
Voir la liste des paroisses du diocèse de Saint Dié des Vosges
Voir la liste des communes pour connaitre sa paroisse
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Gérardmer : Liturgie pénitentielle au début de la messe
18h00 : Messe : Manuel Batista, et Deolinda Gonçalves
Gérardmer :
Animation : Foi et Lumière Liturgie pénitentielle au début de la messe
10h00 : Messe : André et Liliane Bichet – Suzanne Grandemange – Fam. Cuny, Massy, Marchal , Mangel – Jean Claude Xolin et Fam. Xolin Georgel – Jonathan Ibanez et son grand – père Jean Brocard – Fam. Toussaint : Raymond, Jeanne et Nicole – Anne –Marie Liénèré et fam.Liénéré Sion – Fam. Marre, Balland, Perrin - Mme Lautar – Fam. Callies : Jessie et Hubert –
Recommandation : Bernard Schwindling
Le Tholy :
10h00 : Adap : pour tous les paroissiens, les défunts : Odette Voirin, Pierre Babel et la famille.
Xonrupt : Ni messe ni Adap
Gérardmer : Messe des Familles
19h00 : MESSE DE LA NUIT DE NOËL :
Catherine et Joseph en mission humanitaire-
Les malades de nos familles et de la paroisse- Charles Crouvezier et Fam. Rodolphe et Estelle Lavergne , Fam. Lavergne Morlot – Robert Créteur (4ème ann ) – Fam. Holveck -Jerôme -Hazemann -Charlier – Louis Bonheur – Michèle Rimpot - Bedez - Fam. Doridant , Sonrel – Fam. Philippe, Pesch, Thomas – Maria Luisa Da Silva et Sousa – Jean –Marie Diche – Gilbert et Marie Louise Duran
Le Tholy :
19h00 : Adap DE LA NUIT DE NOEL :
Pour tous les paroissiens, les défunts : Yvonne Villemin, Jeanne Doridant, Michel et Laurent Mansuy, Jean-Marie Dubois et sa famille.
Gérardmer :
JOUR DE NOEL
10h00 : Messe : Jean –Mary Valentin et Maxime Caël - Joseph Parmentelat- Pierre Poirot et fam. – François Xavier et fam. Morel – Bernard, Suzanne, Pierre, Micheline Willmann Guy et Gauthier – Yvan Didier et fam.Didier Demange – Madeleine Jolas Morfino et Fam Morfino -Vincent Viry - Fam. Samuel Nicolazzi et Jean Frosio, Frédéric et Raymond Marchal et Fam. – Alice Didier – Jeanne, Paul, Jean-Pierre Claudel –Michel Poirot – Manuel Batista – Maurice Noiraux et défunts fam. - Eugénie, Henry, Hubert Sonrel et déf. Fam. Gérard Sonrel – Baptiste Meline -
Le Tholy : Ni messe, ni Adap.
Xonrupt :
10h00 : Adap
Gérardmer :
16h00 : Groupe de prière avec les résidents à la chapelle du Clair Logis
17h15 : Chapelet à la chapelle Saint Gérard à l’église
18h00 : Messe : Fam. Claudel - Mougel
Gérardmer :
9h15 : Messe à Clair Logis pour les résidents.
18h00 : Groupe de prière du Renouveau au sous sol de l'église
Gérardmer :
17h30 : Confessions – Adoration
18h00 : Messe –
Gérardmer :
18h00 : Messe : Manuel Batista - Alice Didier (par le rosaire)– Déf. Fam . Rivière et Lavergne.
Gérardmer
10h00 : Messe : Action de grâce pour une guérison - Jean-Loup Bossut et défunts fam- Odile Chipot et Bedez et fam. - Gilberte Georgeon et fam ; Georgeon Nichini – Jean , Simone Gysel et Marguerite Lozé -
Le Tholy :
10h00 : Adap : Pour tous les paroissiens, les défunts :
16h00 à l'église : Concert de chants par une famille du Tholy.
Xonrupt : Ni messe ni Adap
Les demandes de messes doivent être faites 15 jours avant la célébration souhaitée :
au presbytère de Gérardmer, chaque matin de 9h30 à 11h30 (permanences le matin).
Ou pour le Tholy : Auprès d'Odile Mansuy: XX.XX.XX.XX.XX
Dans sa marche vers Jérusalem, Jésus passait par les villes et les villages en enseignant.
Quelqu'un lui demanda : « Seigneur, n'y aura-t-il que peu de gens à être sauvés ? » Jésus leur dit :
« Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et ne le pourront pas.
Quand le maître de la maison se sera levé et aura fermé la porte, si vous, du
Et si ces personnes qui doivent se bousculer à la porte étroite pour entrer dans le Ciel de Dieu, c'était nous ?
Nous, ces chrétiens, qui avons été dès notre enfance, les gâtés de Dieu, qui avons été nourris de sa Parole et de son Pain. Nous qui sommes si souvent des repus de spiritualité, des « suralimentés de sacrements ». Nous qui pensons un peu vite, étant donné nos états de service pour la bonne cause, que nous avons un bon de garantie pour l'éternité. On se dit : Dieu ne manquera pas de reconnaître les siens, c'est-à-dire nous ! Nous qui pensons un peu vite que si nous n'avons pas notre place retenue au paradis, on ne voit pas très bien qui l'aura.
La porte étroite c'est le passage obligatoire pour tous ceux qui ont été ici-bas les privilégiés du Père.
Les chrétiens tièdes, inodores, incolores, et sans saveur, les chrétiens béats d'optimisme.
Les chrétiens qui pensent avoir le téléphone rouge avec Dieu, qui « ne font de mal à personne, mais peut-être pas davantage de bien ». Les chrétiens sourds-muets : sourds aux appels de l'Evangile et muets pour proclamer à temps et à contretemps la Bonne Nouvelle. Les chrétiens qui attendent la retraite pour se convertir.
Battons-nous pour entrer : car ça en vaut la peine, quand on sait que derrière la porte, c'est la fête, c'est la Noce, et que quelqu'un nous attend. Nous sommes conviés au festin des Noces éternelles. Serons-nous donc assez fous pour être pressés de vivre un jour auprès de l'Epoux ? Ne lassons pas la patience de Dieu, car la porte se refermera à notre nez.
Désencombrons-nous : c'est inutile d'avoir trop de bagages pour entrer par une
Un jour, Jésus priait à l'écart. Comme ses disciples étaient là, il les interrogea : « Pour la foule, qui suis-je ? »
Ils répondirent : « Jean Baptiste ; pour d'autres, Élie ; pour d'autres, un prophète d'autrefois qui serait ressuscité. »
Jésus leur dit : « Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? » Pierre prit
— Extraits des Perspectives du Conseil et famille de la Conférence des évêques de France après le vote de la loi ouvrant le mariage aux personnes de même sexe ;
— L'Eglise comme toute association, est en droit de faire entendre ses arguments : les catholiques, comme tous les citoyens peuvent prendre la parole. Bien sûr, il n'est pas question d'imposer la foi ou un point de vue religieux. La participation des catholiques au débat public se fait à partir d'une vision de l'homme qui trouve sa source dans la raison éclairée par la foi chrétienne. Le débat politique n'épuise pas le débat éthique sur les grandes questions de l'existence.
Ainsi l' Eglise rappelle ces pistes de réflexion :
Le mariage est une institution qui signifie à tous que la vie est un don, que les deux sexes sont égaux et indispensables à la vie et que la lisibilité de la filiation est essentielle pour l'enfant. L'intérêt supérieur de l'enfant doit être mieux pris en considération. Malheureusement, la revendication de préserver une filiation lisible pour tous les enfants n'a pas été retenue par le législateur.
L'Eglise condamne l'homophobie. L'homophobie, comme toute forme de discrimination est inacceptable. Pour les communautés catholiques, l'accueil inconditionnel de toute personne est entier. Toute personne, indépendamment de son parcours de vie, est d'abord un frère ou une sœur dans le Christ, un enfant de Dieu. Cette filiation divine transcende tous les liens humains de famille. Chaque personne a droit à un accueil aimant. L'accueil inconditionnel de la personne cependant n'inclut absolument pas une approbation de tous ses actes. Mais cet accueil constitue la condition première de toute relation, selon l'exemple donné par le Christ lui-même.
C'est la miséricorde qui ouvre le chemin par lequel chaque personne est rendue à sa dignité et à sa liberté, et peut donc s'engager librement sur une voie exigeante de conversion et de croissance. C'est une rencontre avec le Christ qui va conduire une personne à opérer des changements dans sa vie. L'Eglise reconnaît que beaucoup peut encore être fait pour mieux accueillir et accompagner les personnes homosexuelles.
L'Eglise rappelle sa vision de l'homme, créé à l'image et à la ressemblance du Dieu trinitaire. L'homme est un être relationnel. Nous ne pouvons rester indifférents aux personnes avec qui nous sommes en relations, avec une attention particulière aux plus vulnérables. D'où l'opposition à ce qui risque de priver l'enfant de ses droits, de son inscription dans une histoire et une généalogie. A partir de cette vision de l'homme, l'Eglise demandera à la fois l'accueil de l'étranger et l'accueil de l'enfant à naître, ainsi que le respect des personnes diminuées par l'âge ou par le handicap. A suivre....
Jésus prit avec lui Pierre, Jean et Jacques, et il alla sur la montagne pour prier.
Pendant qu'il priait, son visage apparut tout autre, ses vêtements devinrent d'une blancheur éclatante.
Et deux hommes s'entretenaient avec lui : c'étaient Moïse et Élie, apparus dans la gloire. Ils parlaient de son départ qui allait se réaliser à Jérusalem. Pierre et ses compagnons étaient accablés de sommeil ; mais, se réveillant, ils
Encore faut-il que nous nous ouvrions au pardon : c'est le sens de cette demande. Car il n'est pas facile de demander pardon, de consentir à le recevoir. C'est peut-être aussi difficile que de consentir à donner le pardon aux autres. Le Seigneur, dans la prière qu'il nous enseigne, met un lien fort entre les deux pardons, celui que nous demandons pour nos offenses et celui que nous déclarons accorder « à ceux qui nous ont offensés ».
Il nous est demandé de pardonner non pas pour que nous soyons pardonnés, mais parce que nous avons été pardonnés. Dans la lettre aux Ephésiens, Paul ne dit pas autre chose en inversant les deux propositions : « Pardonnez-vous les uns aux autres comme Dieu vous a pardonné dans le Christ » (4, 32). Le « comme » qui lie les deux parties de cette demande est identique au « comme » dans « que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel ». Il signifie : « de la même manière ». Le pardon reçu et le pardon accordé appartiennent au même univers : le royaume de Dieu qui est le monde du pardon, le monde selon le désir et la volonté du Père des miséricordes. Que jamais nous n'en soyons séparés !
Tout part d'un pardon divin qui est donné infiniment et qui est à recevoir. Le signe que le pardon est vraiment reçu, c'est le pardon donné par celui qui a été pardonné.
Recevoir le pardon et le donner, c'est vivre le même mystère, celui du passage de la mort à la vie, le mystère pascal. « Mon fils était mort et il est revenu à la vie » dit le père de l'enfant prodigue (Luc 15, 24 et 32).
Dire en vérité : « Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés » , c'est s'engager à vivre dans le Royaume du pardon.
Avec l'humilité des pécheurs pardonnés et la générosité qui fait taire toute rancune et tout désir de vengeance.
Jésus disait encore à ses disciples : « Un homme riche avait un gérant qui lui fut dénoncé parce qu'il gaspillait ses biens.
Il le convoqua et lui dit : 'Qu'est-ce que j'entends dire de toi ? Rends-moi les comptes de ta gestion, car désormais tu ne pourras plus gérer mes affaires. '
Le gérant pensa : 'Que vais-je faire, puisque mon maître me retire la gérance ?
Travailler la terre ? Je n'ai pas la force. Mendier ? J'aurais honte.
Je sais ce que je vais faire, pour qu'une fois renvoyé de ma gérance, je trouve des gens pour m'accueillir. '
Il fit alors venir, un par un, ceux qui avaient des dettes envers son maître. Il demanda au premier : 'Combien dois-tu à mon maître ?
— Cent barils d'huile. ' Le gérant lui dit : 'Voici ton reçu ; vite, assieds-toi et écris cinquante. '
Puis il demanda à un autre : 'Et toi, combien dois-tu ? - Cent sacs de blé. ' Le gérant lui dit : 'Voici ton reçu, écris quatre-vingts. '
Ce gérant trompeur, le maître fit son éloge : effectivement, il s'était montré habile, car les fils de ce monde sont plus habiles entre eux que les fils de la lumière.
Eh bien moi, je vous le dis : Faites-vous des amis avec l'Argent trompeur, afin que, le jour où il ne sera plus là, ces amis vous accueillent dans les demeures éternelles.
Celui qui est digne de confiance dans une toute petite affaire est digne de confiance aussi dans une grande. Celui qui est trompeur dans une petite affaire est trompeur aussi dans une grande.
Si vous n'avez pas été dignes de confiance avec l'Argent trompeur, qui vous confiera le bien véritable ?
Et si vous n'avez pas été dignes de confiance pour des biens étrangers, le vôtre, qui vous le donnera ?
Aucun domestique ne peut servir deux maîtres : ou bien il détestera le premier, et aimera le second ; ou bien il s'attachera au premier, et méprisera le second. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l'Argent. »
« Attention, danger.
La mise en garde de Jésus à propos de l'argent trompeur résonne avec tellement d'actualité.
L'argent n'est pas mauvais en soi, mais il peut pervertir le cœur par la tentaion du gain , du pouvoir des honneurs.
Il peut éloigner de Dieu en se faisant maître de vie.
Alors Jésus nous pose la question : Dieu ou l'argent ? »
A nous de bien utiliser l'argent en lui donnant une destination bienfaisante .
Il n'est pas défendu d'être intelligent pour utiliser au mieux son argent : Au service des pauvres.
Combien de Français pensent à partager avec les pauvres du Tiers Monde ?
Au service de la justice sociale.
Pourquoi défend-on tellement non pas les avantages acquis, mais les privilèges acquis dans une période économique qui exige le sens du partage équitable ?
Au service de la Mission :
Un pauvre des pays du sud doit employer 10 mois de salaire pour s'offrir une Bible pendant que les nôtres traînent dans les bibliothèques, souvent pas même ouvertes .
Aidons-nous les jeunes désargentés à vivre un rassemblement ? Un pèlerinage ?
Au service de notre propre vie spirituelle :
Quel argent je consacre à faire quelques jours de retraite, à l'achat d'un livre qui nourrisse ma foi ?
Au service de la Bonne nouvelle :
On se plaint que la voix de l'Eglise n'est pas entendue :
Les médias catholiques existent.
Les connaissons-nous et les soutenons-nous efficacement ?
La parabole que nous livre Jésus est souvent mal reçue, car elle peut donner l'impression que Jésus approuve la malhonnêteté de l'intendant, alors qu'elle veut traduire simplement la souffrance de Jésus de voir les fils des ténèbres plus habiles que les fils de lumière.
Cette parabole nous interroge fortement :
que faisons-nous de nos talents ?
Que faisons-nous de notre matière grise ?
De notre intelligence ?
Si nous l'utilisions davantage pour thésauriser l'essentiel ?
Pour faire avancer le Royaume.
Assez de lamentations sur notre monde ou de mea culpa continuels sur ce que nous faisons mal en Eglise.
Agissons et agissons intelligemment.
Et cherchons toujours à faire mieux , à faire « davantage » disait saint Vincent de Paul.
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Quand l'heure du repas pascal fut venue, Jésus se mit à tables, et les Apôtres avec lui.
Il leur dit : « J'ai ardemment désiré manger cette Pâque avec vous avant de souffrir
Ils se mirent à crier tous ensemble : « Mort à cet homme ! Relâche-nous Barabbas. »
Ce dernier avait été emprisonné pour un meurtre et pour une émeute survenue dans la ville.
Pilate, dans son désir de relâcher Jésus, leur adressa de nouveau la parole.
Mais ils criaient : « Crucifie-le ! Crucifie-le ! »
Pour la troisième fois, il leur dit : « Quel mal a donc fait cet homme ? Je n'ai trouvé en lui aucun motif de condamnation à mort. Je vais donc le faire châtier, puis le relâcher. »
Mais eux insistaient à grands cris, réclamant qu'il soit crucifié ; et leurs cris s'amplifiaient.
Alors Pilate décida de satisfaire leur demande.
Il relâcha le prisonnier condamné pour émeute et pour meurtre, celui qu'ils
Entrer dans la Semaine sainte, pour l'Église, c'est entrer dans ce mouvement de transformation du temps qui s'opère dans la grande œuvre de salut accomplie par le Christ : par sa mort et sa résurrection, le Christ révèle la fin de ce monde et le commencement d'un monde à venir.
L’Église qui, durant ces jours saints, célèbre ce passage à un temps nouveau, à une vie nouvelle, ne se contente pas de commémorer des événements passés ; le dernier repas de Jésus avec ses disciples, sacrement de son corps et de son sang livrés sur la croix, son entrée au séjour des morts, sa résurrection le matin du troisième jour, sont la manifestation du don mystérieux que Dieu fait à toute l'humanité pour qu'elle entre dans la joie d'un monde nouveau, établi sur la justice, délivré de l'oppression et de la terreur.
Pendant toute cette semaine, Dieu nous invite à entrer dans cette joie qui ne dépend de rien en ce monde, qui est absolument gratuite.
Elle transforme ceux qui accueillent ce don et les rend capables de transformer tous les jours de l'année. Comme le brouillard que vient dissiper la lumière, comme le visage que vient éclairer un sourire, tous les faits et gestes, tous les événements heureux ou malheureux qui marquent la vie des hommes et font la vie du monde, peuvent être tournés vers cette joie et devenir signes de ce don, le Christ Sauveur qui demeure éternellement Présent.
Entrons dans cette grande semaine en communion avec toute l'Église en ayant l'assurance que nous y puiserons aux sources du salut. Nous pourrons, alors laisser éclater « dans le ciel la joie des anges ! De partout la joie du monde ! Dans l'Église la joie des fils de Dieu ! »(Exultet, Louage pascale).