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Patrimoine

La Petite église - La Cathédrale - Les trois abbayes - Les mises au tombeau - Église Notre-Dame - L'abbaye Notre Dame d'Autrey

La Petite église

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La «Petite église» de Saint-Dié est héritière de l’église dédiée à la Vierge à l’origine du monastère. Ce premier sanctuaire, centre de dévotion mariale pour les moines et les fidèles d’alentour, associe le culte marial et la vie monastique (ce qui est fréquent dans l’histoire du monachisme). L’édifice actuel, datant des XIè et XIIè. s., est un ancien lieu de culte marial du diocèse, et jadis lieu de pèlerinage fréquenté. On sait qu’à la veille des guerres de religion, les murailles de l’église Notre-Dame de Saint-Dié étaient tapissées de béquilles, de chaînes, en reconnaissance d’infirmes guéris et de captifs libérés par l’intermédiaire de la Vierge.

Beau spécimen de l’art roman de l’Est de la France, avec l’alternance des piles fortes et faibles, et sa décoration de billettes. Elle est jolie à voir aussi de l’extérieur, sur le chevet et les absidioles. Gloire et protection de la cité, consolation d’une population souvent éprouvée, la Petite église a encore été épargnée de la destruction dont la ville et la cathédrale furent victimes en 1944.

En 1777, la ville des chanoines devient le siège du nouveau diocèse, érigé par démembrement du diocèse de Toul. Le dernier Grand Prévôt du Chapitre devient le premier évêque du diocèse de Saint-Dié. Aujourd’hui, l’évêque de Saint-Dié et les principaux services du diocèse sont établis à Épinal, ville beaucoup plus centrale, mais le diocèse conserve l’appellation de Saint-Dié où demeure la Cathédrale.

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La Cathédrale

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La Petite église «Notre-Dame-de-Galilée» forme avec le cloître et la cathédrale une Trilogie à visiter. La Cathédrale, dynamitée par la Wehrmacht en 1944 a été reconstruite à l’identique, nef romane, transept et chœur gothique. Des vitraux contemporains, réalisés sous la direction de Jean Bazaine, évoquent la "résurrection" de la cité longuement sinistrée à la période de la 2° ; guerre mondiale.

Textes inspirés du livre "Ils sont nos aïeux..."
Les saints de chez nous
du Chanoine André LAURENT.

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Les trois abbayes

— Étival
— Moyenmoutier
— Senones

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Les mises au tombeau du diocèse de Saint-Dié

Au XVème siècle, fin de la guerre de cent ans, la population vient de faire l’expérience de la misère et de la mort.

La sculpture de l’époque en est profondément marquée, témoins ces magnifiques mises au tombeau que nous trouvons dans les églises de Neufchâteau (église Saint-Nicolas), Bulgnéville, Charmes, Monthureux sur Saône et Saint-Maurice à Épinal.

Ainsi durant la Semaine Sainte, nous vous proposons de méditer auprès de quelques mises au tombeau particulièrement remarquables de notre diocèse. Que ce soit pour vous une invitation à aller les contempler ... sans oublier toutes les autres.

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Église Notre-Dame d'Épinal

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L’église Notre Dame est vraiment l’église du 20ème siècle à Épinal : elle en connut toutes les vicissitudes. Fille de l’église Saint Maurice elle naît le 10 juin 1900. Rue Boulay de la Meurthe, ce jour là, le vicaire général Legros, représentant l’évêque, en pose la 1re pierre au milieu d’un grand concours de peuple.

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