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Atelier n° 1 : Proclamer la Parole
Quand je prends la parole… Quand je proclame la Parole… Que dit mon corps : est-il avec moi ou contre moi ? D’où vient mon souffle ? Mon souffle donne-t-il du souffle à l’autre ? Comment retrouver le souffle du texte ?
Par une approche originale, travailler sa voix, sa respiration, ses gestes. Vivre la dynamique des textes pour mieux les proclamer. Avec Vincent Buron
Atelier n° 2 : Conter la Bible
L’Ancien Testament est une histoire racontée, racontée pour être méditée.
Dans le Nouveau Testament Jésus s’adresse aux foules au travers de paraboles, il racontait pour enseigner.
Toute la Bible ne se prête pas à être racontée, mais certains récits de l’Ancien et du Nouveau Testament peuvent être repris avec nos propres mots pour donner ensuite le gout à ceux qui les auront accueillis d’aller les retrouver et les méditer à la source même qu’est la Bible.
Conter la Bible est un travail non seulement personnel d’appropriation, mais également un travail de groupe autour de la Parole. Avec Isabelle Thiebert
Atelier n° 3 : Exprimer la Bible par le dessin ou la peinture
Peindre, c’est expérimenter les liens entre sa tête, son cœur et ses mains… Une technique de communication pour libérer l’émotion qui est en chacun de nous. "La Bible nous parle de nous" P. Lefebvre.
S'exprimer en tant que chrétien à travers une technique (acrylique à la boulinox) laissera nos couleurs et la matière, rehaussées d'un symbole choisi, révéler par nos mains, notre ressenti de croyant." Avec Agnès Cauvé
Atelier n° 4 : La Bible vue par les peintres
De la Genèse à l'Apocalypse, la Bible a inspiré les artistes depuis les premiers siècles de l'ère chrétienne. De même, chaque époque a privilégié des thèmes particuliers car Église et société ont évolué passant d'heures sombres à d'autres plus glorieuses.
Cet atelier se propose de faire découvrir à partir d’œuvres d'art (sculpture, peinture et vitrail), le chemin parcouru par les artistes et la manière dont un même texte peut inspirer différentes représentations. Avec Claude Faltrauer et Pierre-Jean Duménil
Atelier n° 5: Atelier clown
Composition : outre son principe actif constitué de relations fraternelles très nourrissantes, cet atelier n’est composé que d’un seul excipient : le jeu. Il n’agit efficacement que s’il est utilisé pur (non dilué). Il est alors possible de le consommer sans modération (et si possible à plusieurs, cela aide à faire Église).
Fabricant : le laboratoire théologique Clown par Foi. Vous trouverez ses coordonnées virtuelles à l’adresse http://clownparfoi.cabanova.fr/ .
Dans quel cas s'inscrire ? Il est vital de ne vous inscrire qu’en cas d’en vie irrépressible et incontrôlable.
Contre-indication : Cet atelier est déconseillé aux personnes n’aimant pas rire, en particulier d’elles-mêmes.
Effet secondaire : vous ne pourrez plus voir le monde comme avant. N'ayez cependant aucune inquiétude, car le deuil est en général très court, et nous vous fournissons de nouvelles lunettes. Avec Philippe et Christel Rousseaux
Atelier n° 6 : Lire, rire, récrire la Bible
L'humour, l'impertinence, voire la caricature, font partie intégrante de l'écriture biblique. Variables selon les livres, dosés différemment selon les chapitres, ils ne sont en tout cas jamais absents.
L'atelier proposera de lire quelques textes bibliques (Ancien et Nouveau Testaments), de décrypter la "teneur" humoristique ou comique qui s'y trouve : comment fait-elle partie du texte ? Pourquoi y figure-t-elle ? Comment en tenir compte dans notre lecture et notre transmission de la foi ? _ L'atelier aboutira à l'élaboration de sketches, de mises en scènes, de récritures privilégiant l'aspect du sourire ou du fou rire. Avec Philippe Lefebvre
Atelier n° 7 : La Bible, tu te souviens ?
Il y a deux manières de partager la Parole de Dieu. On peut partir d’un texte et en faire résonner ensemble le sens. Mais on peut aussi, avant d’ouvrir le livre, partager sa mémoire de lecteurs. Emmaüs, tu te souviens ? Et la multiplication des pains ? Chacun contribue alors à la lecture commune en apportant sa part. Le texte est d’emblée reformulé avec nos mots, mis en relief par nos insistances ou nos oublis… Enfin, sa proclamation finale nous aide à mesurer l’écart entre ce que la Parole nous donne et ce que nous en recevons.
De cette expérience peut naître la joie de la rencontre nouvelle avec un passage de l’Ecriture que nous pensions souvent avoir depuis longtemps épuisé. Avec Olivier Bourion
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