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Services

Les services de l'Eglise catholique dans les Vosges

23/02 /12 Le dimanche de la santé 2012 vécu en paroisse (Pastorale de la Santé)
Dans de nombreuses paroisses, des célébrations festives et émouvantes ont été vécues le 12 février. Découverte de 2 exemples.

Paroisse du Tholy

Voici donc la photo prise ce matin avant la célébration...
Sur les pas .Prier, Aimer, Sourire, Soigner, Avancer, Naître, Soulager, Lumière, Aider, Unique, Tenir, Regard, Écoute...

La lettre de l'hospitalité de Lourdes a été lue.
Claude de Fraternité Catholique des Malades et Handicapés.


Paroisse St Jean Baptiste de l'Avière

Dimanche de la santé. « Pas sans l’autre, l’Autre »
Malgré le froid, ce dimanche nous a réunis en l’église de Gigney, pour une célébration tournée vers le monde la santé : Malades, personnes ayant un handicap, personnes âgées, soignants, accompagnants, entourés de tous les paroissiens.

La procession d’entrée derrière l’affiche représentant le passage de l’ombre à la lumière, avec l’aide des autres et de l’Autre – Jésus – était suivie de porteurs de bougies symbolisant les personnes de tous nos villages.

Au cours de la messe, « des pas », où chacun notait un geste pour aller vers l’autre, ont été disposés sur un chemin allant vers l’autel.

A la fin de la célébration Michel, personne ayant un handicap moteur, nous a donné un témoignage émouvant, sur son chemin de vie : Difficulté de se reconstruire suite à la maladie et au handicap, découverte de la fraternité, lors d’un pèlerinage à Lourdes, rencontres amicales et de partage avec la Fraternité des personnes Malades et Handicapées.

Célébration festive qui nous pousse à sortir de nos coquilles pour aller vers les autres.


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23/02 /12 L’Hospitalité Notre Dame de Lourdes témoigne pour la journée des malades 2012 (Pastorale de la Santé)
Journée des malades - 11 Février 2012
Présentation de l’hospitalité Notre Dame de Lourdes.

Le respect de la Personne est au cœur du message chrétien.

En accordant autant d’importance aux malades, l’Eglise essaye d’imiter Jésus qui porte une attention particulière aux personnes fragilisées par la maladie ou le handicap. Le Christ les rencontre, les écoute, leur demande ce qu’elles désirent et, à travers la guérison, leur offre le salut par la conversion.

Les soignants chrétiens, les aumôniers d’hôpitaux, tous les bénévoles qui visitent et accompagnent les malades essayent de marcher à la suite de Jésus en comptant sur lui pour pallier leurs manques et leurs propres fragilités.

Parmi eux, les hospitaliers de Lourdes organisent, chaque année, un pèlerinage qui permet aux personnes qui souffrent d’aller puiser force, courage et espérance à la source de Massabielle.

Nul n’est à l’abri des épreuves mais les chrétiens savent que Jésus offre, chaque jour, la Vie nouvelle, la vie de l’Esprit à ceux qui le lui demande. La démarche du pèlerin est une démarche de conversion à laquelle Marie nous invite à Lourdes, sanctuaire dédié tout particulièrement aux personnes malades et handicapées.

Que vous soyez éprouvés dans votre corps ou en bonne santé, nous voulons, aujourd’hui, relayer l’invitation que Marie vous adresse de venir prier ensemble à la source du salut.

C’est dans la joie que nous irons à Lourdes cet été, du 5 au 11 juillet, vivre une expérience de communion et de fraternité qui nous transformé vraiment.
Le thème de cette année est : « Avec Bernadette, prier le chapelet ». Monsieur l’abbé Tétin, aumônier du Rosaire pour le diocèse assurera la prédication de ce 122ème pèlerinage des vosgiens à Lourdes, sous la conduite de notre évêque.
Vous pouvez transmette l’invitation aux personnes que vous rencontrez et nous rejoindre, si le cœur vous en dit. Des bulletins sont à votre disposition pour nous interroger sur les conditions de participation à ce pèlerinage.

Merci et bon dimanche à chacun.

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23/02 /12 Témoignage de Michel L., handicapé moteur (Pastorale de la Santé)
Témoignage de Michel à l’église de Gigney le 12 février 2012

"Pas sans l'autre-l'Autre"

D’abord merci aux personnes de me donner l’occasion de m’exprimer.

Pourquoi et comment ce problème qui handicape mon quotidien a-t-il bien pu m’arriver ? la faute à qui? à quoi ? le fait est là et la vie s’en trouve toute bouleversée. C’est un terrible cauchemar et je me suis posé des tas de questions sans réponses et, conscient de la situation, j’ai pensé que seul un miracle aurait pu me sortir de là.

J’ai bien appris quelques prières dans mon enfance, je me souviens… mais j’ai d’abord fait le choix de me battre en pensant : « aide toi, le ciel t’aidera » comme on entend dire parfois.

A présent, je me suis quelque peu reconstruit mais ce n’est plus comme la vie d’avant, tout est différent, il faut changer le regard sur la vie.

Et dans cette vie rythmée par les hauts et les bas, un beau jour j’ai décidé de participer au pèlerinage de Lourdes. Il me semble que j’y ai trouvé ma place auprès de beaucoup d’autres personnes que la vie n’a pas épargnées.

Et parmi ces gens là, il m’a semblé découvrir une seconde famille. En effet ce fut très convivial et même festif, tandis que sur le sanctuaire se succédaient les célébrations de chaque jour devant de très nombreux pèlerins venus des quatre coins de la France.

Nous sommes passés à la grotte où la sainte Vierge Marie est apparue à Bernadette. Nous nous sommes recueillis, avons prié, avons touché le rocher, ce fut un moment merveilleux. Nous avons assisté à la messe internationale tout comme des milliers et des milliers de fidèles, dans cette grande basilique souterraine, ce fut très impressionnant.

Et puis un autre moment fort aussi, celui de la procession Mariale, cérémonie émouvante également, sans parler d’autres moments tout aussi charmants. Et ces fabuleuses cérémonies, c’est au diocèse, aux organisateurs, prêtres, diacres et notre évêque bien sûr, mais à tous les hospitaliers que nous les devons parce que sans eux, il n’y aurait pas de pèlerinage possible, car ils aident les malades et handicapés avec un courage et un dévouement qui méritent d’être soulignés. Ils apportent tant de bonheur aux plus malades qui ne peuvent pas parler, s’exprimer, ni manger sans leur aide. Voilà un bel exemple pour imager le thème « Pas sans l’autre ».

Et puis au cours de ce pèlerinage, j’ai fait la connaissance de Claude, elle aussi handicapée. Elle m’a fait découvrir la Fraternité Chrétienne des Personnes Malades et Handicapées. C’est un mouvement d’évangélisation qui a été fondé en 1945 de la rencontre de quelques personnes malades et handicapées dont le père Henri Français, prêtre du diocèse de Verdun à l’époque, et aujourd’hui cette Fraternité s’étend non seulement en France, mais en Europe et dans le monde ; en Afrique, en Amérique et en Asie.

Au sein de ce comité diocésain nous formons une équipe qui nous réunissons à peu près une fois par trimestre à Épinal. Nous réfléchissons sur des thèmes variés en rapport avec ce que l’on vit au quotidien, comme par exemple : l’épanouissement dans le travail ou dans le fait de servir les autres, ou encore comment avancer dans la difficulté et bien d’autres sujets encore, et cela dans un esprit de Fraternité.

Et ce sont des débats enrichissants et porteurs d’espoir pour nous qui en avons tant besoin.

En conclusion, je dirais qu’à présent, la foi m’aide à avancer. Elle est la lumière dans les ténèbres, et puis Dieu ne veut que notre bonheur, il nous aime, il est notre espoir, l’espoir qui fait vivre. Nous le prions, car le chemin est encore long et sinueux.

Je vous souhaite une bonne santé à tous et merci de m’avoir écouté.

Michel L.

21/02 /12 La Bible visitée : témoignage au retour d'un pèlerinage sur « Les Routes Bibliques » (Pèlerinages)
La Bible visitée ou le retour suite à un pèlerinage diocésain sur « Les Routes Bibliques », effectué par Marie-Françoise et Marc Bailly, du 24 octobre au 3 novembre 2011. A la fin de cet article, une galerie photo à découvrir.

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Marie-Françoise et moi-même attendions ce moment avec impatience : celui de prendre « Les Routes Bibliques » qui nous ont conduits sur les pas de Moïse et de Jésus.

C’est dans le car, avant l’aube, que nous avons fait connaissance avec les 29 autres pélerins, sous la houlette de Guy Merkel, avec le père Olivier Bourion comme animateur, accompagné de l’abbé Antoine Viry. De Zurich à Le Caire, l’avion de la compagnie Swiss nous a déposés en début d’après-midi dans la capitale égyptienne, une mégapôle démesurée de près de 20 millions d’habitants. Malgré les bouchons interminables, sous la conduite de George, un excellent guide, nous avons pu contempler les pyramides aux portes de la ville, découvrir l’Egypte Pharaonique dans le riche musée égyptien près de la place Tahrir (rendue tristement célèbre par les révolutions successives), et en fin de journée, participer à la messe célébrée en l’église franciscaine St. Joseph, en présence de l’évêque auxiliaire copte catholique. A l’issue de cette eucharistie, un pot d’accueil et un entretien (sans langue de bois) nous était réservé par ce chrétien engagé : « Nous n’acceptons pas les brutalités commises lors des manifestations d’octobre contre les chrétiens (plusieurs morts et blessés), et s’il le faut nous pourrions mourir en martyrs pour le Christ… Ce fut un moment fort de cette première journée !

Contemplatifs et admiratifs devant l’œuvre du Créateur

Le mercredi 26, le car nous emmène en direction du Sinaï par le récent tunnel sous le canal de Suez ; un arrêt matinal sur les dunes en bordure de Mer Rouge nous permet d’assister à la messe, sous les regards et objectifs curieux de nombreux touristes. La traversée du désert montagneux du Sinaï est l’occasion d’évoquer la Manne (le pain donné à Moïse), ainsi que le combat contre les Amalécites vaincus définitivement par Moïse, pour n’avoir jamais baissé les bras. Enfin notre hötel à Ste-Catherine est atteint après une longue montée. A 2h, le jeudi matin, nous nous mettons en route, les trois quarts du groupe, pour une longue escalade dans la nuit vers le Mont Moïse ou la Montagne de Dieu, à plus de 2 200 m d’altitude, là où Moïse reçut le Décalogue. Tous n’atteignirent pas le sommet…, mais le silence de la nuit, puis le magnifique lever du soleil au-dessus des montagnes dans un ciel sans nuages, nous laissent un bon moment contemplatifs et admiratifs devant l’œuvre du Créateur. La visite du monastère Ste-Catherine, avec l’église de la Transfiguration et le Buisson Ardent , puis la messe sous une tente bédouine, suivie du thé traditionnel et de danses costumées mémorables, mettent un terme à une journée harassante mais inoubliable.

Vendredi 28 est une journée plus calme, car nous rejoignons les rives de la Mer Rouge : après la messe sous tente, puis le déjeuner et un bain de pieds dans une eau particulièrement douce, nous embarquons à Nuweiba, en même temps que d’innombrables musulmans en route vers La Mecque, pour une navigation à destination d’Aqaba, unique port de Jordanie. Notre nouveau guide, Hassan, nous accompagne, la nuit tombée et après plusieurs heures de route, à notre hôtel à Pétra, plus exactement Wadi Moussa, ancienne capitale du royaume des Nabatéens.

Petra, un « chaos de roches »

La journée du 29 est consacrée à la visite d’un site exceptionnel : au-delà des gorges où Moïse fit jaillir une source lors de l’Exode, l’antique ville de Petra, un « chaos de roches » de plusieurs kilomètres, apparaît au débouché du Siq, un défilé spectaculaire. C’est d’abord un éblouissant temple-tombeau marqué par l’influence hellénistique, le Trésor, taillé dans le grès rose sur 40 m de haut, il est daté du 1er siècle de notre ère ; puis temples, thermes et tombeaux de différentes époques occupent de part et d’autre du « cardo maximus » le centre urbain avec ses boutiques et autres bâtiments publics (les commerces des bédouins y sont toujours florissants). Un peu à l’écart se trouve une église bizantine récemment fouillée, la messe y est célébrée à proximité de pavements-mosaïques bien conservés. Les plus courageux d’entre-nous sont montés au monastère, le Deir, puis aux Tombeaux où, selon la tradition islamique, se trouverait la tombe d’Aaron, frère de Moïse. A noter que cette région a subi les effets dévastateurs de plusieurs séismes.

Comme les Hébreux vers la Terre Promise

Poursuivant notre route (Route des Rois), le dimanche 30, comme les Hébreux vers la Terre Promise, nous découvrons d’étonnants paysages montagneux, coupés de failles profondes, telles le Wadi Moujib ou Arnon avec son impressionnant barrage (frontière entre les royaumes d’Ammon et de Moab), puis la citadelle franque de Kérak qui, jadis, n’a pu résister aux troupes de Saladin, après la victoire sur les Croisés vaincus à Hattin en 1187. Après Dhiban, nous faisons halte à Madaba pour y découvrir une exceptionnelle carte de la Palestine romaine du VIe siècle en mosaïque, près de l’église St Georges. Nous arrivons bientôt au terme du retour d’Exode, la fin du voyage terrestre de Moïse, le Mont Nébo et son sanctuaire, où domine la croix au Serpent (d’Airain), et d’où nous découvrons la Terre Promise : la Mer Morte, le Jourdain, Jéricho, et les collines de Cisjordanie à l’horizon…

Après une nuit à Amman, nous cheminons sous un chaud soleil jusqu’à Béthanie au-delà du Jourdain : l’eucharistie y est célébrée dans le recueillement (nous pensons au baptême de Jésus par Jean-Baptiste), alors qu’en face de nous, en territoire israëlien, ont lieu des baptêmes par immersion. L’après-midi, nous gagnons Jérash, le site gréco-romain de l’antique Gérasa : cette cité en ruines, constituée autour du sanctuaire de Zeus, a connu son apogée au IIe siècle après J-C sous le règne d’Hadrien. Temples, colonnades, églises, thermes, fontaines, etc, ont été récemment mis au jour et sont en cours de restauration.

Jérusalem, en vue !

Mardi 1er novembre, nous entrons en terre d’Israël par le pont Allenby, et après les « formalités » d’usage, et la prise en charge par notre guide, Michel, un Français expatrié, nous traversons la ville de Jéricho, puis le désert de Juda, et soudain au sommet du Mont Scopus, précédant le Mont des Oliviers, nous découvrons avec émotion la ville sainte de Jérusalem, cité conquise et faite capitale par le roi David au Xe siècle avant notre ère. Les commentaires de Michel, ainsi que les compléments, toujours judicieux et propres à l’histoire biblique, apportés par le père Olivier, nous permettent de situer les différents lieux saints dans l’histoire et la topographie de la ville (vallée du Cédron, Gethsémani, bassin de Siloé,…). La messe de Toussaint est célébrée dans l’église orthodoxe voisine de notre hôtel Gloria, proche de la porte de Jaffa.

Le lendemain, nous parcourons l’Esplanade du Temple, longeant le Dôme de la Roche et la Mosquée el Aqsa, pour atteindre le Mur occidental (des Lamentations) que chacun a pu approcher. La Via Dolorosa nous conduit vers le Saint Sépulcre, à travers les souks qui ne réussissent pas à nous distraire dans notre méditation tout au long du Chemin de Croix. Dans la basilique de la Résurrection, nous sommes véritablement noyés dans une foule compacte, impatiente de vénérer, voire de toucher la roche du Golgotha ou le Tombeau du Christ. Tant d’ « empressement » nous laisse quelque peu perplexes, et allons méditer, à quelques pas de là, les paroles du Ressuscité « Et moi je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin des temps » ( Mt.28, 20). Après la visite de la maquette de Jérusalem au temps de Jésus (la vieille ville dans ses anciens murs), puis le récent musée du Livre exposant les découvertes de la Mer Morte et des manuscrits bibliques et esséniens (trouvés à Qumran), nous retournons au Saint-Sépulcre pour une messe célébrée dans ce cadre exceptionnel.

Le jeudi 3 novembre voit la fin de notre séjour conclu au Mont des Oliviers, avec à nos pieds la ville, ses nombreux lieux saints, et les étonnants cimetières juifs couvrant la vallée du Cédron ; la dernière eucharistie est célébrée dans la petite église du Dominus Flévit (« Le Seigneur a pleuré » sur Jérusalem). Sur la route de Tel Aviv, la communauté des Béatitudes à Emmaüs (nous y saluons une religieuse ayant séjourné à Autrey) nous accueille chaleureusement pour le repas de midi.

En conclusion de ce magnifique voyage en Terre Sainte, nous ne pouvons que témoigner ici notre gratitude à l’animateur compétent et plein d’humour, Olivier Bourion, à son discret accompagnateur, Antoine Viry, et au dévoué directeur, Guy Merkel.

20/02 /12 De l'amour, de la mort, de Dieu et autres bagatelles. Entretiens avec Christiane Rancé (De vous à nous)
Lucien Jerphagnon

Éditeur Albin Michel, 2011

Ce livre mérite une attention extrême.

Il m'a été donné le jour du décès de son auteur, j'en ai donc commencé la lecture avec une grande émotion.

Lucien Jerphagnon est marqué profondément par la culture et la philosophie hellénique : il est également proche, plus que proche, de St. Augustin et de Pascal.

Ce livre est un entretien entre lui et Christiane Rancé, fine, respectueuse mais sans pour autant perdre sa capacité de scruter son interlocuteur au fond de sa pensée, de son être : le lecteur en prendra claire conscience en pages 254, 255 et 256, ou s'éclairent en un instant, avec l'aide de Pascal, « Pascal le savant, Pascal le croyant », l'intuition qui est la pierre d'angle de la foi vivante de Lucien Jerphagnon.

Donc, si vous ressentez comme ce fut le cas pour moi, à la lecture du corps de ce livre une certaine lassitude, persistez toutefois.

Livre terminé, vous reprenez l'épisode merveilleux de pèlerins d'Emmaüs, Lucien Jerphagnon vous y invite : puis-je dire que la lecture de ce livre tombait pour moi merveilleusement à pic.

Serge Najean

19/02 /12 Nuit des églises dans les Vosges, on se prépare ! (Art sacré)
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A l'initiative de Narthex, il est proposé aux paroisses de participer à la prochaine Nuit des Églises qui aura lieu le 7 juillet 2012.

Cette initiative s’inscrit dans une volonté d’ouverture de l’Eglise et des églises. Durant toute une nuit ou une soirée, tous ceux qui le souhaitent peuvent pénétrer dans les édifices religieux, découvrir la richesse de leurs patrimoines anciens, écouter des musiques et chants religieux, assister à des offices liturgiques, etc. en d’autres termes, participer à la vie d’une communauté.

Si votre paroisse souhaite participer à cet événement national, vous pouvez vous faire connaître auprès du Service diocésain d'Art sacré qui relayera l'information et vous donnera toutes les informations utiles et pratiques. , chargé du patrimoine culturel, peut vous aider à préparer cette soirée. Une petite fiche donnant quelques pistes est disponible dans la Boîte à outils.

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Laissons nos églises et nos communautés se raconter au début de l'été .