
Voir la liste des paroisses du diocèse de Saint Dié des Vosges
Voir la liste des communes pour connaitre sa paroisse
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Jésus, marchant vers Jérusalem, traversait la Samarie et la Galilée. Comme il entrait dans un village, dix lépreux vinrent à sa rencontre. Ils s'arrêtèrent à distance et lui crièrent : « Jésus, maître, prends pitié de nous. »
En les voyant, Jésus leur dit : « Allez vous montrer aux prêtres. » En cours de
Un lépreux a su dire sa reconnaissance à Jésus, or c'était un Samaritain. Cet évangile pourrait s'appeler l'évangile de la reconnaissance.
Reconnaissance pour tout ce que nous devons à Dieu, mais aussi reconnaissance des richesses de cœur des plus défavorisés.
Ingratitude des hommes.
Une fois guéris, les lépreux sauf un ne sont pas venus remercier Jésus.
Regardons- nous nous-mêmes !
Cette utilisation très quelconque de tous les dons que Dieu nous a faits : amour, intelligence, qualités, biens ….
« Qui a beaucoup reçu a les oreilles bouchées » (proverbe du Burundi).
Place donc à la reconnaissance, à l'action de grâce , à la louange !
Louange pour la vie reçue, la vie transmise.
« Comment rendrai-je au Seigneur tout le bien qu'il m'a fait ? » Psaume 116 , 12.
Croyons en l 'homme, croyons qu'il est capable de Dieu ! Chaque être humain est une merveille . Ce qui suppose que nous renoncions à juger trop vite ceux qui sont différents de nous. Qui peut avoir la prétention de lire au fond des cœurs ? Laissons à Dieu le soin de juger. Ce qui suppose que nous luttions pour une société qui respecte les personnes.
Jésus se manifesta encore aux disciples sur le bord du lac de Tibériade, et voici comment.
Il y avait là Simon-Pierre, avec Thomas (dont le nom signifie : Jumeau), Nathanaël, de Cana en Galilée, les fils de Zébédée, et deux autres disciples.
Simon-Pierre leur dit : « Je m'en vais à la pêche. » Ils lui répondent : « Nous allons avec toi. » Ils partirent et montèrent dans la barque ; or, ils passèrent la nuit sans rien prendre.
Au lever du jour, Jésus était là, sur le rivage, mais les disciples ne savaient pas que c'était lui.
Jésus les appelle : « Les enfants, auriez-vous un peu de poisson ? » Ils lui répondent : « Non. »
Il leur dit : « Jetez le filet à droite de la barque, et vous trouverez. » Ils
Thomas n'a pas eu de chance. Il était absent le soir de Pâques, lorsque Jésus était apparu aux autres Apôtres.
Les Apôtres ont eu beau tout lui raconté, mais Thomas voulait des preuves palpables. Il voulait voir et toucher le Maître. Pendant huit jours, il sera dans son doute. Au terme de ces jours, il pourra enfin voir et toucher le Ressuscité. Il le reconnaîtra en confessant sa foi : "Mon Seigneur et mon Dieu".
Aujourd'hui nous remercions Thomas et les Apôtres de leurs propres difficultés dans la foi, car ces difficultés éclairent les nôtres. Les Apôtres ont connu la peur et le doute. Nous aussi nous vivons dans une société de peur, une société marquée par une crise économique, sociale et morale. Où trouver la sérénité ? Où trouver la vérité ? Autant de questions existentielles que se posent nos contemporains.
La sérénité, la paix et la vérité , nous, chrétiens la trouvons en Christ. N'ayons pas peur ! "La paix soit avec vous !" répète Jésus. Jésus est bien vivant dans le monde, dans l'Eglise, en chacun de nous. Jésus et son Père sont à l’œuvre. Mais cette foi qui nous anime, qui est don de Dieu, ne va pas pour autant de soi. Il nous arrive d'avoir des doutes.
"Il faut que je me cramponne à la vie de foi. Si au moins, je sentais que Jésus m'aime..." (Charles de Foucauld) .
Comme Thomas nous sommes des "visuels" : "je ne crois qu'à ce que je vois" entend-on souvent . Nous voulons tout vérifier scientifiquement. Mais bien de nos contemporains qui se piquent d' être scientifiques se précipitent tête baissée dans les horoscopes, l'occultisme, le paranormal. Comme à Thomas, Jésus nous dit : "cesse d'être incrédule, sois croyant" et "heureux ceux qui croient sans voir vu".
La foi n'est pas de l'ordre de la certitude scientifique. Elle est une connaissance par signes que nous devons "décoder". Ce ne sont pas les signes qui manquent mais les yeux pour les voir. Quels sont ces signes ? Des événements, des rencontres, des épreuves que Dieu place sur notre chemin.
La foi, c'est surtout un dialogue avec le Bien-Aimé présent dans notre cœur. C'est un rencontre personnelle avec Lui.
Devenons nous-mêmes de signes dans notre monde d'aujourd'hui. "La foi ça ne ronronne pas, ça se rayonne !"
Sur la rive, le Vivant attend les Apôtres. Ceux-ci viennent de passer une nuit entière à jeter et à retirer des filets vides. Nous aussi, comme les Apôtres, nous
ramons bien souvent dans la nuit et les difficultés de la vie. Nous connaissons la nuit du doute : sainte Thérèse la appelée "la nuit du néant" (dix-huit mois affreux). Écouter le Christ, c'est jeter le filet là où souffle l'Esprit, là où ça bouge, là où nous sentons frémir pour un temps la grâce de l'Esprit.A chacun de nous , comme à Pierre, Jésus dit et redit plusieurs fois : "M'aimes-tu ?", "M'aimes-tu vraiment ? " Puissions-nous entendre le même appel de ce mendiant d'amour qu'est le Christ.
Le peuple venu auprès de Jean Baptiste était en attente, et tous se
demandaient en eux-mêmes si Jean n'était pas le Messie.Comme tout le peuple se faisait baptiser et que Jésus priait, après avoir été baptisé lui aussi, alors le ciel s'ouvrit.
L'Esprit Saint descendit sur Jésus, sous une apparence corporelle, comme une colombe. Du ciel une voix se fit entendre : « C'est toi mon Fils : moi, aujourd'hui, je t'ai engendré. »
L'Alliance nouvelle est désormais inaugurée. Dieu se révèle comme Père de Jésus. Et le jour de son baptême, Jésus est consacré par l'Esprit, représenté par la colombe.
Dieu nous dit aussi comme à Jésus : Tu es mon fils-bien-aimé ou ma fille bien-aimée. Au jour de notre baptême nous sommes passés de la vie humaine à une existence divine. _ Être baptisé, c'est manifester dans un même mouvement sa foi en Jésus ressuscité et son désir de le suivre jusqu'au bout, dans les multiples traversées de nos vies.
C'est accepter de « naître à nouveau » ou de « naître d'en haut » , comme Jésus l'explique à Nicodème (Jean 3, 18). Et pour cela, il faut tourner le dos à toutes les forces qui nous tirent vers le bas. Il faut, comme le dit la liturgie du baptême, « renoncer à Satan, à ses œuvres et à ses séductions » . Aux premiers siècles de l'Eglise, le baptême se faisait par immersion : on entrait tout entier dans l'eau pour en ressortir. Certaines églises ont encore des baptistères qui sont construits comme de petites piscines. Peu à peu on a remplacé ce symbole très fort par une simple aspersion d'eau.
Aujourd'hui, pour les adultes qui demandent le baptême, la cérémonie a lieu au cœur de la veillée pascale, ce qui permet avec les lectures qui rappellent la Création, la sortie d'Egypte, la Résurrection, de déployer tout le sens du baptême et d'en faire un signe pour toute la communauté assemblée. Le baptême n'est pas un simple signe d'adhésion, comme un contrat. Le baptême est un sacrement : c'est du Christ lui-même que le baptisé reçoit la force de le suivre.
au Vic, à Ban-sur-Meurthe - Clefcy,
les 12-13-14 octobre 2012
Pour qui ?
Pour les couples qui veulent réussir à s'aimer dans la durée.
Pour quoi ?
Pour construire une relation solide, en apprenant à mieux se connaître et se comprendre, à mieux communiquer, à orienter sa vie.
Comment ?
Les témoignages des deux couples animateurs, des temps de réflexion personnelle, suivis d'échanges au sein du couple.
A propos de quoi ?
La connaissance de soi, l'écoute et la confiance, la prise de décision, la sexualité, le pardon, le sacrement du mariage et l'ouverture aux autres.
Comment s'inscrire ?
Agnès et Matthieu Ménard - XX.XX.XX.XX.XX - xxx@xxx.xx
le mouvement vivre et aimer:
Paule et Stéphane Terreaux
Vivre et Aimer Relais communication Lorraine XX.XX.XX.XX.XX
http://www.vivre-et-aimer.org
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