...
Vous êtes tous chaleureusement invités à y assister.
... ------------------------------------------------------------------------------------------------------ --------------------------------------------------------------------------------------
Pour faire connaissance avec Jean Aubin :
...
Successivement agriculteur, maraîcher bio, professeur de mathématiques (du collège aux classes préparatoires), Jean AUBIN a également participé à divers mouvements d’Eglise.
Des questions sans réponses font qu’il a fini par ne plus se reconnaitre chez lui dans cette Eglise qui, lui semble-t-il, n’est plus le lieu privilégié pour tenter de vivre ensemble l’appel à la conversion qu’est l’Evangile.
C’est l’objet de la première partie de son livre intitulé « J’ai quitté l’Eglise…Que reste-il de ma foi ? » (Edition Planète bleue-2013-18 €).
Il a également contribué à la réflexion et à l’information sur les déséquilibres sociaux et écologiques du monde en publiant plusieurs ouvrages. A chaque fois il s’inquiète face à la croissance sans fin de la consommation des ressources disponibles, sur une Terre si fragile et résume une de ses préoccupations majeures en une formule « Il ne s’agit pas de sauver la planète, mais l’humanité ».
C’est l’objet du deuxième thème de son livre : le risque de la finitude de la planète appelle au partage des ressources entre tous. Il approche la crise écologique à la lumière de l’Evangile.
Comme lien entre ses deux grands sujets de réflexion, Jean AUBIN voit une «double injonction évangélique de sobriété et de solidarité». Il estime qu’il est temps pour les chrétiens d’être moins indifférents à la nécessité de conversion du mode de vie. Il va jusqu’à poser la question suivante : faut-il décroître pour sauver l’humanité ? Décroître c’est produire et consommer moins tout en partageant plus et mieux.
Jean AUBIN est indiscutablement un «lanceur d’alerte», il nous interroge sur la course débridée dans laquelle l’humanité s’est engagée et qui sans renforcement de la solidarité et du partage l’entraîne vers un cap illusoire.
...
... La couverture du livre :