Voir la liste des paroisses du diocèse de Saint Dié des Vosges
Voir la liste des communes pour connaitre sa paroisse
Paroisses
Nous sommes heureux d’héberger, dans notre bâtiment de « la familiale »,
Pour les accueillir, venez nombreux assister à leur messe de rentrée, dans notre église :
et pour les scouts qui le désireraient, renouveler avec eux leur engagement.
Nous nous retrouverons ensuite pour le verre de l’amitié dans la grande salle dans la cour près de l’église.
Pour les membres de la communauté,
Michèle SCHNEIDER, déléguée à la communication.
Pour préparer et fêter Noël,
La paroisse Saint Brice vous invite à la célébration pénitentielle à l’église de Thaon
Le lundi 15 décembre 2014 à 18h30.
Grands et petits, nous avons tous besoin du pardon de Dieu car dit le prophète Isaïe :
« Fortifiez les mains défaillantes, affermissez les genoux qui fléchissent, Dites aux gens qui s’affolent : Prenez courage, ne craignez pas. Voici votre Dieu ! Il vient pour vous sauver ».
Venez célébrer la miséricorde de notre Dieu.
P. Gilbert NZENZEMON
En Orient, le concile d’Ephèse de 430 a exalté la maternité divine de Marie et donné un grand relief à la célébration de la naissance humaine du Fils de Dieu. Dans ce contexte, les semaines qui précèdent la double fête de Noël et de l’Epiphanie constituent une sorte de méditation anticipée sur la venue du Sauveur et le salut opéré par la divination de la nature humaine. Les liturgies orientales s’octroient quatre ou cinq semaines pour chanter les événements qui ont préparé la naissance du Messie, les personnages qui ont joué un rôle déterminant dans cette préparation, en premier lieu Jean-Baptiste et la Vierge Marie, mais aussi tous les saints de l’Ancien Testament et enfin la transformation du monde désormais habité par le Dieu fait homme.
A Rome, c’est seulement au VIème siècle que l’Avent trouve son organisation durable. C’est seulement au VIII-IXème siècle que les messes de l’Avent passent au début de l’année liturgique. En 1963, la Constitution sur la liturgie de Vatican II déclarait que l’Eglise "déploie tout le mystère du Christ pendant le cycle de l’année, de l’incarnation et de la nativité jusqu’à l’Ascension, jusqu’au jour de la Pentecôte, et jusqu’à l’attente de la bienheureuse espérance du Seigneur"
Le temps de l’Avent a un double objet : "C’est le temps de la préparation de Noël, où on célèbre la première venue du Fils de Dieu chez les hommes ; c’est aussi le temps où, à travers ce souvenir, les esprits s’orientent vers l’attente de la seconde venue du Seigneur à la fin des temps". L’attente chrétienne trouve son expression spontanée dans les textes prophétiques inspirés par l’attente du Messie : Isaïe et Jean-Baptiste sont à Rome les deux grandes voix de la liturgie de l’Avent.
22 NOVEMBRE 2014
Betty Bourion nous a accueillis et a annoncé son programme. Nous étions plus d’une soixantaine.
Elle nous a présenté Raphaëlle Claudel qui est responsable diocésaine de la pastorale et des membres des organismes et visiteurs de la santé.
La pastorale chemine dans le monde de la santé. On est envoyé vers les personnes seules, malades, handicapées et vers les soignants, dans les hôpitaux, les EHPAD.
Le SEM va à domicile : hospitalisation à domicile, établissement psychique (là, il faut être extrêmement formé)
Il y a un problème de remplacement dans les équipes
Comment répondre au service que l’on attend de nous ?
La formation et le stage peut durer jusqu’à un an. On peut se ressourcer dans l’équipe et la prière. Il faut être en bonne santé.
Le service d’église dépend de l’Evêque, la fraternité d’un président.
Le service de l’évangile pour les malades se rattache à la diaconie. C’est le prêtre qui envoie la personne, après une formation initiale. Elle signe une charte dans les hôpitaux, s’engage à participer et dresse une liste qui est remise à l’administration. Elle suit les règles du service public.
Elle signe une convention dans les établissements privés
Quelque soit la religion, il y a possibilité de rencontrer quelqu’un
- Claude DURUPT est vicaire général de la santé.
- Paul HOUDAYE : prêtre accompagnateur
- Mireille GAUDIN : aumônière en gériatrie
- Sylvie VIROT : aumônière à Durkheim à Epinal
- Marguerite GRANDJEAN : relais avec les personnes handicapées. La Fraternité est un mouvement d’église
- Ghislaine LONE : visites, interrogations sur Dieu ou la souffrance
- Jean Yves THERENE : en psychiatrie, présence d’église
SERVICE EVANGELIQUE DES MALADES ET PERSONNES AGEES :
tenir la main, aider les personnes à aller en maison de retraite
PASTORALE DES PERSONNES HANDICAPEES :
marcher au pas des personnes les plus fragiles
SERVICE EDUCATIF MAS :
responsable SEM
ASSOCIATION LA PAIX :
don de vêtements, de savons etc. Une école a confectionné des capes. Possibilité de faire des dons.
FRATERNITE :
réunions, bulletins trimestriels
TEMOIGNAGES :
- Marie-Louise RANCAN : va voir les personnes à domicile, fait la connaissance avec la famille, apporte la communion. Les réunions de SEM, la prière, la bible, l’eucharistie l’aident.
Vous trouverez l’intégralité de son témoignage ci-joint - Marie Christine AUBEL : équipe de l’hôpital, diaconie, funérailles, St Vincent de Paul à domicile et EHPAD . Elle trouve appui auprès des spécialistes. Il faut être attentif à celui qui peut en avoir besoin. J’ai de l’importance aux yeux de Dieu.
- Xavier DUBOC : Il est ce quelqu’un qui vient à la rencontre en toute humilité en suivant les pas du christ
PERSONNES RELAIS DANS LES COMMUNAUTES
- Sainte famille :Marie Christine AUBEL
- Saint Maurice : Line Szuc
- Notre Dame : Dominique Bassi
- Ste Maria Goretti : Monique Kieffer, Ange Marie COLNET
- St Pierre Fourrier : Marie-Lise MATHIS
- Saint Laurent : Elisabeth MANGIN
- Saint Antoine : Colette NARDIN
- Saint Paul et Paroisse St Göery : Betty Bourion
Lorsque j’ai été sollicitée pour m’engager au SEM, c’est tout naturellement que j’ai accepté, puisque m’occupant déjà des personnes âgées.
Déjà en étant jeune, je visitais une personne seule dans une grande maison et qui se déplaçait difficilement à l’aide d’une chaise (elle n’avait pas de déambulateur) .
Elle mettait une dizaine de minutes pour venir ouvrir sa porte. Pour lui éviter ces déplacements difficiles, nous avions trouvé la solution de descendre la clé dans un petit panier par la fenêtre. Lorsque sa santé s’est dégradée, elle fut placée à Golbey, et lorsque je suis venue la voir, elle m’a dit : « ne venez plus mon enfant, ce n’est pas un endroit pour vous »
Je l’ai quittée avec beaucoup de tristesse et de questions !
Quelques années plus tard, je travaillais dans ce même service, revoyant en pensée, cette personne âgée sans visite, car sa famille habitait dans le sud de la France ; son souvenir ne m’a jamais quitté.
C’est pourquoi après mon travail en milieu hospitalier (où je visite encore à ce jour des résidants comme à l’époque)j’ai choisi de visiter les personnes à leur domicile car j’entre plus dans leur histoire avec ce qui fait leur vie : leurs difficultés, leurs peines, leurs joies, parfois avec leur famille, me partageant leur quotidien, me faisant faire la connaissance de leurs enfants, petits enfants, en me montrant les photos exposées dans les cadres.
Quand je suis un moment sans les voir, je leur téléphone pour prendre de leurs nouvelles où c’est elles qui me téléphonent.
Mon service d’Eglise est aussi en leur apportant la communion, qu’elles attendent avec bonheur en regardant la Messe à la télévision lorsque j’arrive un dimanche, ou en lisant les lectures du jour de « Prions en Eglise » les autres jours ; parfois des larmes coulent ! Une personne âgée a désiré recevoir la communion le jour-anniversaire de la mort de son fils….
Tant de vécu différent pour chacune d’elle.
Je les accompagne également lorsqu’elles désirent le sacrement des malades.
Je n’ai pas tellement avec elles de temps de silence sauf pendant la prière, mais beaucoup plus de récits sur leur passé ; cela me demande beaucoup d’écoute, de présence, d’attention et comment répondre à certaines questions, dont je n’ai moi-même pas la réponse !
Les réunions du SEM m’aident en partageant et échangeant entre nous, en exprimant toutes difficultés ou questionnement, ou tout ce que notre engagement nous apporte : nous informant sur ce service d’Eglise, par la venue d’autres personnes engagées elles aussi dans d’autres mouvements, et notre Diacre, qui nous apporte aide et conseil.
Il y a aussi les journées de formation régulières pour les visiteurs de malades, très enrichissantes et toutes les diverses conférences à la Maison Diocésaine, qui élargissent notre vue sur les différents thèmes abordés ; ainsi que la rencontre des soignants, bien que je sois à la retraite.
Pour moi, il est indispensable de prendre le temps de la prière, de la lecture de la Bible et d’autres livres, mais surtout la rencontre de Dieu dans l’Eucharistie ;
en lui confiant toutes les personnes rencontrées et en puisant la force pour aller vers les malades et tous mes frères en humanité.
Article et Photos de Michèle SCHNEIDER,
Déléguée à la communication.
Pour s'inscrire copier le lien dans votre navigateur http://www.aventdanslaville.org/inscription Savourer la Bible au quotidien dominicain
Grâce aux dominicains, Signe dans la Bible nous parle de Dieu et des hommes sur Internet.
Je reproduis ci-dessous la méditation du vendredi 12 septembre.
Jérusalem épousée (Livre d'Isaïe 62, 1-5)
On ne t'appellera plus : « La délaissée », on n'appellera plus ta contrée : « Terre déserte », mais on te nommera : « Ma préférée ».
"Le croyons-nous seulement ? Toute cette longue histoire, depuis le modelage de chaque tournesol, et le tissage de chaque nuage, depuis la création de l’homme, cheveu après cheveu, beau comme son Dieu, jusqu’au banquet des noces éternelles où chacun, oui chacun, toi, moi, a une place tout près du Fils unique, toute cette longue histoire est une histoire de fiançailles, de noces et de joie, entre le Dieu du ciel et sa création."Nous sommes la préférence de Dieu. Nous sommes la joie de Dieu. Et la tristesse vient de ce que la plupart de nos contemporains ne l’entendent pas, car nous ne savons pas leur dire avec des mots qui les réveilleraient.
"Peut-être aussi parce que nous ne le croyons pas assez.
"Toi, mon frère, ma sœur, qui me lis dans la nuit ou la peur, tu es le diadème de Dieu, comme moi, avec moi. Toi qui te crois indigne, tu es la fierté du Père, comme nous tous.
"Pour toujours, Dieu s’est fait homme et il est avec toi, avec nous. Pour toujours, même dans l’affront, même dans les procès iniques, mais dans la faute, même dans la mort, même jusque dans les enfers, il reste avec toi, avec nous, pour nous emmener, un par un, par la main, au festin promis. « Je n’ai perdu aucun de ceux que tu m’as donnés » (*).
"Oui, le roi de pauvreté couronné d’épines fait de nous des princes. Il est près de nous comme le fiancé près de celle qui l’aime, confiant et sûr de son amour.
"Dieu ne doute pas de nous.
"Bouleversante confiance qui fonde notre foi. Qui que tu sois, d’où que tu viennes, notre Dieu croit en toi. Jette-toi dans ses bras."