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Paroisses
On trouvera, ci-après, la déclaration du Conseil Permanent de la Conférence des évêques de France du 16 janvier 2014, concernant le débat sur la fin de vie. Devant un sujet si grave et douloureux, l'essentiel est de rendre « plus manifeste le respect dû à toute personne » vivant ses derniers jours. Non à l'acharnement thérapeutique. Non à l'acte de tuer. Oui à un développement réel et qualitatif des soins palliatifs. Ce sont les solidarités familiales et sociales qui sont à renforcer. .
Un projet de loi sur la fin de vie pourrait être déposé devant le Parlement d'ici la fin de l'année. Des rapports et des avis rendus publics ces derniers mois ont demandé des améliorations de la loi Leonetti. Cependant, améliorer la législation, ce n'est pas la changer fondamentalement. Le sujet est trop grave pour ne pas agir avec prudence. Contrairement à d'autres [1] , l'avis rédigé par un « panel de citoyens » [2] propose de légaliser le « suicide médicalement assisté », sous condition d'une demande expresse d'une personne en fin de vie ou atteinte d'une maladie jugée irréversible. Aider un malade à mettre lui-même fin à ses jours ou provoquer délibérément la mort d'un patient à sa demande, ce qui est proprement appelé euthanasie, sont inacceptables. L'avis admet même la pratique de l'euthanasie sans consentement de la personne devenue incapable de s'exprimer !
Notre société cherche à « esquiver la mort » [3] et redoute la proximité avec celui qui va mourir. Elle pourrait être ainsi conduite à des décisions inhumaines. Il importe donc de clarifier le vocabulaire et les buts poursuivis. Personne ne peut provoquer délibérément la mort, fût-ce à la demande d'une personne gravement malade, sans transgresser un interdit fondamental. « Tu ne tueras pas » [4] demeure une exigence morale majeure de toute société, et, pour les croyants, un commandement de Dieu. C'est le fondement de toute vie sociale respectueuse d'autrui, spécialement des plus vulnérables [5]. Nombre de nos contemporains, en raison d'une maladie, d'un handicap ou de leur âge, se sentent devenus une charge pour leurs proches et un poids pour la société. Ils souffrent de leur solitude, de l'indifférence d'autrui, du regard porté sur eux dans une société axée sur les valeurs d'autonomie et d'efficacité. Ceux qui en viennent à douter de la valeur et du sens de leur vie ont besoin « d'accompagnement, de solidarité et de soutien dans l'épreuve » [6] . N'aurons-nous rien d'autre à leur proposer que de mettre fin à leur existence ?
Le suicide est souvent présenté de nos jours comme « une ultime liberté ». Mais en même temps, on s'alarme, à juste titre, des taux élevés de suicides particulièrement chez les jeunes et les personnes âgées. Comment réagir contre la banalisation du suicide et en faire en même temps la promotion ? Comment pourrions-nous juger nécessaire d'aider certaines personnes à affronter un épisode de détresse pour éviter l'irréparable, et, par ailleurs, encourager et assister d'autres personnes dans leur volonté de mourir ? Qui deviendrait le juge des vies qui ne valent plus d'être vécues ? Il serait discriminatoire d'estimer aussi différemment la valeur de la vie des uns et des autres.
Tout suicide affecte la solidarité et la volonté de vivre du corps social. Il est donc nécessaire et urgent de poursuivre un véritable engagement de solidarité et de fraternité. Beaucoup se sont investis pour soulager les douleurs et les souffrances de la fin de vie mais « la tâche à accomplir est encore immense » [7]. Les campagnes médiatiques de promotion d'une nouvelle loi contribuent malheureusement à détourner l'attention des indispensables réformes à entreprendre, parmi lesquelles l'accès à « des soins palliatifs et à un accompagnement » à « toute personne malade dont l'état le requiert » [8] . Notre conviction profonde est qu'un changement législatif ne peut avoir pour objectif que de rendre plus manifeste le respect dû à toute personne en fin de vie. Cela passe par le refus de l'acharnement thérapeutique, le refus de l'acte de tuer ; ainsi que par le développement des soins palliatifs et le renforcement des solidarités familiales et sociales.
Le Conseil permanent de la Conférence des évêques de France Mgr Georges PONTIER, Archevêque de Marseille, Président Mgr Pierre-Marie CARRÉ, Archevêque de Montpellier, Vice-président Mgr Pascal DELANNOY, Évêque de Saint-Denis, Vice-président Cardinal André VINGT-TROIS, Archevêque de Paris Mgr Jean-Claude BOULANGER, Évêque de Bayeux et Lisieux Mgr François FONLUPT, Évêque de Rodez et Vabres Mgr Jean-Paul JAMES, Évêque de Nantes Mgr Hubert HERBRETEAU, Évêque d'Agen Mgr Stanislas LALANNE, Évêque de Pontoise Mgr Benoît RIVIÈRE, Évêque d'Autun, Chalon et Mâcon
(Gérardmer, Liézey, Le Tholy, Xonrupt) Annonces semaine du 19 au 27 juillet 2014 :
Samedi 19 Juillet 2014 :
Gérardmer :
18h00 : Messe :
Pour Marie-Josée AUDINOT, LELONG (8ème anniv.) – Familles KEISSER, RIVIERE, LAVERGNE - Hélène MOREL (9ème anniv.), Jeannot MOREL (1er anniv.) et famille MOREL – Familles PERRIN, GEORGES, JACQUEL – René LIENERE, et les familles LIENERE, SION
Dimanche 20 Juillet 2014 :
Gérardmer :
10h00 : Messe :
Pour Georges VANIER, Pierre MARCHAL, Maurice, Andrée et Fabrice FRANCOIS – Jean-Pierre KOCHER, Bernadette OLRY, Jean PIERCY – Jean GALICHET – Jean-Loup BOSSUT et défunts de la famille – Gilberte GEORGEON et famille GEORGEON, NICHINI – Claude NOËL - Serge TOUSSAINT – Marie–Rose POIROT et son mari souffrant - Michel, Gérard DOLMAIRE – Pascale CAËL(2ème anniv) -Louis STINTZY- Docteur LAFLOTTE
Recommandations : Robert GUILLEMIN - Danielle FINET- Robert EWRARD
Le Tholy :
10h00 : Adap :
Pour tous les paroissiens, les défunts : Odette VOIRIN, Marie-Thérèse DIDIER, Gilbert MICHEL (8ème anniversaire), Hubert DUBUIS (quarantaine)
Recommandations : André Voirin, Claude Georgel
Xonrupt :
10h00 : Messe.
Mardi 22 Juillet 2014 :
Gérardmer :
18h00 : Messe
Mercredi 23 Juillet 2014 :
Gérardmer :
16h00 : Groupe de prière avec les résidents à la chapelle de Clair Logis-
17h15 : Chapelet à la chapelle Saint-Gérard de l'église
18h00 : Messe : Marguerite JEANSELME- Émile THIMONT-
Jeudi 24 JUILLET 2014 :
Gérardmer :
9 h 15 : Clair Logis : Célébration pour les résidents -
18h00 : Groupe de prière du Renouveau au sous-sol de l’église
Vendredi 25 Juillet 2014 :
Gérardmer :
Confessions de 17h30 à 18h00 -
Adoration de 17h30 à 18h00 :
18h00 : Messe :
Pour Abbé Jacques BARBE et les prêtres défunts de la paroisse- Fam DEMANGEON- PIERRAT
Samedi 26 Juillet 2014 :
Gérardmer
18h00 : Messe : Manuel BATISTA- José PITA- Guy DENYS
Dimanche 27 Juillet 2014 :
Gérardmer :
10h00 : Messe : Emmanuel MILLOT- François HARMAND- Rachel DIDOT et Kévin DOUISSARD- Françoise THOMAS- Fam CUNY-PERRIN- Bernadette CROUVEZIER- Docteur LAFLOTTE
Le Tholy :
10h00 : Adap : Pour tous les paroissiens, les défunts : Pierre BABEL, François ROBERT (quarantaine).
Xonrupt : Ni messe ni Adap
Les demandes de messes doivent être faites 15 jours avant la célébration souhaitée :
au presbytère de Gérardmer, chaque matin de 9h30 à 11h30 (permanences le matin).
Ou pour le Tholy : Auprès d'Odile Mansuy : XX.XX.XX.XX.XX
Attention : Si vous voulez demander une intention de messe pour la période du 20 juillet au 15 août inclus , demandez-la très rapidement, si possible avant avant le 15 juillet, car il y aura une feuille d'annonces unique du 27 juillet au 15 août pour toute la paroisse St- Gérard.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 6,51-58.
Après avoir nourri la foule avec cinq pains et deux poissons, Jésus disait : « Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c'est ma chair, donnée pour que le monde ait la vie. »
Les Juifs discutaient entre eux : « Comment cet homme-là peut-il nous donner sa chair à manger ? »
Jésus leur dit alors : « Amen, amen, je vous le dis : si vous ne mangez pas la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez pas son sang, vous n'aurez pas la vie en vous.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi je demeure en lui.
De même que le Père, qui est vivant, m'a envoyé, et que moi je vis par le Père, de même aussi celui qui me mangera vivra par moi.
Tel est le pain qui descend du ciel : il n'est pas comme celui que vos pères ont mangé. Eux, ils sont morts ; celui qui mange ce pain vivra éternellement. »
LE SACREMENT DU SALUT
«Vous ferez cela en mémoire de moi », entendons-nous dans la prière eucharistique, à la fin du récit de l'Institution.
Ces paroles de Jésus sont le fondement de la célébration de l'Eucharistie par l’Église. Ainsi l'Eucharistie ne peut pas être un simple souvenir des gestes et des paroles de Jésus, un signe qui nous réconforterait comme un vieux film ou un bon livre. Elle est mémorial de sa mort et de sa résurrection qui sont rendus présents aujourd'hui, et à chaque messe, comme l'a rappelé le concile Vatican II. (Vatican II, Constitution sur la liturgie, Sacrosanctum concilium n" 47.)
Déjà dans le Deutéronome (première lecture), le peuple d’Israël a compris qu'il ne peut pas vivre uniquement d'une nourriture matérielle et que sa vie authentique est nourrie par la Parole qui vient de Dieu. Cette Parole lui est vitale. La manne reçue par ses Pères au désert a été le signe de cette autre nourriture. Israël veut suivre un Dieu qui lui parle et qui subvient à ses désirs profonds, un Dieu qui l'humanise et fait de lui un peuple uni et vivant en paix.
Dans le Christ, la nourriture donnée par Dieu n'est plus seulement la Torah, ni la participation aux sacrifices faits au Temple. Pour ceux qui mettent leur foi en Christ, lui-même est la nourriture de Dieu, le pain qui descend du ciel (évangile). Les disciples en font l’expérience après la Résurrection. Dans l'Esprit, ils vivent en communion avec le Ressuscité. Mais le salut voulu par Dieu ne s’arrête pas à un territoire, ni à un groupe d'hommes, ni à une époque. II est pour toutes les générations.
Sacrement du salut, l'Eucharistie nous rend participants, par les signes du pain et du vin, à la vie même du Christ, vie offerte pour notre salut.
Communiant à un unique pain, « la multitude que nous sommes est un seul corps » (deuxième lecture), qu'il reste à devenir jour après jour. L'eucharistie est un sacrement pour que notre vie soit tout entière eucharistique et fasse progresser la réconciliation et la paix.
Parents et amis,
Vous êtes invités à vous joindre à nous pour prier lors de la célébration.
Les résidents qui ne peuvent quitter leur chambre et désirent communier, de même que les personnes qui souhaitent recevoir le sacrement des malades peuvent en faire la demande au personnel ou à l’accueil.
Monsieur l’Abbé THOMAS et les accompagnateurs.
- Messe Bon Repos – Epinal
Le premier lundi du mois à 17 heures
- Messe Villa Spinale – Epinal
Le premier mercredi du mois à 15 h 30
- Messe à la Maison Anne et Jean Marie Compas –Dinozé
Le deuxième lundi du mois à 17 heures
Premier texte : Discours du pape François
Chers frères et chères sœurs,
Merci pour votre accueil !
Je vous salue cordialement.
Aujourd'hui je voudrais redire que les personnes âgées ont toujours été des acteurs de l’Église, et le sont encore. Aujourd'hui plus que jamais l’Église doit donner l'exemple à toute la société en montrant que malgré les inévitables « infirmités », parfois même graves, les personnes âgées ont toujours été importantes, je dirais même plus, indispensables. Elles portent avec elles la mémoire et la sagesse de la vie, pour la transmettre aux autres, et elles participent à juste titre à la mission de l’Église. Souvenons-nous que la vie humaine conserve toujours sa valeur aux yeux de Dieu, au-delà de toutes les visions discriminatoires.
Le prolongement de l’espérance de vie, advenu durant le XXème siècle, expose un nombre croissant de personnes à des pathologies neurodégénératives, souvent accompagnées d'une détérioration des capacités cognitives. Ces pathologies engagent le monde socio-sanitaire aussi bien dans les domaines de la recherche, que dans ceux de l'assistance et des soins dans les structures de socio-assistance, ainsi que la famille, qui reste le lieu privilégié d'accueil et de proximité. Le soutien de services adaptés, tournés vers le respect de la dignité, les besoins de la personne assistée, mais aussi de ceux qui l'assistent, famille et travailleurs professionnels, est important. Ceci est possible seulement dans un contexte de confiance et d'une relation réciproque respectueuse. Ainsi vécue, cette assistance devient une expérience très riche aussi bien sur le plan professionnel qu'humain ; dans le cas contraire, elle devient beaucoup plus semblable à une « tutelle physique » simple et froide.
Partant de là, il devient nécessaire de s'engager pour une assistance qui, à côté du modèle médical traditionnel, s'enrichisse d'espaces de dignité et de liberté, loin des clôtures et des silences qui souvent enferment les personnes dans un environnement d'assistance.
Dans cette perspective, je voudrais souligner l'importance de l'aspect religieux et spirituel. C’est une dimension qui reste vitale même quand les capacités cognitives sont réduites ou perdues. Il s'agit de mettre en oeuvre une approche pastorale particulière pour accompagner la vie religieuse des personnes âgées ayant de graves pathologies dégénératives, avec des formes et des contenus diversifiés, parce que de toute façon leur esprit et leur cœur n'interrompent pas le dialogue et la relation avec Dieu.
Je voudrais terminer par un salut aux anciens.
Chers amis, vous n'êtes pas seulement destinataires de l'annonce du message évangélique, mais vous êtes toujours, à part entière, annonciateurs avec force de votre Baptême. Chaque jour, vous pouvez vivre en tant que témoins du Seigneur, dans vos familles, en paroisse et dans les autres environnements que vous fréquentez, faisant connaître le Christ et son évangile, spécialement aux plus jeunes.
Je vous confie tous à la protection de la Vierge Marie, et vous remercie du fond du cœur de vos prières.
Traduction de Zenit, Hugues de Warren
Second texte : Homélie du pape François (Rome, 19 novembre 2013)
"Les grands-parents sont le trésor de la société", affirme le pape François lors de l’homélie de ce matin, 19 novembre 2013, en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe.
Le pape a commenté l’histoire d’Eléazar, qui, plutôt que d’apostasier, préfère le martyre (Maccabées 6,18-31) :
« Face au choix entre l’apostasie et la fidélité, cet homme ne doute pas », refusant « cette attitude qui consiste à faire semblant, à feindre la piété, à feindre la religiosité ». Au lieu de penser à lui, « il pense aux jeunes » : « La cohérence de cet homme, la cohérence de sa foi, mais aussi sa responsabilité de laisser un noble héritage, un héritage vrai ».
Aujourd’hui « les personnes âgées ne comptent pas. C’est terrible à dire, mais on les rejette… Parce qu’elles dérangent. Les personnes âgées sont celles qui apportent l’histoire, qui apportent la doctrine, qui apportent la foi et qui la donnent en héritage. Ce sont elles qui, comme le bon vin qui a vieilli, ont la force intérieure pour donner un noble héritage ».
Le pape François a raconté une histoire de son enfance, "dans une famille, avec le papa, la maman et beaucoup d’enfants : le grand-père, à table, « ne mangeait pas proprement ». Agacé, le papa explique à ses enfants pourquoi leur grand-père se comporte comme ça et il achète une table pour l’installer à part.
Un jour, en rentrant chez lui, le papa voit un de ses fils en train de jouer avec du bois : « - Que fais-tu ? lui demande-t-il. – Une table, répond l’enfant. – Et pourquoi ? – Pour toi, papa, pour quand tu seras vieux comme grand-père »".
« Cette histoire m’a fait beaucoup de bien, pour toute ma vie.
Les grands-parents sont un trésor.
La Lettre aux Hébreux, au chapitre 13, dit ceci :
« Souvenez-vous de vos chefs, eux qui vous ont fait entendre la parole de Dieu, et, considérant l'issue de leur carrière, imitez leur foi. ».
Le souvenir de nos ancêtres nous amène à admirer leur foi. C’est vrai que souvent la vieillesse n’est pas très belle. À cause des maladies qu’elle entraîne, et tout ça, mais la sagesse qu’ont les grands-parents est l’héritage que nous devons recevoir. Un peuple qui ne protège pas les grands-parents, un peuple qui ne respecte pas les grands-parents, n’a pas d’avenir, parce qu’il n’a pas de mémoire, il a perdu la mémoire ».
Le pape François a encouragé à « penser à toutes les personnes âgées, toutes celles qui sont dans des maisons de retraite, et aussi toutes celles qui, n’ayons pas peur de le dire même si c’est triste, sont abandonnées par leurs proches. Elles sont le trésor de la société ». En outre, honorer les personnes âgées c’est respecter « le quatrième commandement : c’est le seul qui promette quelque chose en échange. C’est le commandement de la piété filiale. Être compatissant envers les anciens. »
« Prions pour nos grands-pères, nos grands-mères, qui ont eu si souvent un rôle héroïque dans la transmission de la foi en temps de persécution... Demandons aujourd’hui la grâce aux saints vieillards, Simon, Anne, Polycarpe et Eléazar, à tous ces saints vieillards : demandons-leur la grâce de protéger, d’écouter et de vénérer nos ancêtres, nos grands-parents », a conclu le pape. Avec Hélène Ginabat pour la traduction