
Voir la liste des paroisses du diocèse de Saint Dié des Vosges
Voir la liste des communes pour connaitre sa paroisse
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Le troisième jour après la mort de Jésus, deux disciples faisaient route vers un village appelé Emmaüs, à deux heures de marche de Jérusalem,
et ils parlaient ensemble de tout ce qui s'était passé.
Or, tandis qu'ils parlaient et discutaient, Jésus lui-même s'approcha, et il marchait avec eux.
La joie de croire envahit tout l’être. Telle est l’expérience du psalmiste qui, de tout son cœur, de toute son âme, de toute sa chair proclame sa joie d'appartenir à Dieu et lui exprime son amour profond et confiant (psaume).
L’apôtre Pierre applique ce psaume à Jésus ressuscité, « Oui, mon cœur est dans l’allégresse, ma chair elle-même reposera dans l’espérance : tu ne peux pas m'abandonner à la mort ni laisser ton fidèle connaitre la corruption » (première lecture).
Cette Parole, sans cesse annoncée, expliquée et toujours mieux comprise, permet au chrétien de recevoir le don du Seigneur dans l'Eucharistie : alors, ses yeux s'ouvrent.
Devenu capable de reconnaitre le Dieu qui chasse toute peur et dispense gratuitement la joie, il peut ainsi mettre en lui toute sa foi et toute son espérance."
Aujourd'hui, comme chaque fois que nous célébrons la messe, nous sommes tous invités à vivre, en union avec le Christ, cette expérience pascale : elle nous introduit dans la joie éternelle dont nous avons à être les témoins en ce monde.
Mais son destin bascule dans la nuit du 3 au 4 juin 1989, au moment où l'armée tire sur les manifestants de la place Tiananmen, auxquels il s'est joint. Recherché par les autorités, il est emprisonné pendant deux ans avant d'être libéré pour raison médicale. Interdit de territoire chinois, Han Dongfang a trouvé refuge à Hong Kong, d'où il mène son combat pour la défense des travailleurs de Chine grâce à son organisation, le China Labour Bulletin. Après 20 ans d'activisme, Han Dongfang est aujourd'hui l'homme le plus écouté du monde ouvrier chinois.
Gérardmer :
15h00 : Mariage : Nicolas MOREAU et Louise BASTIEN
18H00 : Messe : José PITA -Guy DENYS- et Manuel BATISTA
Gérardmer : Messe de la Première Communion
10h00 : Messe :
Pour Antoinette VIRY – Défunts famille SCHEER, GERBAUD – Gilberte GEORGEON et la famille GEORGEON, NICHINI – Françoise et Yvette RENAUDIN Odile CADOT, Michèle RIMPAULT, BEDEZ – Paul PIERREL et son épouse et fam. alliées – Madeleine CHOPOT – Marcel DURAND 5ème anniv. , Arnaud BASTIEN et les défunts de la famille
Le Tholy : 1ère Communion d’Émile MARTIN et Flavien DEFRANOUX :
10h00 : Messe :
Pour pour tous les paroissiens, les défunts : Élie THOMAS et les défunts des familles THOMAS- CHONAVEL, Marcel PÉCHÉ et Patricia, Germaine THIRIET, Familles DEFRANOUX- NUFFER.
Gérardmer : 18h00 : Messe :
Pour Abbé Jacques Barbe et les prêtres défunts de la paroisse-
Le Tholy :
14h00 : Au Presbytère : Réunion de l'équipe du Rosaire.
Gérardmer :
16h00 : Groupe de prière avec les résidents à la chapelle de Clair Logis-
17h15 : Chapelet à la chapelle Saint-Gérard de l'église
18h00 : Messe
Gérardmer :
9 h 15 : Clair Logis : Célébration pour les résidents -
18h00 : Groupe de prière du Renouveau au sous-sol de l’église
Gérardmer :
Confessions de 17h30 à 18h00 -
Adoration de 17h30 à 18h00
18h00 : Messe : Famille Demangeon-Pierrat- Défunts famille Triboulot-
Gérardmer :
15h00 : Mariage Romain Claude et Fanny Demaisy
18h00 : Messe :
Pour Jeannot MOREL et fam- Famille Pierre IMHOFF et ses sœurs- Jean et Lucette TOUSSAINT
Xonrupt :
16h00 : Mariage : Jean-Baptiste Madika et Noémie Leport-
Gérardmer : Fête de la Sainte Trinité - Confirmation de 9 jeunes-
10h00 : Messe :
Pour Émile THIMONT- Annabelle et Alain DORIDANT- Yvette RENAUDIN et famille- Jean-Claude LAUG- Guy DENYS – Jeannot WILLMANN- IMHOFF- Emmanuel MILLOT -
Le Tholy :
10h00 : Adap :
Pour tous les paroissiens, les défunts : Odette VOIRIN, Vivants et défunts de la famille FRANÇOIS, Marie-Louise et René MAURICE et famille BOULAY
Les demandes de messes doivent être faites 15 jours avant la célébration souhaitée :
au presbytère de Gérardmer, chaque matin de 9h30 à 11h30 (permanences le matin).
Ou pour le Tholy : Auprès d'Odile Mansuy : XX.XX.XX.XX.XX
En sortant du Temple, Jésus vit sur son passage un homme qui était aveugle de naissance.
Ses disciples l'interrogèrent : « Rabbi, pourquoi cet homme est-il né aveugle ? Est-ce lui qui a péché, ou bien ses parents ? »
Jésus répondit : « Ni lui, ni ses parents. Mais l'action de Dieu devait se manifester en lui.
Il nous faut réaliser l'action de celui qui m'a envoyé, pendant qu'il fait encore jour ; déjà la nuit approche, et personne ne pourra plus agir.
Tant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde. »
Cela dit, il cracha sur le sol et, avec la salive, il fit de la boue qu'il appliqua sur les yeux de l'aveugle,
et il lui dit : « Va te laver à la piscine de Siloé » (ce nom signifie : Envoyé). L'aveugle
Les trois lectures de ce jour orientent nos regards sur la claire vision que Dieu donne aux hommes.
La première lecture, avec le choix du jeune David, enseigne qu'il ne faut pas juger selon les apparences et que c'est le Seigneur qui inspire les bons choix, selon des critères qui ne sont pas forcement les nôtres.
Un vrai discernement n'est possible qu'avec l'aide de Dieu. L’évangile, qui correspond à celui du deuxième scrutin des catéchumènes, indique le moyen qui permet d'avoir une juste vision des choses : il faut de la lumière. Cette évidence sur un plan matériel demande une conversion si on envisage le regard spirituel. Jésus se présente comme la lumière qui vient dans le monde : il est même la lumière du monde. Par là il signifie que sans lui les hommes ne peuvent avoir une juste appréciation de ce qui fait leur vie.
Voir, c'est aussi comprendre. C'est ce que nous retrouvons dans l'expression courante : «Je vois bien ce que tu veux dire. » Mêlée à la question du voir, la
question du comprendre rebondit dans l’évangile.Les voisins de l'aveugle cherchent à comprendre comment celui-ci a été guéri. Les pharisiens veulent comprendre mais refusent de croire. Ils sont perdus entre leur ignorance de l'origine du Christ et le constat de la guérison de l'aveugle. Quant à l'aveugle, il croit en la parole de jésus et il lui obéit. Ainsi il peut voir et reconnaître en Jésus le Fils de l'homme. Par là nous apprenons qu'il faut croire pour comprendre. En conséquence, par l'illumination du baptême nous pouvons devenir nous-mêmes lumière (deuxième lecture).
C'est ce que nous entendons au baptême lors de la remise du cierge allumé : « C'est à vous, parents, parrain et marraine, que cette lumière est confiée. Veillez à l'entretenir : que ces enfants, illuminés par le Christ, avancent dans la vie en enfants de lumière et demeurent fidèles à la foi de leur baptême,»
Comme les disciples s'étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Aucun homme ne peut servir deux maîtres : ou bien il détestera l'un et aimera l'autre, ou bien il s'attachera à l'un et méprisera l'autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l'Argent.
C'est pourquoi je vous dis : Ne vous faites pas tant de souci pour votre vie, au sujet de la nourriture, ni pour votre corps, au sujet des vêtements. La vie ne vaut-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que les vêtements ?
Regardez les oiseaux du ciel : ils ne font ni semailles ni moisson, ils ne font pas de
Dans le Sermon sur la Montagne, Jésus révèle à ses disciples que Dieu est Père. C'est cette révélation qui justifie les exigences rappelées par Matthieu ces derniers dimanches, qui formeront le socle de la piété authentique énoncée le mercredi des cendres pour être mises en pratique tout au long du Carême.
La dernière série d'exhortations que nous entendons aujourd'hui porte sur la confiance des disciples envers le Père. « Servir Dieu » plutôt que l'argent (évangile), c'est savoir discerner le vrai trésor et les vraies valeurs. Mais alors comment gérer le quotidien ? « Ne vous faites pas de souci», répond Jésus. Ce verbe revient six fois. Il évoque moins une disposition psychologique que les domaines pratiques pour lesquels l'homme dépense en priorité ses énergies.
La confiance envers le Père n'implique pas une désertion du travail et de l'effort humain, mais un engagement dans les relations d'amour prônées par Jésus.
Celui qui prie le Notre Père découvre qu'il ne vit pas seulement de ce qu'il produit, et que son sort ne dépend pas d'abord de ce qu'il fait. Il est au fond un être qui demande et qui reçoit. Le Dieu de Jésus n'est pas un dieu qui exige et menace, qui châtie et condamne, mais le Dieu qui s'approche et qui donne. Il nous fait être par surabondance de vie. Sa générosité ne se crispe pas sur le don qu'il fait : le lis des champs s’épanouit au soleil de Dieu, l'oiseau est libre comme l'air : comment imaginer que Dieu puisse aliéner la plus précieuse de ses « œuvres » ? Le Père que Jésus nous apprend à aimer est libérant parce qu'il est, en lui-même, parfaite liberté.
En suivant Jésus, nous accueillons la grâce de devenir libres sous le regard de l'Amour. Avec Jésus nous rendons grâce.