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Paroisses
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 1, 35-42
Après le baptême de Jésus, Jean Baptiste se trouvait avec deux de ses disciples. Regardant Jésus qui passait, il dit : « Voici l'Agneau de Dieu. » Les
deux disciples entendirent cette parole, et ils suivirent Jésus. Celui-ci se retourna, vit qu'ils le suivaient, et leur dit : « Que cherchez-vous ? » Ils lui répondirent : « Rabbi (c'est-à-dire Maître), où demeures-tu ? » II leur dit : « Venez, et vous verrez. » Ils l'accompagnèrent, ils virent où il demeurait, et ils restèrent auprès de lui ce jour-là. C'était vers quatre heures du soir.André, le frère de Simon-Pierre, était l'un des deux disciples qui avaient entendu Jean Baptiste et qui avaient suivi Jésus. Il trouve d'abord son frère Simon et lui dit : « Nous avons trouvé le Messie » (autrement dit : le Christ). André amena son frère à Jésus. Jésus le regarda et dit : « Tu es Simon, fils de Jean, tu t'appelleras Képha », ce qui veut dire : « pierre ».
Notre évêque publie une lettre pastorale pour tous les paroissiens du diocèse.
Voici le message qui présente cette lettre :
Nous avons une mission
Tant de choses ont changé depuis des années, dans le monde comme dans l'Église ! Plus qu'hier, nous mesurons notre fragilité, celle de notre société et celle de notre Église.
La mobilité des personnes et bien d'autres facteurs culturels, obligent constamment à "refaire communauté".
La fragilisation des communautés, la difficulté pour les plus jeunes d'y trouver leur place, la dispersion, voire l'isolement des chrétiens sont réels. C'est le moment de nous aider mutuellement à relever ces défis. Dans nos communautés, dans nos paroisses, depuis de nombreuses années, un effort considérable a été fourni. Les laïcs ont pris leur place, pas seulement par manque de prêtres, mais surtout parce que c'est de leur responsabilité. Les prêtres, eux, davantage appelés à accompagner les laïcs en responsabilité et à les former, ont appris à leur faire confiance.
Nos paroisses ont souvent besoin de mettre en commun des compétences qui ne peuvent pas toujours être réunies en chacune d'elles.
Une prochaine étape de la vie du diocèse verra la constitution de "communautés de paroisses".
La communauté de paroisses sera un lieu d'échanges entre responsables, prêtres et laïcs. Ensemble, ces responsables envisageront l'avenir de notre mission d'Église : comment porter la mission que le Christ nous a confiée, cette bonne nouvelle qu'il est urgent de faire connaître ?
À l'échelle des "communautés de paroisses", certaines compétences seront ainsi mises en commun. Il pourrait s'agir de la formation, du catéchuménat, de la communication,... Nous avons quelques mois pour y réfléchir, ensemble, en gardant le souci de la proximité, de la charité et de l'annonce de l’Évangile.
De plus, la manière de vivre l'Eucharistie a beaucoup changé ces dernières années. Suivant les possibilités qui sont les nôtres, il faut trouver l'équilibre entre les célébrations eucharistiques et les rassemblements de proximité autour de la Parole de Dieu.
C'est le second axe de notre recherche en diocèse : quels rassemblements pouvons-nous proposer le dimanche ? La rencontre des chrétiens d'un même secteur est essentielle pour édifier des communautés vivantes. Mettons en place de nouvelles propositions tenant compte de nos possibilités et de notre souhait d'aller à la source de l’Évangile et de vivre la fraternité.
A présent une lettre Pastorale vous est donnée, je vous invite à prendre le temps de la lire et d'en parler en paroisse... pour relever le défi de l'avenir avec confiance et ensemble !
Soyez assurés de ma prière ! Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 17,11-19.
À l’heure où Jésus passait de ce monde à son Père, les yeux levés au ciel, il priait ainsi : « Père saint, garde mes disciples dans la fidélité à ton nom que tu m’as donné en partage, pour qu’ils soient un, comme nous-mêmes.
_ Quand j'étais avec eux, je les gardais dans la fidélité à ton nom que tu m'as donné. J'ai veillé sur eux, et aucun ne s'est perdu, sauf celui qui s'en va à sa perte de sorte que l'Écriture soit accomplie. Et maintenant que je viens à toi, je parle ainsi, en ce monde, pour qu'ils aient en eux ma joie, et qu'ils en soient comblés.Je leur ai fait don de ta parole, et le monde les a pris en haine parce qu'ils ne sont pas du monde, de même que moi je ne suis pas du monde. Je ne demande pas que tu les retires du monde, mais que tu les gardes du Mauvais. _ Ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde.
Consacre-les par la vérité : ta parole est vérité. De même que tu m'as envoyé dans le monde, moi aussi, je les ai envoyés dans le monde. Et pour eux je me consacre moi-même, afin qu'ils soient, eux aussi, consacrés par la vérité. »
LE CONCILE VATICAN II : UNE BOUSSOLE POUR AUJOURD'HUI
(suite)
Lumen Gentium : La Constitution dogmatique sur l’Église (1964)
"Le Christ est la lumière des peuples (Lumen Gentium). L'Eglise est dans le Christ, en quelque sorte le sacrement, c'est-à-dire à la fois le signe et le moyen de l'union intime avec Dieu et de l'unité de tout le genre humain" (chapitre 1)
- On passe d'une Église pyramidale : pape>évêques>prêtres>laïcs à une Église, Peuple de Dieu, Corps du Christ, Temple de l'Esprit. C'est donc l'ensemble des chrétiens qui devient premier.
- On passe d'une Église qui voulait s'imposer à l'ensemble de la société, à une Église qui accepte d'être minoritaire dans le monde et donc d'entrer en dialogue avec ce monde.
- On passe d'une Église qui pensait détenir à elle seule la vérité, à une Église qui entre en dialogue avec les autres religions chrétiennes (œcuménisme) , avec les autres religions (dialogue inter religieux) et qui accepte d'être changée par ce dialogue.
- On passe d'une Église qui se concevait comme une société juridiquement constituée ("une société parfaite") à une société qui reconnaît les "germes du Verbe" ailleurs qu'en elle-même et le travail de l'Esprit en dehors d'elle-même.
- On passe d'une Église où la hiérarchie était première et où les laïcs étaient subordonnés aux évêques et aux prêtres, à une Église qui reconnaît d'abord l'égale dignité de tous les chrétiens de par leur baptême, qui les fait "prêtres, prophètes et rois" (1ère Épitre de Pierre 2, 9).
"La collectivité des fidèles, ayant l'onction qui vient du Saint, ne peut se tromper dans la foi : ce don particulier qu'elle possède se manifeste par le moyen du sens surnaturel de la foi qui est celui du peuple tout entier, lorsque des évêques jusqu'au dernier des fidèles laïques, elle apporte aux vérités concernant la foi et les mœurs un consentement universel."
Commune est la dignité des membres du fait de leur régénération dans le Christ : commune la grâce d'adoption filiale ; commune la vocation à la perfection ; il n y a qu'un salut, une espérance, une charité sans division. Il n'y a donc dans le Christ et dans l’Église aucune inégalité qui viendrait de la race ou de la nation, de la condition sociale ou du sexe, car "il n 'y a ni juifs, ni grecs, il n'y a ni esclave, ni homme libre, il n'y a ni homme ni femme, vous n'êtes tous qu'un dans le Christ Jésus" (Galates 3, 28)
A travers ces textes, tout n' a pas été dit de Lumen Gentium, par exemple, la mission de la vie religieuse ; la restauration du diaconat permanent ; la présence dans le peuple de Dieu de la Vierge Marie qui est réintégrée comme première des croyants.
On retiendra la nécessité de tenir ensemble :
- l'enracinement en Jésus-Christ dans la parole de Dieu, les sacrements, la prière, la formation ;
- l'enracinement dans la vie des hommes.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 6,7-13.
Jésus appelle les Douze, et pour la première fois il les envoie deux par deux.
_ Il leur donnait pouvoir sur les esprits mauvais, et il leur prescrivit de ne rien emporter pour la route, si ce n'est un bâton ; de n'avoir ni pain, ni sac, ni pièces de monnaie dans leur ceinture.« Mettez des sandales, ne prenez pas de tunique de rechange. »
Il leur disait encore : « Quand vous avez trouvé l'hospitalité dans une maison, restez-y jusqu'à votre départ.
Si, dans une localité, on refuse de vous accueillir et de vous écouter, partez en secouant la poussière de vos pieds : ce sera pour eux un témoignage. »
Ils partirent, et proclamèrent qu'il fallait se convertir.
Ils chassaient beaucoup de démons, faisaient des onctions d'huile à de nombreux malades, et les guérissaient.
Le Concile Vatican II : une boussole pour notre temps (suite)
Extraits de la Constitution sur la Révélation divine : La Parole de Dieu dans la vie de l’Église.
Des communautés qui partagent la Parole de Dieu
Pour répondre au souhait du Concile qui recommande aux chrétiens la lecture régulière de l’Écriture, nous avons à favoriser ce partage en toute occasion :
- Pas de réunion de chrétiens sans la présence du Livre et la lecture d'un passage de l’Écriture ;
- Pas de préparation de célébration qui ne commence par la méditation des textes.
- L'avenir du christianisme dans la société actuelle passe par la redécouverte de la vigueur du message évangélique.
Que faire dans les paroisses pour partager la Parole ?
La raréfaction des messes fait que l'assemblée locale ne se réunit presque plus, ou pas très souvent, et qu'on perd le contact avec la Parole de Dieu.
Dès lors ne serait-il pas significatif de favoriser des assemblées, autour de la Parole de Dieu ?
Dans le partage de la Parole, le Christ est réellement présent et il nous met en communion.
De telles assemblées autour de la Parole réclament des animateurs compétents, envoyés et reconnus.
De même que des laïcs sont habilités à présider les funérailles, ne pourrait-il pas y en avoir pour ce type d’assemblées ?
Il s'agirait d'un véritable ministère de la Parole, comme l'ont suggéré les évêques français au synode romain de 2008.
Extraits de la Constitution sur la Sainte Liturgie promulguée le 4 décembre 1963
Le mystère pascal du Christ (mort et résurrection) occupe la place centrale dans la liturgie. La célébration du mystère se déploie pendant toute l'année : de l'incarnation et de la nativité :
- jusqu'à l'ascension,
- jusqu'à la Pentecôte
- et jusqu'à l'attente de l'avènement du Seigneur.
Le huitième jour est appelé le jour du Seigneur ou dimanche. Ce jour-là les chrétiens doivent se rassembler pour entendre la Parole de Dieu et participer à l'Eucharistie.
Ce jour est jour de joie et de cessation du travail.
La liturgie est source et sommet. L’Eucharistie fait de nous le Corps du Christ, dans lequel chacun des membres reçoit la grâce de l'Esprit pour le bien du Corps entier.
En ce temps où se manifestent des crispations autour de la prétendue "messe de toujours" qui n'a que quatre siècles d'existence, où parfois on accuse le Concile d'avoir provoqué une rupture, alors qu'il vient au terme d'une longue évolution, il est essentiel de sauvegarder les grandes affirmations doctrinales du Concile :
- la place centrale du mystère pascal de Jésus-Christ, une Église tout entière sujet et actrice de la liturgie, dans la diversité des ministères et des fonctions,
- la place fondamentale de la Parole de Dieu,
- la faculté accordée à tous de pouvoir célébrer dans leur langue,
- la nécessaire adaptation aux différentes cultures...
Ne retombons pas dans un rubricisme (Le rubricisme est cette exagération qui accorde plus d’attention aux règles qu’au sens profond de la liturgie) stérile, une fidélité scrupuleuse, à la lettre, à des règles liturgiques.
Le Concile nous en a libérés.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 8,27-35.
Jésus s'en alla avec ses disciples vers les villages situés dans la région de Césarée-de-Philippe. Chemin faisant, il les interrogeait : « Pour les gens, qui suis-je ? »
Ils répondirent : « Jean Baptiste ; pour d'autres, Élie ; pour d'autres, un des prophètes. »
Il les interrogeait de nouveau : « Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? » Pierre prend la parole et répond : « Tu es le Messie. »
Il leur défendit alors vivement de parler de lui à personne.
Et, pour la première fois, il leur enseigna qu'il fallait que le Fils de l'homme
Jésus disait cela ouvertement. Pierre, le prenant à part, se mit à lui faire de vifs reproches.
Mais Jésus se retourna et, voyant ses disciples, il interpella vivement Pierre : « Passe derrière moi, Satan ! Tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes. »
Appelant la foule avec ses disciples, il leur dit : « Si quelqu'un veut marcher derrière moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il prenne sa croix, et qu'il me suive. Car celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie pour moi et pour l'Évangile la sauvera.
Poursuivre et amplifier le Concile Vatican II
Depuis les années 80, la réception du Concile laisse un impression contrastée. L'Eglise évolue, trop vite pour certains, et pas assez pour d'autres : elle s'est beaucoup ouverte au monde, mais son message n'y est pas toujours bien reçu.
Cependant, malgré les lenteurs observées sur le terrain, malgré le courant intégriste de Mgr Lefebvre qui refuse les évolutions apportées par le Concile, on peut dire que les communautés ecclésiales ont bien assimilé l'idée d'une commune responsabilité des baptisés, tous ensemble solidaires de la mission, selon la diversité des charismes et la variété des ministères.
Aujourd'hui des hommes et des femmes, habités par la passion de l'Evangile, prennent des responsabilités en son nom et osent annoncer la foi. Nombreux sont les chrétiens engagés à travers le monde dans toutes les instances de solidarité, de partage et de lutte en faveur de la justice.
Le nombre croissant de catéchumènes et de recommençants représente une vraie source d'espérance et une force de conviction qui aide à inventer des nouvelles manières de vivre en Eglise.
En fait, on pourrait comparer le Concile à un séisme !
- Un séisme qui aurait déplacé le centre de gravité de l'Eglise de Rome vers le Christ ;
- déplacé le gouvernement monarchique pontifical vers la responsabilité collégiale de l'épiscopat universel, vers les Conférences épiscopales et les Eglise locales;
- déplacé la hiérarchie des clercs vers le Peuple de Dieu et déplacé tous les baptisés vers le service du monde;
- déplacé l'Eglise catholique vers les autres Eglises chrétiennes et vers les non-chrétiens et les non-croyants.
- _ En somme un séisme qui a fait de l'Eglise catholique une Eglise totalement incarnée et lui a donné une nouvelle figure voulue par Jésus-Christ.
Des difficultés se sont fait sentir : bien des prêtres formés dans un autre contexte ont dû désormais penser leur action dans le cadre de l'action commune de tous. Le prêtre n'est plus le seul acteur. Il ne peut plus prétendre cumuler toutes les missions.
La vie des paroisses a aussi bien changé. Auparavant, une correspondance étroite existait entre un territoire donné, un curé, une population et une église paroissiale. Il est question aujourd'hui d'espaces plus larges où sont à l’œuvre des ministères variés. On parle par exemple de communautés de paroisses.
Les chantiers à poursuivre : le Concile Vatican II n'a pas été une Concile théologique, mais un concile pastoral. Ainsi il n'a rien dit sur Dieu en tant que tel. Or il y aurait besoin aujourd'hui de dire qui est Dieu tant son visage est défiguré ou méconnu par un bon nombre de nos contemporains.
Ce Concile n'a rien dit sur l'écologie, le rapport à la Création et à l'environnement. Il y aurait aussi tant à dire aujourd’hui.
En dépit de ses efforts le Concile n'a pas totalement réussi à sortir d'une vision des choses très occidentale. Le prochain Synode sur l'évangélisation ouvrira certainement d'autres perspectives.
"La vieille histoire du bon Samaritain a été le modèle et la règle de la spiritualité du Concile . Une sympathie sans bornes pour les hommes l'a envahi tout entier. Et pour connaître Dieu, il faut connaître l'homme..." Paul VI.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 20,19-31
Le soir du premier jour de la semaine, Jésus vint au milieu d'eux.
C'était après la mort de Jésus, le soir du premier jour de la semaine. Les disciples avaient verrouillé les portes du lieu où ils étaient, car ils avaient peur des Juifs. Jésus vint, et il était là au milieu d'eux. Jésus leur dit : « La paix soit avec vous ! » Après cette parole, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent remplis de joie en voyant le Seigneur. Jésus leur dit de nouveau : « La paix soit avec vous ! De même que le Père m'a envoyé, moi aussi, je vous envoie. » Ayant ainsi parlé, il envoya sur eux son souffle et il leur dit : « Recevez l'Esprit Saint. Tout homme à qui vous remettrez ses péchés, ils lui seront remis; tout homme à qui vous maintiendrez ses péchés, ils lui seront maintenus. »
Or, l'un des Douze, Thomas (dont le nom signifie « Jumeau ») n'était pas avec eux, quand Jésus était venu. Les autres disciples lui disaient : « Nous avons vu le Seigneur ! » Mais il leur déclara : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt à l'endroit des clous, si je ne mets la main dans son côté, non, je n'y croirai pas. »
Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison, et Thomas était avec eux. Jésus vient alors que les portes étaient verrouillées, et il était là au milieu d'eux. Il dit : « La paix soit avec vous ! » Puis il dit à Thomas : « Avance ton doigt ici, et vois mes mains; avance ta main, et mets-la dans mon côté : ne sois pas incrédule, sois croyant. » Thomas lui dit alors : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » Jésus lui dit : « Parce que tu m'as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu. »
II y a encore beaucoup d'autres signes que Jésus a faits en présence des disciples et qui ne sont pas mis par écrit dans ce livre. Mais ceux-là y ont été mis afin que vous croyiez que Jésus est le Messie, le Fils de Dieu, et que, par votre foi, vous ayez la vie en son nom.
Le récit fait état de deux manifestations du Seigneur :
l'une aux disciples réunis le premier soir de la semaine (le dimanche),
l'autre où Thomas tient la première place (huit jours plus tard). Dans les deux cas, Jean parle de portes verrouillées. Jésus vient : il est là. Il se rend présent dans une totale liberté. Il montre ses mains de crucifié, et son côté transpercé par la lance. Le verbe "voir" est répété plusieurs fois. Les disciples ont vu et ils ont cru. Jésus apporte la paix et souffle sur eux : il les recrée et leur donne le pouvoir de remettre ou de maintenir les péchés.
Pour Thomas, le témoignage des autres apôtres ne suffit pas. Il veut voir et toucher Jésus.
Il veut vérifier si Jésus est le même qu'avant, avec en plus les stigmates (les marques des clous et de la lance).
Grâce à la parole de Jésus, Thomas accède à la foi : "mon Seigneur et mon Dieu" : les titres mêmes du Dieu d'Israël. Thomas est béni comme le dernier de ceux qui ont vu et qui ont cru. Depuis que ces témoins ont disparu, nous sommes bénis par Dieu comme "ceux qui croient sans avoir vu."
PAROISSE SAINT-GÉRARD-DE-LA-VALLÉE-DES-LACS
(Gérardmer, Liézey, Le Tholy, Xonrupt)
Annonces de la semaine du 11 au 19 février 2012 :
Samedi 11 février :
Gérardmer :
18h00 : Marie-Thérèse Vayriot
Dimanche 12 février :
Gérardmer :
10h00 : DIMANCHE DE LA SANTE Georges Vanier- André et Fabrice François- Pierre Marchal- Anne-Marie Liénéré , ses parents, son frère Jean et famille- Rodolophe et Estelle Lavergne- Famille Lavergne-Morlot- Famille Ledru-Romain- Michel-
Recommandation : Germaine Thomas- Pierre Richard- Manuel Batista-
Le Tholy :
10h00 : Messe : pour tous les paroissiens, pour toutes les personnes atteintes par la maladie ou le handicap,leurs familles et amis, médecins et personnels soignants, aumôniers et visiteurs d'hôpitaux, bénévoles: pour les défunts: André Noël (quarantaine),son épouse Suzanne et leur gendre Jean-Pierre Choffard, Dany Duvoid (voisins), Odette Voirin, Jeanne Doridant, Pierre Babel et les déf de la famille, Elie Thomas (1er anniv), Louis Demange (3ème anniv), Alice Abel (1er anniv) et son mari Pierre.
Xonrupt :
10h00 : Adap
Mardi 14 février :
Le Tholy :
14h00 : Réunion de l'équipe du Rosaire à la salle de caté.
Gérardmer :
18h00 : Messe
Mercredi 15 février :
Gérardmer :
16h00 : Groupe de prière avec les résidents à la chapelle de Clair Logis-
17h15 : Chapelet à la Chapelle Saint-Gérard avant la messe
18h00 : Messe
Jeudi 16 février :
Gérardmer :
9h00 : Messe à Clair Logis pour les résidents-
18h00 Groupe de prière du Renouveau au sous-sol de l'église
Vendredi 17 février :
Gérardmer :
17h30 : Confessions-Adoration-
18h00 : Messe
Samedi 18 février :
Gérardmer :
18h00 : Messe : Marie-Thérèse et Famille Bernard-Jacquel-Flageollet- Gabrion-
Dimanche 19 février :
Gérardmer :
10h00 : Messe : Fançois-Xavier Morel (2° anniv) – Marguerite Jeanselme- Gilberte Georgeon- Maria Etienne- Suzanne Morel et défunts famille- Rodolphe et Estelle Lavergne et famille Lavergne- Morlot- Famille Parisot-Fleurance- Paul Pierrel (18 ° anniv) son épouse et défunts famille , alliées-
Le Tholy :
10h00 : Adap : pour tous les paroissiens, pour les défunts: Germaine Badonnel (1er anniversaire) et son mari Pierre, Denise Febvet (voisins).
Xonrupt :
10h00 : Ni messe, ni Adap-
Les demandes de messes doivent être faites 15 jours avant la célébration souhaitée :
au presbytère de Gérardmer, chaque matin de 9h30 à 11h30 (permanences le matin).
Ou pour le Tholy : Auprès d'Odile Mansuy : XX.XX.XX.XX.XX