtements de famille, prépare les repas, dialogue avec son Fils.
Travail, repos, prière scandent cette vie ordinaire d'artisans.
Qui dira jamais l'extraordinaire communion d'amour, vécue dans la sainte Famille de Nazareth. - MARIE AU PIED DE LA CROIX.
Présente aux grandes heures de la vie de Jésus, Marie est, bien sûr, présente au Calvaire.
Elle se tient debout au pied de la croix, stylisée par deux traits rouges. Ne doit-elle pas, comme son Fils, boire le calice jusqu'à la lie et connaîtra, elle-aussi, une sorte de crucifixion.
- LA PIÉTA
Marie reçoit dans ses bras le corps inanimé de son Fils.
Avant de mourir, le Christ s'était totalement abandonné entre les mains de son Père. Mort, il s'abandonne totalement entre les mains de sa Mère.
Scène célèbre qui exprime à la perfection l'étroite collaboration de Marie à la Passion du Christ.
C'est la raison pour laquelle l'artiste a broché sur croix le monogramme de Marie et dessiné la passiflore « fleur de la Passion ».(ainsi appelée parce que sa corolle ressemble à une couronne)
Qui plus est on dirait qu'elle regarde vers ces deux croix qui encadrent une branche, d'olivier, symbole de la Croix du Christ devenue Arbre de Vie.
La mort de Jésus n'a pas tué son espérance. - RÉSURRECTION - PENTECÔTE
Présente aux grandes heures de la vie de Jésus, Marie est, bien sûr, présente au Calvaire.
Elle se tient debout au pied de la croix, stylisée par deux traits rouges.
Ne doit-elle pas, comme son Fils, boire le calice jusqu'à la lie et connaîtra, elle-aussi, une sorte de crucifixion.
- ASSOMPTION et ANGES.
Comme pour son Fils avec lequel elle ne fait plus qu'un, les puissances célestes l'arrachent à la mort et l' emportent corps et âme au sein de Dieu, dans la gloire du Ressuscité.
Elle franchit la Porte du ciel et semble nous en indiquer la voie à suivre.
Ne veut-elle pas nous entraîner dans son sillage? - COURONNEMENT .
Marie est couronnée sur les nuées du ciel.
Elle est désormais Reine de l'Univers.
Mais contrairement aux représentations triomphales dans la gloire, nous la retrouvons, dans son éternité, comme dans sa vie d'ici-bas, Servante du Seigneur et des hommes : à genoux devant Dieu et intercédant pour nous.
Le cierge allumé rappelle que le Ressuscité est pour nous, comme pour Marie, Lumière et Vie.
- TOUR DE DAVID - TOUR D'IVOIRE
On évoque ici la filiation davidique - c'est-à-dire messianique - de Marie.
L'appellation "Tour d'ivoire" évoque plutôt l'idée de beauté incomparable et de force imprenable qui fait l'admiration de l'Époux du Cantique, appelant sa bien-aimée. - LES CLES
Comme St pierre pour l'Église, Marie a le privilège des clés pour le ciel.
Elles veulent symboliser la médiation particulière de Marie.
Rappelons-nous son intervention à Cana et l'obtention du premier miracle du Christ. - MONOGRAMME M
Le nom de Myriam est très ancien, très courant. La sœur de Moïse se nommait Myriam.
Selon une étymologie scientifique - d'origine égyptienne - le mot Myriam signifierait "Celle qui est aimée de Dieu" ... et pour cause !
AUTRES SYMBOLES EMPRUNTES AUX LITANIES OU A LA TRADITION
(de gauche à droite du vitrail)
- TRONE DE LA SAGESSE
Il est souvent question dans la Bible du Trône et de la Sagesse de Dieu.
S'il est un Trône de grâce où repose et demeure avec prédilection la Sagesse de Dieu, c'est bien le cœur de Marie, le corps de Marie. - ETOILE ET ROSE DES VENTS
On a aimé comparer Marie à une étoile :
Étoile du matin, qui annonce le-lever du soleil;
Étoile de la mer, qui guide les hommes à travers les tempêtes du monde.
Quant à la Rose des Vents,
c'est une étoile aux multiples branches qui symbolise l'universalisme de Marie. - LA LICORNE
Ce n'est pas pour rien qu'elle est placée juste en dessous de la scène de l'Annonciation où il est question de la virginité de Marie.
Animal fabuleux du Moyen-âge, à corps de cheval et au front planté d'une corne, la licorne symbolise précisément la virginité et, par le fait même, cette force d'âme qui s'oppose à toute altération.
- ARCHE D'ALLIANCE
A plusieurs reprises Dieu renouvelle son Alliance avec son peuple.
Le signe de l'Alliance avait la forme d'une arche pour rappeler le salut accordé au peuple lors du Déluge. Dans cette Arche furent déposées Les Tables de la Loi, symboles de la Présence divine.
Marie n'est-elle pas, par excellence, la nouvelle Arche d'alliance qui accueille Dieu en personne et où peut s'abriter le monde entier ?
- MAISON D'OR
Marie est bien ce tabernacle précieux, cette Maison d'Or envahie par l'Esprit d'Amour où s'enfanta successivement le corps physique de l'Homme-Dieu et le Corps mystique du Christ : l'Église.
- FLEUR DE LYS
Aux deux extrémités du vitrail se dressent des fleurs de lys, symboles de la royauté de Marie, une royauté qui se veut être essentiellement service.
- CIERGE
Placé par fantaisie à l'extrémité droite du vitrail, le cierge de Notre-Dame domine les dernières scènes de la vie de la Vierge.
Comme on l'a vu, il symbolise le Christ Vivant,
Lumière du monde,
Celui qui est pour nous, comme pour Marie, la Voie, la Vérité, la Vie.
- NOTRE DAME DE CHARTRES
En plein cœur du vitrail, et pour cause, Notre-Dame de Chartres parmi les blés ondulés de la Beauce, avec ses deux flèches dissemblables et sa somptueuse rosace aux yeux bleus.
C'est à l'ombre de ce sanctuaire que le maître-verrier, M. Gabriel Loire, a pensé et réalisé la verrière de l'église où, disait-il, le bleu d'Épinal veut rappeler le bleu de Chartres.
- NOTRE DAME DE PARIS
Modèle de pureté gothique, majestueux vaisseau de pierre dont les deux tours et la flèche constituent les mats.
- NOTRE DAME DE LOURDES
Si reconnaissable à sa silhouette élancée et à ses rampes du Rosaire qui s'étirent le llong du Gave.
- NOTRE DAME DE PONTMAIN
Deux flèches symétriques se dressent aux confins des provinces de Loire et de Bretagne.
- NOTRE DAME DE LA SALETTE
Reconnaissable à ses deux tours massives plantées au cœur des Alpes.
- NOTRE DAME DE RONCHAMP en Haute-Saône
C'est une oeuvre considérable de Le Corbusier, qui, grâce au béton armé, donne à l'architecture religieuse contemporaine des formes jusqu'alors inconnues.
Mony LIM une responsable de l'ONG ADHOC, association de défense des droits de l'homme, partenaire du CCFD Terre solidaire au Cambodge, sera présente à Vagney le 19 mars. à 20 h à l'espace Saint Hubert. Elle nous présentera des projets portant sur des actions de sensibilisation et de formation sur les violences faites aux femmes dans les communautés villageoises.
Le projet est axé sur la violence domestique, le viol et le trafic sexuel. Il comprend des cours de sensibilisation sur les droits des femmes.
"Le partenariat est une route qui nous change. J'ai appris qu'il n'y a pas d'un côté ceux qui donnent et de l'autre ceux qui reçoivent. Un vrai partenariat ne s'établit que si les uns et les autres sont d'abord dans une attitude d’accueil et d'écoute de l'autre. C'est alors seulement qu'ils sont en mesure d'agir et de grandir ensemble. Vécu ainsi, le partenariat est un chemin de réelle conversion évangélique.
Mgr Jean-Louis Papin évêque de Nancy et Toul de retour d'un voyage d'immersion en Argentien en août 2013.