Notre paroisse comprend 27 communes : Gelvécourt-et-Adompt, Bainville-aux-Saules, Begnécourt, Légéville-et-Bonfays, Bazegney, Bettegney-St-Brice, Bouxières-aux-Bois, Bouzemont, Circourt, Damas-et-Bettegney, Derbamont. Dompaire...
La Croix de Virine
On peut le penser, quand on entend la réponse d’un enfant : « Noël, c’est le sapin… et les cadeaux ! » Alors faut-il « baisser les bras » et se lamenter ? Nous avons beaucoup mieux à faire : c’est de nous rappeler, et de le rappeler à notre entourage, que Noël, c’est la fête de la solidarité, de la fraternité. Pourquoi ? Parce que, quand on fête la naissance de Jésus, le Fils de Dieu, on célèbre la solidarité que Dieu a voulu établir, par Jésus, avec tous les hommes. Jésus, le Fils, s’est fait le frère de tous, et toute sa vie, jusqu’à sa mort sur la croix pour nous sauver, nous le montre. Et il nous invite à nous comporter en frères vis-à-vis de tous, comme il l’a fait lui-même. « Osons la fraternité » : c’était le thème de la fête de notre Paroisse cette année, mais c’est aussi le thème de Diaconia, qui nous rappelle que chacun doit prendre sa part dans la lutte pour faire baisser les inégalités, et pour qu’aucune personne ne soit considérée comme « sans valeur » dans notre société. a
Michel Grivois Diacre
Avec le recul, on peut affirmer qu’il fut un précurseur dans la diffusion de l’Évangile sur les problèmes de notre temps.
L’idée de départ a porté du fruit puisqu’actuellement, le journal « l’1Visible » avec son supplément Croix de Virine est distribué dans tous les foyers de la paroisse.
N’oublions pas son engagement auprès de la jeunesse par l’organisation pendant de nombreuses années, de camps de vacances. Monsieur l’Abbé Roy fut un bon pasteur.
Roger Beaudouin
C’est d’abord une Église ouverte à chacun, plus pastorale, sachant accueillir avant de juger, une « Église de la miséricorde », qui facilite la foi au lieu de la contrôler. Elle doit aller au-devant des personnes, dialoguer avec elles, se faire proche de leurs préoccupations. « Ah, comme je voudrais une Église pauvre et pour les pauvres ! » Il ne faut pas que l’Église soit une institution qui travaille pour son propre compte, mais qui soit vraiment au service de Dieu et de l’annonce de l’Évangile, « capable de réchauffer les coeurs ». « Je vous demande d’être révolutionnaires, d’aller à contre-courant » : le pape croit à la capacité d’imaginer un autre monde possible : le chrétien peut trouver dans l’Évangile les leviers pour transformer le monde.
Quels moyens pour y parvenir ?
L’organisation de l’Église doit être collégiale, faire place à la discussion et à la prise de décision en commun, et cela, à Rome comme dans les diocèses ou les paroisses. Les conseils pastoraux doivent devenir des lieux « de participation des laïcs dans la pastorale », plus encore que maintenant. a
Michel GRIVOIS Diacre