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Assises - remontées du carrefour

Groupe de Christophe
—  Très heureux d’être aussi nombreux et de voir de nouvelles têtes.
—  Elargir, mobiliser dans un premier temps nos troupes. Etre baptisé n’est pas compliqué.
—  Etre attentif à la continuité : des jeunes ont été perdu en cours de route, il est donc bon d’assurer la continuité dans la pastorale pour les 18-35 ans. Cela se fait en était présent auprès des 16-18 ans. Il serait intéressant aussi de créer du lien avec les 35-50 ans et de préparer le passage.
—  Nous avons un gros travail à faire au niveau de la communication. Il nous faut faire le premier pas vers les jeunes, car ils ne viendront pas spontanément.
—  Faire vivre un lieu pour en faire un lieu d’écoute, ou les portes seraient toujours ouvertes. La maison diocésaine est tout à fait propice pour cela. Elle est bien située, proche de la gare. Il peut être intéressant pour nous devoir comment font les évangéliques.
—  Nous proposons le service de la liturgie avec la pastorale des 18-35 ans, puisse faire un nouveau carnet de chants commun pour tout de diocèse, pour permettre de renouveler le répertoire de chants.
—  Nous avons un souci supplémentaire en tant que chrétien.
—  Ne pas réduire l’Eglise à une maison avec des horaires de bureau.
—  Approfondir les piliers de la foi : l’annonce, la célébration et le service du frère.
—  Nous pouvons continuer la distribution du questionnaire pour interpeler les jeunes.

Groupe de Sophie et Henri

—  Eglise nous a beaucoup apporté, et on a le souci de pourvoir redonner ce qu’on a reçu, mais c’est en décalage avec ce monde.
—  Beaucoup de jeunes ont besoin d’être acteur, de vivre la mission, d’avoir des projets. C’est un moteur un moteur de vouloir progresser et faire progresser les autres.
—  L’église est une grande famille très soudée. Certains jeunes en périphérie ne se considérait pas si soudés à l’Eglise. Nous sommes tous investis, mais de manière très différentes. Ce qui permet d’œuvrer dans différent secteurs, avec le même but.
—  Nous sommes tous en chemin et nous avons besoin d’être en communion les uns avec les autres pour avancer.

Groupe de Céline

—  Nous avons commencé par nous poser la question : « Comment ca va ici et maintenant pour toi en tant que personne ? »
—  Comment être accepté en tant que chrétien, quand être catho devient une insulte qui est réel, surtout auprès des plus jeunes.
—  Différentes façons de vivre sa foi : les grands rendez-vous et les lieux de ressourcement ou l’on peu rendre un peu de distance avec le quotidien. Certains jeunes sont plus joyeux dans leur façon de vivre la foi. Il est difficile de trouver la communauté qui va nous correspondre. La messe est quelque chose de froid qui ne correspond plus à la façon dont les jeunes vivent leur foi au quotidien.
—  La messe est un lieu d’échange et de partage. Il nous semble juste de ne pas venir à la messe par obligation sociale ou confort. Est ce que c’est agréable d’aller à la messe pour moi ?
—  Le plus difficile est d’être du côté spectateur, alors que les jeunes ont envie d’être acteur d’une église vivante, les sœurs vietnamiennes ont témoigné de la place de tous dans la messe au Vietnam.
—  Le pape dit de prendre le pouvoir, de mettre la pagaille dans les paroisses. Si on veut que ça change c’est à nous d’agir, de donner la parole aux jeunes et de faire quelque chose.
—  On a tous des compétences, le tout c’est de le mettre aux services des autres.
—  Le Brésil donne l’exemple de la vie en communauté. Etre plus attentif aux entre en prenant soin de ceux qui arrivent dans une communauté, savoir où les gens en sont.

Groupe de Virginie

—  Fil rouge, qu’on retourne dans les prises de paroles : les jeunes ont envie de vivre quelque chose de vrai, d’intense et de continu dans l’Eglise. Il est ressorti la nécessité d’un lieu, un endroit où l’on puisse faire corps et Eglise malgré les diverses attentes. Un endroit où l’on puisse répondre aux défis de la société. Etre chrétien, c’est avoir les même soucis que les autre avec le souci supplémentaire d’apporter la bonne nouvelle. Pouvoir vivre à fond et de manières continues. Donner des perspectives à ce moment de vie, à la vie de prière de chacun.

Groupe de Marie

—  Etre chrétien ça rend heureux, mais malheureux de ne pas exister en tant que chrétien, accueil, écoute, partage réel.
—  La préoccupation des jeunes aujourd’hui est : qu’est ce qu’on va devenir ? C'est-à-dire avoir à manger, un toit, une famille. Il nous semble important que puisse se développer la solidarité entre la génération dans l’Eglise.
—  Nous voulons être témoin par l’exemple de vie, pourquoi t’es heureux ? Nous ne trouvons pas la nourriture pour notre foi dans la vie paroissiale, mais dans la bible, les sacrements, les moments forts où on est porté par des communautés.
—  Les jeunes chercher la vérité sur la vie chrétienne, la vraie rencontre avec le Christ, que leur foi soi concrète.
—  Pas faire des grandes œuvres, se qu’on veut

Intervention de Romain

—  Avec notre expérience de la célébration de la parole nous rejoignons des personnes défavorisées qui se sentent accueillies. Nous redonnons du sens aux différents symboles de l’eucharistie, nous pensons la transmettre la foi, comment le diocèse nous rejoint dans cette démarche ?
—  Il faut qu’on se rassurer et qu’on trouve des moyens pour rejoindre les personnes en périphéries. car les personnes n’ose pas faire, formation, pour les enfants c’est pauvre.
—  Il faut des rencontres pour progressivement monter les nouveaux projets.

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Publié le 27/11/2013 par Ruth.