Soucieux de précision, ils utilisent enquêtes, études et documentation disponibles. L'inspiration qui les anime est la foi chrétienne.
Ils proposent des informations brèves sur ce site.
Il existerait 45 millions de serveurs dans le monde. Google à lui seul en possède plus d’un million.
En Europe de l’Ouest, la facture énergétique de l‘ensemble de ces « fermes de serveurs » ( l’alimentation électrique des « vaches » des « data centers ») aurait atteint 4, 9 milliards d’euros.
Par ailleurs, pour un kilowatt dépensé pour un serveur, un autre kilowatt est nécessaire pour en dissiper la chaleur.
Dans 10 ans, les serveurs informatiques américains rejetteront autant de CO2 que le transport aérien aux Etats-Unis.
La réduction de cette consommation d’énergie n’est pas sans solution. Deux pistes, en particulier, sont ouvertes :
L'organisation de l'ARS est maintenant précisée. En particulier la composition de la conférence régionale de santé et la composition de la conférence territoriale.
Voir : Actualités sociales hebdomadaires N° 2654 et 2655
En France, un colloque récent a examiné diverses formules pour soutenir les « aidants familiaux ».
On trouve des informations sur les sites suivants :
assises de proximologie
proche de malade
Cette année 2010 sera une année sur la « lutte contre la pauvreté ».
L’Union y consacrera 28 millions d’euros.
Les faits : 79 millions de personnes, c’est-à-dire 16 % de la population européenne vivent sous le seuil de pauvreté, cela signifie qu’elles vivent avec moins de 60 % du revenu médian de leur pays .
Cette campagne vient en surplus de l’aide alimentaire qui existe au niveau de chaque État que la campagne doit s’organiser .
Le déficit de l’Etat, en 2009, s’établit à 138 milliards d’euros ce qui constitue un niveau historique. Le déficit était, en 2008, de 56,6 milliards d’euros.
Trente années de déficit budgétaire en France. Les comptes publics ont été équilibrés, pour la dernière fois, en 1979, Raymond Barre était alors 1er Ministre.
Le déficit est devenu chronique, c’est à dire déconnecté de la conjoncture.
En effet, il ne devrait y avoir que des déficits conjoncturels dans les phases de ralentissement économique, compensés par des excédents dans les phases de reprise. Or, en France, cet effet stabilisateur n’a jamais trouvé sa place.
Une certaine accoutumance a perverti le système. Or, le déficit d’hier alimente la dette d’aujourd’hui qui alimente le déficit de demain.
Les critères de Maastricht plafonnent le déficit public à 3% du PIB, nous en sommes, en 2009, à 8,3%
Or L’Etat ne rembourse pas sa dette. En effet, seule la charge de la dette, c’est à dire les intérêts versés, est inscrite au budget 2010, soit la somme de 42,5 milliards d’euros ce qui constitue le deuxième poste budgétaire de l’Etat.
Les emprunts levés par l’Etat s’enroulent année après année, et la possibilité de voir à l’avenir le montant nominal de la dette décroître s’amenuise avec le temps.