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Paroisses
C’est le sacrement qui donne l’Esprit Saint pour nous enraciner plus profondément dans notre vie d’enfant de Dieu, nous unir plus fermement au Christ, rendre plus solide notre lien à l’Église, nous associer davantage à sa mission et nous aider à rendre témoignage de la foi chrétienne par nos paroles et nos actions.
Pourquoi demander la confirmation ?
Parce que nous avons besoin de la force de l’Esprit pour vivre et annoncer l’Espérance de Jésus-Christ.
Parce que notre vie chrétienne parvient à sa plénitude par le don de l’Esprit reçu à la confirmation.
Parce que l’Eglise a besoin d’hommes et de femmes confirmés pour porter la Bonne Nouvelle.
Parce que le monde attend cette Bonne Nouvelle.
Le jour de la Pentecôte, les disciples se trouvaient réunis. Soudain vint du ciel un bruit pareil à celui d’un violent coup de vent. Toute la maison où ils se tenaient en fut remplie. Ils virent apparaître comme une sorte de feu qui se partageait en langues et qui se posa sur chacun d’eux. Alors ils furent tous remplis de l’Esprit Saint. Ils se mirent à parles en d’autres langues, selon ce que l’Esprit leur donnait de dire. Actes des Apôtres 2,1-4.
Confirmation des adultes
Il n’y a ni âge ni condition préalable pour demander la confirmation, juste le désir de faire un pas de plus dans la vie chrétienne, de demander à l’Esprit qu’il déploie ce que vous avez déjà reçu au baptême.
Un parcours vers ce sacrement de l’initiation débutera à la pentecôte 2015 lors du rassemblement diocésain.
D’ici là, si vous avez le désir d’être confirmé, contactez le service du catéchuménat. La confirmation aura lieu dans le temps pascal 2016.
Des petites équipes par zone, au plus près de chacun, se constitueront avec des rencontres régulières et des rendez-vous diocésains.
C’est l’occasion pour ceux qui tentent l’aventure de prendre le temps de parler de ce qui les anime en profondeur. Invitation à reconnaitre l’amour de Dieu dans son histoire, à laisser résonner la Parole de Dieu avec ses propres paroles, à prier, à connaitre davantage le Christ, à trouver sa manière de le suivre au quotidien.
Tout cela avec des compagnons de route : les liens tissés, les échanges conduisent à une plus grande maturité dans la vie et dans la foi.
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1,29-39.
En ce temps-là, aussitôt sortis de la synagogue de Capharnaüm, Jésus et ses disciples allèrent, avec Jacques et Jean, dans la maison de Simon et d’André.
Or, la belle-mère de Simon était au lit, elle avait de la fièvre. Aussitôt, on parla à Jésus de la malade.
Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever. La fièvre la quitta, et elle les servait.
Le soir venu, après le coucher du soleil, on lui amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal ou possédés par des démons.
La ville entière se pressait à la porte.
Il guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies, et il expulsa beaucoup de démons ; il empêchait les démons de parler, parce qu’ils savaient, eux, qui il était.
Le lendemain, Jésus se leva, bien avant l’aube. Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait.
Simon et ceux qui étaient avec lui partirent à sa recherche.
Ils le trouvent et lui disent : « Tout le monde te cherche. »
Jésus leur dit : « Allons ailleurs, dans les villages voisins, afin que là aussi je proclame l’Évangile ; car c’est pour cela que je suis sorti. »
Et il parcourut toute la Galilée, proclamant l’Évangile dans leurs synagogues, et expulsant les démons.
PRIER, PRÊCHER, GUÉRIR
Les journées et les nuits de Jésus sont bien remplies, dès le début de son ministère en Galilée. Il prie bien avant l'aube, pour nourrir ce qui constitue le fond de son être, la relation avec le Père.
Il proclame la Bonne Nouvelle dans les synagogues qui deviennent, pour un temps, des relais de l'Évangile : celui-ci est, en effet, adressé en priorité aux fils d'Israël, membres du peuple avec qui Dieu a fait alliance.
Il guérit des malades : l'action de Jésus ne se borne pas à l'enseignement, fût-il extraordinaire ; il s'accompagne de la guérison des corps ; dans sa mission, l'un ne va pas sans l'autre. Il délivre ceux qui étaient possédés par des esprits mauvais.
En tout cela, il excelle : « Tout le monde le cherche. » C'est la période où sont donnés les signes du Royaume qui vient.
Ceux qui, après lui, seront appelés au ministère auront à l'imiter. C'est ce que fit saint Paul pour lequel l'annonce de l'Évangile n'était pas une tâche facultative, mais une nécessité, assumée gratuitement.
L'Apôtre, lui aussi, a donné un enseignement remarquable. En même temps, il a « partagé la faiblesse des plus faibles » et s'est « fait tout à tous » (deuxième lecture), il s'est soucié de soulager les détresses humaines qu'il rencontrait, à l'image de celles dont se plaint amèrement le malheureux Job (première lecture).
Aujourd'hui comme hier, ces deux orientations, l'annonce de l'Évangile et la compassion active, doivent marquer inséparablement la parole et l'action de celui qui annonce l'Évangile. Dans son témoignage, l'une soutient l'autre.
Enfin, il faut savoir que les périodes où le succès apostolique est au rendez-vous font place à des périodes d'épreuves. Jésus lui-même n'a pas été épargné. Malgré sa parole qui laissait les foules dans l'admiration, malgré ses guérisons qui suscitaient leur enthousiasme, il devait finir sur une croix, objet de dérision.
C'est le Père, et non pas les foules, qui allait lui conférer la gloire véritable.
Elle a été instituée lors de la Cène. Ce geste est particulièrement commémoré lors de la célébration du Jeudi saint où le Christ s’offre à son Père.
L’Eucharistie structure la vie chrétienne, elle la ponctue, elle est la respiration dans la vie spirituelle. C’est une actualisation de la Pâque et non pas sa répétition ou son simple souvenir. L’Eucharistie, ou la messe, est un rappel de la dernière Cène, de la mort et de la résurrection de Jésus Christ.
Les symboles du pain et du vin:
Le pain et le vin, nourritures de base
Le blé qui permet de faire du pain est pour beaucoup la principale source de nourriture. Quand la récolte est mauvaise, c’est la famine. Même dans les pays dits développés, il a fallu attendre le XXe siècle pour que le cours du blé se stabilise et ne soit plus une cause de désastre économique.
Le pain, c’est donc la vie.
Notre langue se fait encore le reflet de cette importance : ne dit-on pas qu’on gagne son pain, c’est-à-dire de quoi vivre ? Voilà pourquoi on emploie volontiers l’image du pain de la route : c’est ce qui va permettre au voyageur de continuer son chemin sans faiblir. Déjà, dans le désert, Dieu avait donné la manne aux Hébreux.
Plus tard, il s’agit du pain pour le prophète Élie, en fuite et épuisé : "Mais voici qu’un ange le toucha et lui dit : « Lève-toi et mange ! » Il regarda, et voici qu’il y avait à son chevet une galette cuite sur les pierres chauffées et une gourde d’eau. Il mangea, but, puis il se recoucha. Mais l’ange de Yahvé revint une seconde fois, le toucha et dit : « Lève-toi et mange ! Autrement le chemin sera trop long pour toi. » Il se leva, mangea et but, puis, soutenu par cette nourriture, il marcha quarante jours et quarante nuits jusqu’à la montagne de Dieu, l’Horeb." (1 Rois 19, 4-8)
Quant à la vigne, elle fait partie, depuis la nuit des temps, des cultures méridionales. La Bible, dès la Genèse, parle de Noé le cultivateur, qui commença de planter la vigne. Il en subit d’ailleurs très vite les conséquences, puisque le vin l’enivre... (Gn 9, 20-21). Mais si l’on en use avec modération, le vin apparaît comme un complément indispensable de la nourriture solide : "Le vin, c’est la vie pour l’homme, quand on en boit modérément. Quelle vie mène-t-on privé de vin ? Il a été créé pour la joie des hommes. Gaieté du cœur et joie de l’âme, voilà le vin qu’on boit quand il faut et à sa suffisance." (Si 31, 27-28)
C’est dans cette optique qu’on peut lire le récit des noces de Cana, où Jésus transforme l’eau en bon vin, pour tous les invités.
Fruits de la terre
Ainsi qu’il était dit dans la prière juive de bénédiction, reprise dans le texte de la messe, le pain et le vin sont issus de la terre. Le blé et la vigne, enracinés dans le sol, y puisent les énergies capables de les faire pousser en surface. Une fois jaillis à l’air libre, ils s’approprient aussi les énergies du ciel : pluie, vent, lumière, chaleur, toutes les forces du cosmos concourent à leur maturation. On peut ainsi dire qu’à travers eux l’univers s’invite à la table de l’homme. C’est pourquoi les religions antiques avaient déjà utilisé ces symboles.
Nourritures végétales
Mais là où les religions antérieures (qu’on se rappelle les marchands du Temple de Jérusalem, avec leurs brebis, bœufs et pigeons : Jn 2, 13-16) utilisaient les animaux pour les sacrifices rituels, Jésus n’a proposé que des nourritures végétales : le pain à la place de la viande, le vin à la place du sang. En effet, dans l’optique de la Genèse, Dieu a d’abord donné à l’homme, pour se nourrir, des plantes et des fruits. Le monde originel est sans péché, on n’y fait pas couler le sang, ni celui de l’homme, ni celui des animaux. Ce n’est qu’après le péché que la terre devient avare de ses dons et que l’homme consomme de la chair animale. De plus, il semble que Jésus, en utilisant le pain et le vin, à l’exclusion même de la chair de poisson, ait voulu marquer la rupture avec les cultes anciens, et instaurer, jusque dans les signes, la nouveauté de l’Alliance. Enfin, le sang réel ne sera versé qu’une seule fois : celui du Christ sur la croix, un seul sang versé une fois pour toutes. C’est bien ce qu’explique longuement la lettre aux Hébreux (9 et 10). Le culte chrétien n’aura donc pas à offrir d’autre chair, à verser d’autre sang : pain et vin suffiront à re-présenter l’unique sacrifice de la croix.
Évocation de la mort
Pain et vin ont en effet rapport avec la mort : le grain de blé doit mourir en terre pour donner une autre plante porteuse de nombreux nouveaux grains de blé. Voilà pourquoi Jésus s’est comparé lui-même à ce grain de blé : "Si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il demeure seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit." (Jn 12, 24). De façon analogue, les grappes de raisin devront être pressées, et comme saignées (la couleur rouge favorise évidemment la métaphore) pour devenir du vin. Ainsi le pain et le vin sont des signes suffisamment éloignés des sacrifices païens ou juifs pour éviter toute assimilation, mais assez évocateurs du sacrifice pour rappeler que Jésus est mort sur la croix pour la vie de tous.
Fruits du travail des hommes
Le pain et le vin sont aussi des produits du travail des hommes : la terre est labourée, le blé est semé, désherbé, récolté, vanné, broyé, mêlé à l’eau et cuit, avec ou sans levain, pour devenir pain. La vigne est, elle aussi, l’objet de soins attentifs : on la plante, on la taille, on récolte le raisin que l’on presse pour obtenir le jus qui se transformera en vin après d’autres soins encore. N’oublions pas que jusqu’à une époque très récente, l’agriculture occupait la majorité de la population ! À travers le pain et le vin s’exprime donc presque tout le travail des hommes. Ils évoquent aussi à merveille combien la multiplicité et la diversité des humains peuvent devenir unité : mille grains de blé font un même pain, mille grappes font un même vin.
Un repas partagé
On comprend dès lors mieux pourquoi le pain et le vin sont surtout destinés à être partagés, comme le Christ l’a fait avec ses apôtres au soir du Jeudi saint. Au-delà du besoin physiologique, individuel, de manger et de boire, le repas permet de s’asseoir à côté d’autres hommes, et de goûter cet aspect fraternel. Dans toutes les civilisations, partager le pain avec quelqu’un, c’est vraiment le reconnaître comme frère. Aussi est-il important de lier le symbolisme du pain et du vin avec celui du repas fraternel qui structure la messe dont l’un des premiers noms fut la fraction du pain (Actes 2, 42). C’est bien lorsque leur compagnon de route a rompu le pain que les disciples d’Emmaüs ont reconnu Jésus (Luc 24, 35). Au centre de ce repas, aliments de ce repas, le pain et le vin sont des signes qui, comme dans tout sacrement, réalisent ce qu’ils disent : le pain est la chair du Christ, le vin est le sang du Christ. Ils disent : vie ; ils disent : communion à l’univers et à Dieu.
Les personnes de la paroisses intéressées par des échanges autour du livret publié par le diocèse, peuvent venir :
Lundi 16 Février à 20 h à Nomexy dans les salles Saint-Laurent de Nomexy
- ou Vendredi 20 février à 14h30 dans les salles St Laurent de Nomexy
Lundi 23 février à 20 h à Châtel salle de l'église
- ou Vendredi 27 février à 14h30 dans les salles St Laurent de Nomexy
Lundi 2 mars à 20 h à Zincourt salle de la mairie
- ou Vendredi 6 mars à 14h30 dans les salles St Laurent de Nomexy
Lundi 9 Mars 20 h à Pallegney salle de la mairie
- ou Vendredi 13 mars à 14h30 dans les salles St Laurent de Nomexy
Lundi 16 mars 20 h à Vaxoncourt salle de la mairie
- ou Vendredi 20 mars à 14h30 dans les salles St Laurent de Nomexy
Pour avoir une idée du contenu des livrets de réflexion, vous pouvez consulter ce lien
FEVRIER 2015
- Samedi 31 Jan. St Georges 18h00 : P. OPI
- Dimanche 1er Fév. St Georges 10h00 : P. OPI
- Lundi 2 : Présentation du Seigneur (Journée Mondiale de la Vie Consacrée) Adoration à Bionville à 16h
- Mardi 3 : Réunion à EPINAL (Pas de messe à la cure)
- Jeudi 5 : Rassemblement des équipes du Rosaire : maison paroissiale : 9h-16h
- Vendredi 6 : Réunion à EPINAL
- Samedi 7 : St Georges 17h30 : CONFESSION INDIVIDUELLE
- Samedi 7 : St Georges 18h00 : Père OPI + Diacre André
- Dimanche 8 : St Georges 10h00 : ADAP : Diacre André
- RAON LES LEAU 10h00 : P. OPI
- Samedi 14 St Georges 18h00 : P. OPI
- Dimanche 15
- St Georges 10h00 : P. OPI
- VEXAINCOURT 10h00 : ADAP : Diacre André
- Lundi 16 : 9h00-16h00 : Récollection de carême des prêtres à Portieux.
- Mercredi 18 MERCREDI DES CENDRES St Georges 18h00 : P. OPI BIONVILLE 18h00 : Diacre André
- Vendredi 20 : Messe à l’Hôpital 15h00 : P. OPI
- 1° DIMANCHE DE CAREME Samedi 21. St Georges 18h00 : P. OPI Dimanche 22. St Georges 10h00 : P. OPI CELLES / PLAINE 10h00 : P. TOUBHANS
- Vendredi 27 : 15h-16h : 1ère Rencontre du Temps de carême à la maison paroissiale
- 2° DIMANCHE DE CAREME Samedi 28: St Georges 18h00 : Père OPI + Diacre André Dimanche 1er MARS : St Georges 10h00 : ADAP : Diacre André ALLARMONT 10h00 : P. OPI
Quelle joie pour nos oreilles
Le dimanche 25 janvier, deux chorales locales Chante à Loisir de Nomexy, renforcée par quelques membres de la chorale L’eau Vive de Cornimont, et Amitié et Joie de Portieux nous ont fait entendre leurs belles voix avec l’interprétation de quelques chants de leur répertoire parmi lesquels La marche des anges, les Corons, L’important c’est la rose ou encore S’il suffisait d’aimer, La Barcarolle, Le jazz et la Java.
En final, les deux chorales se sont réunies pour chanter Nabucco
Un moment très agréable que le public a bien apprécié.
L'équipe du Secours Catholique de Nomexy remercie le public pour sa générosité. Le bénéfice de ce concert permettra d’aider et soutenir des personnes en demande de secours et prises en charge par les bénévoles de l’association.Un grand Merci