Quelles sont les origines de l'Epiphanie ? Pourquoi fête-t-on l'Epiphanie ? Pourquoi découpe-t-on une part supplémentaire dans la galette ? En bref, quelques éléments de réponses.
Tout d'abord, l'Evangéliste St Mathieu rappelle le contexte.
« Jésus étant né à Bethléem de Judée, au temps du roi Hérode, voici que des mages venus d'Orient arrivèrent à Jérusalem en disant: "Où est le roi des Juifs qui vient de naître? Nous avons vu, en effet, son astre à son lever et sommes venus lui rendre hommage." A la vue de l'astre ils se réjouirent d'une très grande joie. Entrant alors dans le logis, ils virent l'enfant avec Marie sa mère, et, se prosternant, ils lui rendirent hommage; puis, ouvrant leurs cassettes, ils lui offrirent en présents de l'or, de l'encens et de la myrrhe » Evangile de Matthieu au chapitre II
La fête de l'Épiphanie célèbre la manifestation de Jésus-Christ aux mages venus pour l’adorer.
En France, cette fête est célébrée le dimanche qui suit le 1er janvier.
Tout d'abord, l'Evangéliste St Mathieu rappelle le contexte.
« Jésus étant né à Bethléem de Judée, au temps du roi Hérode, voici que des mages venus d'Orient arrivèrent à Jérusalem en disant: "Où est le roi des Juifs qui vient de naître? Nous avons vu, en effet, son astre à son lever et sommes venus lui rendre hommage." A la vue de l'astre ils se réjouirent d'une très grande joie. Entrant alors dans le logis, ils virent l'enfant avec Marie sa mère, et, se prosternant, ils lui rendirent hommage; puis, ouvrant leurs cassettes, ils lui offrirent en présents de l'or, de l'encens et de la myrrhe » Evangile de Matthieu au chapitre II
La fête de l'Épiphanie célèbre la manifestation de Jésus-Christ aux mages venus pour l’adorer.
En France, cette fête est célébrée le dimanche qui suit le 1er janvier.
La tradition veut que l'on partage la galette en autant de parts que de convives, plus une. Cette dernière, appelée « part du Bon Dieu », « part de la Vierge » ou « part du pauvre », était destinée au premier pauvre qui se présenterait au logis.
Publié le 27/12/2010 par Christophe CHEVARDÉ.