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Paroisses

carte des paroisses du diocèse de Saint Dié
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20/09 /12 Annonces du 22 au 30 déc. 2012 (Saint Gérard de la vallée des lacs)
Horaires des célébrations ainsi que des intentions de prières : PAROISSE SAINT-GÉRARD-DE-LA-VALLÉE-DES-LACS
(Gérardmer, Liézey, Le Tholy, Xonrupt)
Annonces semaine du 22 au 30 déc. 2012 :

Samedi 22 Décembre :

Gérardmer : Liturgie pénitentielle au début de la messe
18h00 : Messe : Manuel Batista, et Deolinda Gonçalves


Dimanche 23 Décembre :

Gérardmer :
Animation : Foi et Lumière Liturgie pénitentielle au début de la messe
10h00 : Messe : André et Liliane Bichet – Suzanne Grandemange – Fam. Cuny, Massy, Marchal , Mangel – Jean Claude Xolin et Fam. Xolin Georgel – Jonathan Ibanez et son grand – père Jean Brocard – Fam. Toussaint : Raymond, Jeanne et Nicole – Anne –Marie Liénèré et fam.Liénéré Sion – Fam. Marre, Balland, Perrin - Mme Lautar – Fam. Callies : Jessie et Hubert –
Recommandation : Bernard Schwindling

Le Tholy :
10h00 : Adap : pour tous les paroissiens, les défunts : Odette Voirin, Pierre Babel et la famille.

Xonrupt : Ni messe ni Adap


Lundi 24 Décembre :

Gérardmer : Messe des Familles
19h00 : MESSE DE LA NUIT DE NOËL :
Catherine et Joseph en mission humanitaire-
Les malades de nos familles et de la paroisse- Charles Crouvezier et Fam. Rodolphe et Estelle Lavergne , Fam. Lavergne Morlot – Robert Créteur (4ème ann ) – Fam. Holveck -Jerôme -Hazemann -Charlier – Louis Bonheur – Michèle Rimpot - Bedez - Fam. Doridant , Sonrel – Fam. Philippe, Pesch, Thomas – Maria Luisa Da Silva et Sousa – Jean –Marie Diche – Gilbert et Marie Louise Duran

Le Tholy :
19h00 : Adap DE LA NUIT DE NOEL :
Pour tous les paroissiens, les défunts : Yvonne Villemin, Jeanne Doridant, Michel et Laurent Mansuy, Jean-Marie Dubois et sa famille.


Mardi 25 Décembre :

Gérardmer :
JOUR DE NOEL
10h00 : Messe : Jean –Mary Valentin et Maxime Caël - Joseph Parmentelat- Pierre Poirot et fam. – François Xavier et fam. Morel – Bernard, Suzanne, Pierre, Micheline Willmann Guy et Gauthier – Yvan Didier et fam.Didier Demange – Madeleine Jolas Morfino et Fam Morfino -Vincent Viry - Fam. Samuel Nicolazzi et Jean Frosio, Frédéric et Raymond Marchal et Fam. – Alice Didier – Jeanne, Paul, Jean-Pierre Claudel –Michel Poirot – Manuel Batista – Maurice Noiraux et défunts fam. - Eugénie, Henry, Hubert Sonrel et déf. Fam. Gérard Sonrel – Baptiste Meline -

Le Tholy : Ni messe, ni Adap.

Xonrupt :
10h00 : Adap


Mercredi 26 Décembre :

Gérardmer :
16h00 : Groupe de prière avec les résidents à la chapelle du Clair Logis
17h15 : Chapelet à la chapelle Saint Gérard à l’église
18h00 : Messe : Fam. Claudel - Mougel


Jeudi 27 Décembre :

Gérardmer :
9h15 : Messe à Clair Logis pour les résidents.
18h00 : Groupe de prière du Renouveau au sous sol de l'église


Vendredi 28 Décembre :

Gérardmer :
17h30 : Confessions – Adoration
18h00 : Messe –


Samedi 29 Décembre :

Gérardmer :
18h00 : Messe : Manuel Batista - Alice Didier (par le rosaire)– Déf. Fam . Rivière et Lavergne.


Dimanche 30 Décembre :

Gérardmer
10h00 : Messe : Action de grâce pour une guérison - Jean-Loup Bossut et défunts fam- Odile Chipot et Bedez et fam. - Gilberte Georgeon et fam ; Georgeon Nichini – Jean , Simone Gysel et Marguerite Lozé -

Le Tholy :
10h00 : Adap : Pour tous les paroissiens, les défunts :
16h00 à l'église : Concert de chants par une famille du Tholy.

Xonrupt : Ni messe ni Adap


Les demandes de messes doivent être faites 15 jours avant la célébration souhaitée :
au presbytère de Gérardmer, chaque matin de 9h30 à 11h30 (permanences le matin).
Ou pour le Tholy : Auprès d'Odile Mansuy: XX.XX.XX.XX.XX

19/09 /12 Méditation du 25 août 2013 - 21ème dimanche (Saint Gérard de la vallée des lacs)

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 13,22-30.

Dans sa marche vers Jérusalem, Jésus passait par les villes et les villages en enseignant.
Quelqu'un lui demanda : « Seigneur, n'y aura-t-il que peu de gens à être sauvés ? » Jésus leur dit :
« Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et ne le pourront pas.
Quand le maître de la maison se sera levé et aura fermé la porte, si vous, du

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dehors, vous vous mettez à frapper à la porte, en disant : 'Seigneur, ouvre-nous', il vous répondra : 'Je ne sais pas d'où vous êtes. '
Alors vous vous mettrez à dire : 'Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné sur nos places. '
Il vous répondra : 'Je ne sais pas d'où vous êtes. Éloignez-vous de moi, vous tous qui faites le mal. '
Il y aura des pleurs et des grincements de dents quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, et que vous serez jetés dehors.
Alors on viendra de l'orient et de l'occident, du nord et du midi, prendre place au festin dans le royaume de Dieu.
Oui, il y a des derniers qui seront premiers, et des premiers qui seront derniers. »

Qui doit passer par la porte étroite ?

Et si ces personnes qui doivent se bousculer à la porte étroite pour entrer dans le Ciel de Dieu, c'était nous ?
Nous, ces chrétiens, qui avons été dès notre enfance, les gâtés de Dieu, qui avons été nourris de sa Parole et de son Pain. Nous qui sommes si souvent des repus de spiritualité, des « suralimentés de sacrements ». Nous qui pensons un peu vite, étant donné nos états de service pour la bonne cause, que nous avons un bon de garantie pour l'éternité. On se dit : Dieu ne manquera pas de reconnaître les siens, c'est-à-dire nous ! Nous qui pensons un peu vite que si nous n'avons pas notre place retenue au paradis, on ne voit pas très bien qui l'aura.
La porte étroite c'est le passage obligatoire pour tous ceux qui ont été ici-bas les privilégiés du Père.

Devront jouer des coudes pour y entrer :

Les chrétiens tièdes, inodores, incolores, et sans saveur, les chrétiens béats d'optimisme.
Les chrétiens qui pensent avoir le téléphone rouge avec Dieu, qui « ne font de mal à personne, mais peut-être pas davantage de bien ». Les chrétiens sourds-muets : sourds aux appels de l'Evangile et muets pour proclamer à temps et à contretemps la Bonne Nouvelle. Les chrétiens qui attendent la retraite pour se convertir.
Battons-nous pour entrer : car ça en vaut la peine, quand on sait que derrière la porte, c'est la fête, c'est la Noce, et que quelqu'un nous attend. Nous sommes conviés au festin des Noces éternelles. Serons-nous donc assez fous pour être pressés de vivre un jour auprès de l'Epoux ? Ne lassons pas la patience de Dieu, car la porte se refermera à notre nez.
Désencombrons-nous : c'est inutile d'avoir trop de bagages pour entrer par une

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porte étroite. Laissons à l'entrée nos diplômes, nos décorations, nos titres, nos carnets de chèques et même la liste (longue) de nos mérites.
« Tous les athlètes à l'entraînement s'imposent une discipline sévère : ils le font pour gagner une couronne de laurier qui va se faner, et nous, pour une couronne qui ne se fane pas » (1 Co 9, 25).
On n'entrera pas par la porte étroite en marchant sur la tête des autres, en écrasant les faibles. C'est en aidant les autres à se sauver qu'on se sauvera soi-même.
Le Dieu de Jésus-Christ est le Dieu de tous : il veut que tous les hommes connaissent le salut. Dans la parabole des invités au repas nuptial, le maître, déçu de voir que les invités lui ont fait faux bond, envoie chercher tous les miséreux de la ville pour les installer aux places vides. Ainsi Dieu, piqué au vif par l'indifférence des repus, offrira à ceux qui sont loin les places de choix.
« Alors on viendra de l'orient et de l'occident ; du nord et du midi, prendre place au festin dans le Royaume de Dieu. »
Oui, le cœur de Dieu est immense. C'est une porte à deux battants. C'est aux pauvres, matériellement et spirituellement, qu'il offre son amour.
C'est le moment pour nous les gâtés de Dieu, de relire cette parole de l'Apocalypse : « Je connais ta conduite : tu n'es ni froid ni brûlant -mieux vaudrait que tu sois froid ou brûlant- ; aussi puisque tu es tiède -ni froid, ni brûlant- je vais te vomir » (Ap 3, 15).
18/09 /12 Méditation du 23 juin 2013 - 12ème dimanche (Saint Gérard de la vallée des lacs)

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 9,18-24.

Un jour, Jésus priait à l'écart. Comme ses disciples étaient là, il les interrogea : « Pour la foule, qui suis-je ? »
Ils répondirent : « Jean Baptiste ; pour d'autres, Élie ; pour d'autres, un prophète d'autrefois qui serait ressuscité. »
Jésus leur dit : « Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? » Pierre prit

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la parole et répondit : « Le Messie de Dieu. »
Et Jésus leur défendit vivement de le révéler à personne, en expliquant : « Il faut que le Fils de l'homme souffre beaucoup, qu'il soit rejeté par les anciens, les chefs des prêtres et les scribes, qu'il soit tué, et que, le troisième jour, il ressuscite. »
Il leur disait à tous : « Celui qui veut marcher à ma suite, qu'il renonce à lui-même, qu'il prenne sa croix chaque jour, et qu'il me suive.
Car celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie pour moi la sauvera.»


POURSUIVONS LE DIALOGUE

— Extraits des Perspectives du Conseil et famille de la Conférence des évêques de France après le vote de la loi ouvrant le mariage aux personnes de même sexe ;

— L'Eglise comme toute association, est en droit de faire entendre ses arguments : les catholiques, comme tous les citoyens peuvent prendre la parole. Bien sûr, il n'est pas question d'imposer la foi ou un point de vue religieux. La participation des catholiques au débat public se fait à partir d'une vision de l'homme qui trouve sa source dans la raison éclairée par la foi chrétienne. Le débat politique n'épuise pas le débat éthique sur les grandes questions de l'existence.

Ainsi l' Eglise rappelle ces pistes de réflexion :

Le mariage est une institution qui signifie à tous que la vie est un don, que les deux sexes sont égaux et indispensables à la vie et que la lisibilité de la filiation est essentielle pour l'enfant. L'intérêt supérieur de l'enfant doit être mieux pris en considération. Malheureusement, la revendication de préserver une filiation lisible pour tous les enfants n'a pas été retenue par le législateur.

L'Eglise condamne l'homophobie. L'homophobie, comme toute forme de discrimination est inacceptable. Pour les communautés catholiques, l'accueil inconditionnel de toute personne est entier. Toute personne, indépendamment de son parcours de vie, est d'abord un frère ou une sœur dans le Christ, un enfant de Dieu. Cette filiation divine transcende tous les liens humains de famille. Chaque personne a droit à un accueil aimant. L'accueil inconditionnel de la personne cependant n'inclut absolument pas une approbation de tous ses actes. Mais cet accueil constitue la condition première de toute relation, selon l'exemple donné par le Christ lui-même.

C'est la miséricorde qui ouvre le chemin par lequel chaque personne est rendue à sa dignité et à sa liberté, et peut donc s'engager librement sur une voie exigeante de conversion et de croissance. C'est une rencontre avec le Christ qui va conduire une personne à opérer des changements dans sa vie. L'Eglise reconnaît que beaucoup peut encore être fait pour mieux accueillir et accompagner les personnes homosexuelles.

L'Eglise rappelle sa vision de l'homme, créé à l'image et à la ressemblance du Dieu trinitaire. L'homme est un être relationnel. Nous ne pouvons rester indifférents aux personnes avec qui nous sommes en relations, avec une attention particulière aux plus vulnérables. D'où l'opposition à ce qui risque de priver l'enfant de ses droits, de son inscription dans une histoire et une généalogie. A partir de cette vision de l'homme, l'Eglise demandera à la fois l'accueil de l'étranger et l'accueil de l'enfant à naître, ainsi que le respect des personnes diminuées par l'âge ou par le handicap. A suivre....

18/09 /12 Méditation du 24 fév. 2013 - 2ème dim. de carême (Saint Gérard de la vallée des lacs)

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 9,28b-36.

Jésus prit avec lui Pierre, Jean et Jacques, et il alla sur la montagne pour prier.
Pendant qu'il priait, son visage apparut tout autre, ses vêtements devinrent d'une blancheur éclatante.
Et deux hommes s'entretenaient avec lui : c'étaient Moïse et Élie, apparus dans la gloire. Ils parlaient de son départ qui allait se réaliser à Jérusalem. Pierre et ses compagnons étaient accablés de sommeil ; mais, se réveillant, ils

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virent la gloire de Jésus, et les deux hommes à ses côtés.
Ces derniers s'en allaient, quand Pierre dit à Jésus : « Maître, il est heureux que nous soyons ici ! Dressons donc trois tentes : une pour toi, une pour Moïse, et une pour Élie. » Il ne savait pas ce qu'il disait.
Pierre n'avait pas fini de parler, qu'une nuée survint et les couvrit de son ombre ; ils furent saisis de frayeur lorsqu'ils y pénétrèrent.
Et, de la nuée, une voix se fit entendre : « Celui-ci est mon Fils, celui que j'ai choisi, écoutez-le. »
Quand la voix eut retenti, on ne vit plus que Jésus seul. Les disciples gardèrent le silence et, de ce qu'ils avaient vu, ils ne dirent rien à personne à ce moment-là.

ANNÉE DE LA FOI

suite du commentaire du Notre Père « Notre Père qui es aux cieux » « « Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés »

  • Le pardon est acquis à l'homme : « Dieu n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui » (Jean 3, 17) .
  • Le pardon est acquis une fois pour toutes.
  • Le pardon de Dieu nous est donné gratuitement. Sans mesure, sans condition.

Encore faut-il que nous nous ouvrions au pardon : c'est le sens de cette demande. Car il n'est pas facile de demander pardon, de consentir à le recevoir. C'est peut-être aussi difficile que de consentir à donner le pardon aux autres. Le Seigneur, dans la prière qu'il nous enseigne, met un lien fort entre les deux pardons, celui que nous demandons pour nos offenses et celui que nous déclarons accorder « à ceux qui nous ont offensés ».

Il nous est demandé de pardonner non pas pour que nous soyons pardonnés, mais parce que nous avons été pardonnés. Dans la lettre aux Ephésiens, Paul ne dit pas autre chose en inversant les deux propositions : « Pardonnez-vous les uns aux autres comme Dieu vous a pardonné dans le Christ » (4, 32). Le « comme » qui lie les deux parties de cette demande est identique au « comme » dans « que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel ». Il signifie : « de la même manière ». Le pardon reçu et le pardon accordé appartiennent au même univers : le royaume de Dieu qui est le monde du pardon, le monde selon le désir et la volonté du Père des miséricordes. Que jamais nous n'en soyons séparés !

Tout part d'un pardon divin qui est donné infiniment et qui est à recevoir. Le signe que le pardon est vraiment reçu, c'est le pardon donné par celui qui a été pardonné.

Recevoir le pardon et le donner, c'est vivre le même mystère, celui du passage de la mort à la vie, le mystère pascal. « Mon fils était mort et il est revenu à la vie » dit le père de l'enfant prodigue (Luc 15, 24 et 32).

Dire en vérité : « Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés » , c'est s'engager à vivre dans le Royaume du pardon.
Avec l'humilité des pécheurs pardonnés et la générosité qui fait taire toute rancune et tout désir de vengeance.

18/09 /12 Méditation du dimanche 22 septembre, 25ème dimanche du temps ordinaire (Saint Gérard de la vallée des lacs)

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 16,1-13.

Jésus disait encore à ses disciples : « Un homme riche avait un gérant qui lui fut dénoncé parce qu'il gaspillait ses biens.
Il le convoqua et lui dit : 'Qu'est-ce que j'entends dire de toi ? Rends-moi les comptes de ta gestion, car désormais tu ne pourras plus gérer mes affaires. '
Le gérant pensa : 'Que vais-je faire, puisque mon maître me retire la gérance ?
Travailler la terre ? Je n'ai pas la force. Mendier ? J'aurais honte.
Je sais ce que je vais faire, pour qu'une fois renvoyé de ma gérance, je trouve des gens pour m'accueillir. '
Il fit alors venir, un par un, ceux qui avaient des dettes envers son maître. Il demanda au premier : 'Combien dois-tu à mon maître ?
— Cent barils d'huile. ' Le gérant lui dit : 'Voici ton reçu ; vite, assieds-toi et écris cinquante. '
Puis il demanda à un autre : 'Et toi, combien dois-tu ? - Cent sacs de blé. ' Le gérant lui dit : 'Voici ton reçu, écris quatre-vingts. '
Ce gérant trompeur, le maître fit son éloge : effectivement, il s'était montré habile, car les fils de ce monde sont plus habiles entre eux que les fils de la lumière.
Eh bien moi, je vous le dis : Faites-vous des amis avec l'Argent trompeur, afin que, le jour où il ne sera plus là, ces amis vous accueillent dans les demeures éternelles.
Celui qui est digne de confiance dans une toute petite affaire est digne de confiance aussi dans une grande. Celui qui est trompeur dans une petite affaire est trompeur aussi dans une grande.
Si vous n'avez pas été dignes de confiance avec l'Argent trompeur, qui vous confiera le bien véritable ?
Et si vous n'avez pas été dignes de confiance pour des biens étrangers, le vôtre, qui vous le donnera ?
Aucun domestique ne peut servir deux maîtres : ou bien il détestera le premier, et aimera le second ; ou bien il s'attachera au premier, et méprisera le second. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l'Argent. »


Eloge de l'habileté

« Attention, danger.
La mise en garde de Jésus à propos de l'argent trompeur résonne avec tellement d'actualité.
L'argent n'est pas mauvais en soi, mais il peut pervertir le cœur par la tentaion du gain , du pouvoir des honneurs.
Il peut éloigner de Dieu en se faisant maître de vie.
Alors Jésus nous pose la question : Dieu ou l'argent ? »

A nous de bien utiliser l'argent en lui donnant une destination bienfaisante .
Il n'est pas défendu d'être intelligent pour utiliser au mieux son argent : Au service des pauvres.
Combien de Français pensent à partager avec les pauvres du Tiers Monde ?

Au service de la justice sociale.
Pourquoi défend-on tellement non pas les avantages acquis, mais les privilèges acquis  dans une période économique qui exige le sens du partage équitable ?

Au service de la Mission :
Un pauvre des pays du sud doit employer 10 mois de salaire pour s'offrir une Bible pendant que les nôtres traînent dans les bibliothèques, souvent pas même ouvertes .
Aidons-nous les jeunes désargentés à vivre un rassemblement ? Un pèlerinage ?

Au service de notre propre vie spirituelle :
Quel argent je consacre à faire quelques jours de retraite, à l'achat d'un livre qui nourrisse ma foi ?

Au service de la Bonne nouvelle :
On se plaint que la voix de l'Eglise n'est pas entendue :
Les médias catholiques existent.
Les connaissons-nous et les soutenons-nous efficacement ?

La parabole que nous livre Jésus est souvent mal reçue, car elle peut donner l'impression que Jésus approuve la malhonnêteté de l'intendant, alors qu'elle veut traduire simplement la souffrance de Jésus de voir les fils des ténèbres plus habiles que les fils de lumière.

Cette parabole nous interroge fortement :
que faisons-nous de nos talents ?
Que faisons-nous de notre matière grise ?
De notre intelligence ?
Si nous l'utilisions davantage pour thésauriser l'essentiel ?
Pour faire avancer le Royaume.

Assez de lamentations sur notre monde ou de mea culpa continuels sur ce que nous faisons mal en Eglise.
Agissons et agissons intelligemment.
Et cherchons toujours à faire mieux , à faire « davantage » disait saint Vincent de Paul.

.

18/09 /12 Méditation du 24 mars 2013 - Dimanche des rameaux et de la Passion (Saint Gérard de la vallée des lacs)

Passion de notre Seigneur Jésus Christ selon saint Luc

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 22,14-71.23,1-56.

Quand l'heure du repas pascal fut venue, Jésus se mit à tables, et les Apôtres avec lui.
Il leur dit : « J'ai ardemment désiré manger cette Pâque avec vous avant de souffrir

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!
Car je vous le déclare : jamais plus je ne la mangerai jusqu'à ce qu'elle soit pleinement réalisée dans le royaume de Dieu. »
Il prit alors une coupe, il rendit grâce et dit : « Prenez, partagez entre vous.
Car je vous le déclare : jamais plus désormais je ne boirai du fruit de la vigne jusqu'à ce que vienne le règne de Dieu. »
Puis il prit du pain ; après avoir rendu grâce, il le rompit et le leur donna, en disant : « Ceci est mon corps, donné pour vous. Faites cela en mémoire de moi. »
Et pour la coupe, il fit de même à la fin du repas, en disant : « Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang répandu pour vous. Cependant la main de celui qui me livre est là, à côté de moi sur la table. En effet, le Fils de l'homme s'en va selon ce qui a été fixé. Mais malheureux l'homme qui le livre ! »
Les Apôtres commencèrent à se demander les uns aux autres lequel d'entre eux allait faire cela.
Ils en arrivèrent à se quereller : lequel d'entre eux, à leur avis, était le plus grand ? Mais il leur dit : « Les rois des nations païennes leur commandent en maîtres, et ceux qui exercent le pouvoir sur elles se font appeler bienfaiteurs.
Pour vous, rien de tel ! Au contraire, le plus grand d'entre vous doit prendre la place du plus jeune, et celui qui commande, la place de celui qui sert.
Quel est en effet le plus grand : celui qui est à table, ou celui qui sert ? N'est-ce pas celui qui est à table ? Eh bien moi, je suis au milieu de vous comme celui qui sert. Vous, vous avez tenu bon avec moi dans mes épreuves.
Et moi, je dispose pour vous du Royaume, comme mon Père en a disposé pour moi. Ainsi vous mangerez et boirez à ma table dans mon Royaume, et vous siégerez sur des trônes pour juger les douze tribus d'Israël.
Simon, Simon, Satan vous a réclamés pour vous passer au crible comme le froment. Mais j'ai prié pour toi, afin que ta foi ne sombre pas. Toi donc, quand tu seras revenu, affermis tes frères. »
Pierre lui dit : « Seigneur, avec toi, je suis prêt à aller en prison et à la mort. »
Jésus reprit : « Je te le déclare, Pierre : le coq ne chantera pas aujourd'hui avant que, par trois fois, tu aies affirmé que tu ne me connais pas. »
Puis il leur dit : « Quand je vous ai envoyés sans argent, ni sac, ni sandales, avez-vous manqué de quelque chose ? »
Ils lui répondirent : « Mais non. » Jésus leur dit : « Eh bien maintenant, celui qui a de l'argent, qu'il en prenne, de même celui qui a un sac ; et celui qui n'a pas d'épée, qu'il vende son manteau pour en acheter une.
Car, je vous le déclare : il faut que s'accomplisse en moi ce texte de l'Écriture : Il a été compté avec les pécheurs. De fait, ce qui me concerne va se réaliser. »
Ils lui dirent : « Seigneur, voici deux épées. » Il leur répondit : « Cela suffit. »
Jésus sortit pour se rendre, comme d'habitude, au mont des Oliviers, et ses disciples le suivirent.
Arrivé là, il leur dit : « Priez, pour ne pas entrer en tentation. »
Puis il s'écarta à la distance d'un jet de pierre environ. Se mettant à genoux, il priait :
« Père, si tu veux, éloigne de moi cette coupe ; cependant, que ce ne soit pas ma volonté qui se fasse, mais la tienne. »
Alors, du ciel, lui apparut un ange qui le réconfortait.
Dans l'angoisse, Jésus priait avec plus d'insistance ; et sa sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient jusqu'à terre.
Après cette prière, Jésus se leva et rejoignit ses disciples qu'il trouva endormis à force de tristesse.
Il leur dit : « Pourquoi dormez-vous ? Levez-vous et priez, pour ne pas entrer en tentation. »
Il parlait encore quand parut une foule de gens. Le nommé Judas, l'un des Douze, marchait à leur tête. Il s'approcha de Jésus pour l'embrasser.
Jésus lui dit : « Judas, c'est par un baiser que tu livres le Fils de l'homme ? »
Voyant ce qui allait se passer, ceux qui entouraient Jésus lui dirent : « Seigneur, faut-il frapper avec l'épée ? »
L'un d'eux frappa le serviteur du grand prêtre et lui trancha l'oreille droite.
Jésus répondit : « Laissez donc faire ! » Et, touchant l'oreille de l'homme, il le guérit.
Jésus dit alors à ceux qui étaient venus l'arrêter, chefs des prêtres, officiers de la garde du Temple et anciens : « Suis-je donc un bandit, pour que vous soyez venus avec des épées et des bâtons ?
Chaque jour, j'étais avec vous dans le Temple, et vous ne m'avez pas arrêté. Mais c'est maintenant votre heure, c'est la domination des ténèbres. »
Ils se saisirent de Jésus pour l'emmener et ils le firent entrer dans la maison du grand prêtre. Pierre suivait de loin.
Ils avaient allumé un feu au milieu de la cour et ils s'étaient tous assis là. Pierre était parmi eux.
Une servante le vit assis près du feu ; elle le dévisagea et dit : « Celui-là aussi était avec lui. »
Mais il nia : « Femme, je ne le connais pas. »
Peu après, un autre dit en le voyant : « Toi aussi, tu en fais partie. » Pierre répondit : « Non, je n'en suis pas. »
Environ une heure plus tard, un autre insistait : « C'est sûr : celui-là était avec lui, et d'ailleurs il est Galiléen. »
Pierre répondit : « Je ne vois pas ce que tu veux dire. » Et à l'instant même, comme il parlait encore, un coq chanta.
Le Seigneur, se retournant, posa son regard sur Pierre ; et Pierre se rappela la parole que le Seigneur lui avait dite : « Avant que le coq chante aujourd'hui, tu m'auras renié trois fois. »
Il sortit et pleura amèrement.
Les hommes qui gardaient Jésus se moquaient de lui et le maltraitaient.
Ils lui avaient voilé le visage, et ils l'interrogeaient : « Fais le prophète ! Qui est-ce qui t'a frappé ? »
Et ils lançaient contre lui beaucoup d'autres insultes.
Lorsqu'il fit jour, les anciens du peuple, chefs des prêtres et scribes, se réunirent, et ils l'emmenèrent devant leur grand conseil.
Ils lui dirent : « Si tu es le Messie, dis-le nous. » Il leur répondit : « Si je vous le dis, vous ne me croirez pas ; et si j'interroge, vous ne répondrez pas.
Mais désormais le Fils de l'homme sera assis à la droite du Dieu Puissant. »
Tous lui dirent alors : « Tu es donc le Fils de Dieu ? » Il leur répondit : « C'est vous qui dites que je le suis. »
Ils dirent alors : « Pourquoi nous faut-il encore un témoignage ? Nous-mêmes nous l'avons entendu de sa bouche. »
Ils se levèrent tous ensemble et l'emmenèrent chez Pilate.
Ils se mirent alors à l'accuser : « Nous avons trouvé cet homme en train de semer le désordre dans notre nation : il empêche de payer l'impôt à l'empereur, et se dit le Roi Messie. »
Pilate l'interrogea : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus répondit : « C'est toi qui le dis. »
Pilate s'adressa aux chefs des prêtres et à la foule : « Je ne trouve chez cet homme aucun motif de condamnation. »
Mais ils insistaient : « Il soulève le peuple en enseignant dans tout le pays des Juifs, à partir de la Galilée jusqu'ici. »
A ces mots, Pilate demanda si l'homme était Galiléen.
Apprenant qu'il relevait de l'autorité d'Hérode, il le renvoya à ce dernier, qui se trouvait lui aussi à Jérusalem en ces jours-là.
A la vue de Jésus, Hérode éprouva une grande joie : depuis longtemps il désirait le voir à cause de ce qu'il entendait dire de lui, et il espérait lui voir faire un miracle.
Il lui posa beaucoup de questions, mais Jésus ne lui répondit rien.
Les chefs des prêtres et les scribes étaient là, et l'accusaient avec violence.
Hérode, ainsi que ses gardes, le traita avec mépris et se moqua de lui : il le revêtit d'un manteau de couleur éclatante et le renvoya à Pilate.
Ce jour-là, Hérode et Pilate devinrent des amis, alors qu'auparavant ils étaient ennemis.
Alors Pilate convoqua les chefs des prêtres, les dirigeants et le peuple.
Il leur dit : « Vous m'avez amené cet homme en l'accusant de mettre le désordre dans le peuple. Or, j'ai moi-même instruit l'affaire devant vous, et, parmi les faits dont vous l'accusez, je n'ai trouvé chez cet homme aucun motif de condamnation.
D'ailleurs, Hérode non plus, puisqu'il nous l'a renvoyé. En somme, cet homme n'a rien fait qui mérite la mort.
Je vais donc le faire châtier et le relâcher. »

Ils se mirent à crier tous ensemble : « Mort à cet homme ! Relâche-nous Barabbas. »
Ce dernier avait été emprisonné pour un meurtre et pour une émeute survenue dans la ville.
Pilate, dans son désir de relâcher Jésus, leur adressa de nouveau la parole.
Mais ils criaient : « Crucifie-le ! Crucifie-le ! »
Pour la troisième fois, il leur dit : « Quel mal a donc fait cet homme ? Je n'ai trouvé en lui aucun motif de condamnation à mort. Je vais donc le faire châtier, puis le relâcher. »
Mais eux insistaient à grands cris, réclamant qu'il soit crucifié ; et leurs cris s'amplifiaient.
Alors Pilate décida de satisfaire leur demande.
Il relâcha le prisonnier condamné pour émeute et pour meurtre, celui qu'ils

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réclamaient, et il livra Jésus à leur bon plaisir.
Pendant qu'ils l'emmenaient, ils prirent un certain Simon de Cyrène, qui revenait des champs, et ils le chargèrent de la croix pour qu'il la porte derrière Jésus.
Le peuple, en grande foule, le suivait, ainsi que des femmes qui se frappaient la poitrine et se lamentaient sur Jésus.
Il se retourna et leur dit : « Femmes de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi ! Pleurez sur vous-mêmes et sur vos enfants !
Voici venir des jours où l'on dira : 'Heureuses les femmes stériles, celles qui n'ont pas enfanté, celles qui n'ont pas allaité ! '
Alors on dira aux montagnes : 'Tombez sur nous', et aux collines : 'Cachez-nous'.
Car si l'on traite ainsi l'arbre vert, que deviendra l'arbre sec ? »
On emmenait encore avec Jésus deux autres, des malfaiteurs, pour les exécuter.
Lorsqu'on fut arrivé au lieu dit : Le Crâne, ou Calvaire, on mit Jésus en croix, avec les deux malfaiteurs, l'un à droite et l'autre à gauche.
Jésus disait : « Père, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu'ils font. » Ils
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partagèrent ses vêtements et les tirèrent au sort.
On venait de crucifier Jésus et le peuple restait là à regarder. Les chefs ricanaient en disant : « Il en a sauvé d'autres : qu'il se sauve lui-même, s'il est le Messie de Dieu, l'Élu ! »
Les soldats aussi se moquaient de lui. S'approchant pour lui donner de la boisson vinaigrée, ils lui disaient : « Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même ! »
Une inscription était placée au-dessus de sa tête : « Celui-ci est le roi des Juifs. »
L'un des malfaiteurs suspendus à la croix l'injuriait : « N'es-tu pas le Messie ? _ Sauve-toi toi-même, et nous avec ! »
Mais l'autre lui fit de vifs reproches : « Tu n'as donc aucune crainte de Dieu ! Tu es pourtant un condamné, toi aussi !
Et puis, pour nous, c'est juste : après ce que nous avons fait, nous avons ce que nous méritons. Mais lui, il n'a rien fait de mal. »
Et il disait : « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras inaugurer ton Règne. »
Jésus lui répondit : « Amen, je te le déclare : aujourd'hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. »
Il était déjà presque midi ; l'obscurité se fit dans tout le pays jusqu'à trois heures, car le soleil s'était caché.
Le rideau du Temple se déchira par le milieu.
Alors, Jésus poussa un grand cri : « Père, entre tes mains je remets mon esprit. » Et après avoir dit cela, il expira.
A la vue de ce qui s'était passé, le centurion rendait gloire à Dieu : « Sûrement, cet homme, c'était un juste. »
Et tous les gens qui s'étaient rassemblés pour ce spectacle, voyant ce qui était arrivé, s'en retournaient en se frappant la poitrine.
Tous ses amis se tenaient à distance, ainsi que les femmes qui le suivaient depuis la Galilée, et qui regardaient.
Alors arriva un membre du conseil, nommé Joseph ; c'était un homme bon et juste. Il n'avait donné son accord ni à leur délibération, ni à leurs actes. Il était d'Arimathie, ville de Judée, et il attendait le royaume de Dieu.
Il alla trouver Pilate et demanda le corps de Jésus.
Puis il le descendit de la croix, l'enveloppa dans un linceul et le mit dans un sépulcre taillé dans le roc, où personne encore n'avait été déposé.
C'était le vendredi, et déjà brillaient les lumières du sabbat.
Les femmes qui accompagnaient Jésus depuis la Galilée suivirent Joseph. Elles regardèrent le tombeau pour voir comment le corps avait été placé.
Puis elles s'en retournèrent et préparèrent aromates et parfums. Et, durant le sabbat, elles observèrent le repos prescrit.

ENTRER DANS LA SEMAINE SAINTE

Entrer dans la Semaine sainte, pour l'Église, c'est entrer dans ce mouvement de transformation du temps qui s'opère dans la grande œuvre de salut accomplie par le Christ : par sa mort et sa résurrection, le Christ révèle la fin de ce monde et le commencement d'un monde à venir.
L’Église qui, durant ces jours saints, célèbre ce passage à un temps nouveau, à une vie nouvelle, ne se contente pas de commémorer des événements passés ; le dernier repas de Jésus avec ses disciples, sacrement de son corps et de son sang livrés sur la croix, son entrée au séjour des morts, sa résurrection le matin du troisième jour, sont la manifestation du don mystérieux que Dieu fait à toute l'humanité pour qu'elle entre dans la joie d'un monde nouveau, établi sur la justice, délivré de l'oppression et de la terreur.

Pendant toute cette semaine, Dieu nous invite à entrer dans cette joie qui ne dépend de rien en ce monde, qui est absolument gratuite.
Elle transforme ceux qui accueillent ce don et les rend capables de transformer tous les jours de l'année. Comme le brouillard que vient dissiper la lumière, comme le visage que vient éclairer un sourire, tous les faits et gestes, tous les événements heureux ou malheureux qui marquent la vie des hommes et font la vie du monde, peuvent être tournés vers cette joie et devenir signes de ce don, le Christ Sauveur qui demeure éternellement Présent.

Entrons dans cette grande semaine en communion avec toute l'Église en ayant l'assurance que nous y puiserons aux sources du salut. Nous pourrons, alors laisser éclater « dans le ciel la joie des anges ! De partout la joie du monde ! Dans l'Église la joie des fils de Dieu ! »(Exultet, Louage pascale).