Infos-Actualités
Les objectifs de l'organisme sont plusieurs et visent le bien-être et le bonheur des personnes vivant avec un handicap. Ces dernières ne sont plus jamais seules grâce à des visites, lettres, rencontres, appels téléphoniques, Internet et courriels, journées d’amitié et autres.
La Fraternité vous invite à un rassemblement diocésain le 30 août 2009 salle Barbelouze à Golbey (face à l'hôtel de Ville, près de l'église) avec pour thème l'accueil
Le père et vicaire général Pierre-Jean Duménil sera présent.
Programme de la journée :
- 9h30 : Accueil
- 10h : Causerie suivie d'un débat
- 12h : Repas tiré des sacs
- Temps libre d'échanges
- 15h : Messe célébrée à l'église de Golbey
Sont conviées toutes personnes de la Fraternité, ainsi que les amis, les accompagnateurs, les sympathisants et tout individu intéressé par cette journée fraternelle.
L’équipe de préparation des pèlerinages des enfants donne rendez-vous sur la colline le :
Jeudi 27 août 2009
de 10h à 16h à Sion
Nous vous accueillerons à partir de 9h45 devant la basilique. Le repas sera tiré du sac.
Pour participer pleinement à cette journée, merci de s’inscrire avant le 20 août
Soit en retournant le bulletin d’inscription à l’adresse suivante Catherine Tottoli, 4 rue Notre Dame, 54330 Saxon Sion
Soit en nous en informant par mail ou téléphone
Adresse mail : Catherine Tottoli
Téléphone :XX.XX.XX.XX.XX
Bulletin de participation au pèlerinage Papy, Mamy, Petits-enfants
Le Pape Benoit XVI a publié ce mardi 7 juillet 2009 l'encyclique "Caritas in Veritate" (La charité dans la Vérité). Ce document constitue une référence pour l'Eglise, enrichissant sa doctrine sociale. Premiers éclairages du Père Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié.
La charité dans la vérité
Voici la nouvelle mise à jour de la position de l'Église sur la grande question sociale du développement. Un document profond et exigeant.
Après le Concile Vatican II et la réflexion des papes qui ont suivi, Benoît XVI revient sur l'apport de Paul VI sur le développement. Le contexte a beaucoup changé : au lendemain du Concile, à la fin des années 60, on parlait du « progrès »... Mais dès les années 70, la crise du pétrole a donné le départ des remises en question... , jusqu'à la crise financière actuelle. La mondialisation a rendu évidente l'interdépendance planétaire et nous engage sur des chemins de solidarité qui vont loin. Dès lors la question du développement n'est plus un problème à résoudre parmi tant d'autres : elle s'élargit pour devenir « développement humain intégral », et concerne toutes les dimensions de l'homme : conditions de vie et de travail, liberté personnelle et démocratique, capacité spirituelle... Le développement : les questions économiques ne se règlent pas toutes seules. Bien sûr, il y a l'économie de marché et ses règles, qui ne sont pas sans danger. Il y a la régulation apportée par le politique, avec ses lois, et ses moyens de redistribution (l'impôt) : le politique a aussi ses limites. Selon Benoît XVI, il faut compter sur la responsabilité de l'homme, sur sa capacité à vivre la gratuité et à faire place au don dans les relations économiques. L'horizon du « bien commun » n'est plus envisagé dans les limites familières d'une région ou d'un pays, mais à l'échelle planétaire. Car tout homme est un frère. Il est vaste, le champ de la charité. Adressée à tous les « hommes de bonne volonté », cette lettre se fonde en effet sur « la charité dans la vérité ». La vérité, car il faut mettre la raison au service de l'amour aussi bien chez les chercheurs, les financiers, les politiques...
Et il faut éclairer notre vision de l'homme à la lumière de l'Évangile. Benoît XVI invoque le « sens » de l'homme. Réduit à soi-même, à son habileté technique, à sa capacité à vivre un consensus politique, l'homme s'étiole. Tandis que s'il se perçoit comme « don de Dieu », sa capacité humaine prend toute sa dimension de liberté personnelle, et au sein de la famille humaine. Nous sommes dans la ligne de la première encyclique de Benoît XVI, « Dieu est amour », qui développait cette conception de l'homme cohérente avec la foi au Christ. Nous sommes dans la ligne de la recherche permanente du Cardinal Ratzinger et du pape qu'il est devenu, le lien entre foi et raison.
Cette encyclique nous apporte de quoi nourrir nos dialogues et nos rencontres avec « les hommes de bonne volonté », nos partenaires dans l'action. Elle aborde de nombreuses questions concrètes, pour le développement humain intégral. On évoque ainsi toutes les questions du développement, du travail et des délocalisations, de l'interaction des cultures, de la situation des pays pauvres confrontés à la faim, au problème de l'eau, du respect de la vie, de la liberté religieuse, du développement scientifique, du progrès, de l'écologie, de la mondialisation... Cette encyclique ouvre ainsi un large chantier qui envisage l'avenir sans défaitisme. À tous de s'y mettre, les politiques, les acteurs associatifs, chaque citoyen, chaque chrétien. Bonne lecture.
+Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié
Pour ceux qui veulent une lecture rapide : voir le dossier spécial de la Conférence des Evêques de France ou de La Croix
Pour ceux qui veulent prendre le temps de lire toute l'encyclique : voir l'encyclique
Au programme
Le Colisée Basilique Saint-Paul-Hors-les-Murs Audience Pontificale Visite de la Basilique Saint-Pierre Messe en la Basilique Sainte Marie Majeure Basilique Saint Jean-de-Latran visites du Panthéon et Eglise Saint Nicolas de Lorraine
Transport
Départ : Lundi 12 octobre d'Epinal et Saint-Dié puis aéroport du Luxembourg A midi : déjeuner à Rome
Retour: Samedi 17 octobre arrivée à l'aéroport de Luxembourg vers 12h00 puis retour en bus vers Saint-Dié et Epinal
Informations complémentaires
Service Diocésain des Pèlerinages 25, rue Cour Billot – 88000 EPINAL téléphone : XX.XX.XX.XX.XX - fax : XX.XX.XX.XX.XX courriel : xxx@xxx.xx bureau ouvert : les lundi , mercredi et vendredi de 10h à 12h et de 14h à 16h; les mardi et jeudi de 14h à 16h
Dimanche 9 août à Ruaux
Célébration en plein air à 10h30
à la Chapelle Notre-Dame de Consolation à Ruaux. C’est depuis 1980 qu’une fois par an, au mois d’août, les paroissiens organisent un office sur ce site toujours bien entretenu.
Petit rappel historique :
Au 19e siècle, l’ancien cimetière de Ruaux entourait l’église paroissiale du lieu. Pour des raisons d’espace et d’hygiène la municipalité décida en 1890 de transférer ce cimetière de 250 mètres à l’orée d’une agréable forêt, en souvenir de tous ses défunts.Pour servir d’abri aux ossements provenant des tombes de l’ancien cimetière, en 1899, on construisit une chapelle qui prit la dénomination de « Chapelle de Notre Dame de Consolation” nom choisie par les paroissiens qui de générations en générations, avaient l’habitude de venir prier Notre-Dame de Consolation après chaque décès.
Cette chapelle se trouve sur une petite colline boisée qui surplombe le village. Ainsi Notre-Dame de Consolation veille et protège les habitants de Ruaux.
Depuis 1980, chaque année, en ce lieu est célébrée une messe en souvenir des ancêtres qui reposent sous cette grande croix à même le sol.
Samedi 15 août à Plombières-les-Bains : office – concert - procession aux flambeaux
Samedi 15 août, fête de l’Assomption de la Vierge Marie, l’office sera célébré à 10h30 en l’église Saint Ame de Plombières-les-Bains par M. l’Abbé Claude Durupt, vicaire général. Le soir, veillée mariale à 20h30 à l’église suivie de la procession aux flambeaux au coteau de Notre-Dame de Plombières. Cette procession est une tradition religieuse qui perdure au fil des siècles et à laquelle les paroissiens sont très attachés. Pour participer à cette fête mariale, les habitants sont d’ailleurs invités à mettre des petites bougies sur le bord de leurs fenêtres et balcons, afin que Plombières ressemble à un vaste ruban lumineux en l’honneur de Notre-Dame. Petit rappel historique : Dominant admirablement la petite station vosgienne, Notre-Dame de Plombières fait l’objet chaque année d’une grande procession aux flambeaux. Les circonstances qui firent élevées la statue remontent à 1854.
Une terrible épidémie de choléra avait alors ravagé toute la région provoquant près de 6 000 morts dans les Vosges. Les habitants de Plombières firent le vœu, si ce fléau épargnait leur ville, d’édifier un monument à la gloire de la Vierge Marie. La ville échappa à l’épidémie et afin de réaliser la promesse faite, Notre-Dame fut montée sur son piédestral le 14 août 1855. Modelée par le lyonnais Fabisch, on peut lire sur le socle « ‘Custodem me posuerunt » (ils m’ont choisie pour gardienne). Le lendemain, 15 août 1855, l’abbé Balland, l’a bénie devant une foule de fidèles. Depuis lors, chaque 15 août, un fervent pèlerinage se déroule depuis l’église jusqu’au coteau où se dresse la statue alors toute illuminée. Notons également qu’à chaque alerte grave en 1914, 1940, 44-45, les paroissiens ont toujours eu recours à la protection de Notre-Dame de Plombières. C’est pourquoi, en reconnaissance, tous les soirs, une lumière éclaire la statue.
Samedi 15 août à 17h : Concert
en l’église de Plombières les Bains : Concert de l’ensemble Vibrato “Trompette Orgue et Chant”avec Bruno Petitgenêt (trompette), Claire Fabbry (soprane) et Jean-Luc Delaruelle (orgue). Entrée libre.
Lundi 10 août de 17h à 18h : Rencontre
Rencontre proposée au coteau de Notre-Dame de Plombières.
« Le coteau de Notre Dame de Plombières » est un lieu privilégié édifié à la gloire de Marie – « marche avec nous Marie sur nos chemins de vie .. » - une heure de réflexion, méditation et prière autour de Marie.
Utiliser la boussole
Nous voulons être une Eglise présente au monde, apte à faire face aux défis d’aujourd’hui. Pour cela, chacun est invité à prendre sa place et à accomplir la tâche qui lui revient au service de la mission commune. Cela suppose que nous expérimentions que notre foi et notre espérance prennent leurs racines dans le mystère de Dieu.(Page 1 du livret)
Ces phrases rassemblent, en les articulant, les 3 axes définis par le projet. Elles permettent de s'orienter. Nous disposons ainsi d'un seul objectif pour 3 axes ! Aucun axe n’est prioritaire. Aucun n’est facultatif.
Faire des étapes
Afin de faire des choix et de composer son propre projet, il est proposé de procéder par étape.
On ne pourra pas tout faire à la fois. Des choix sont à opérer, des discernements sont à effectuer.
Comment faire ?
1. Comprendre l’articulation des 3 axes et la visée d’ensemble du projet à partir de la boussole :
— Repérer la dynamique de cette boussole.
— Lire l’introduction de notre évêque.
— Repérer la présentation du livret, les différents chapitres.
2. Choisir un axe pour entrer plus avant dans le projet :
— Lire les introductions des 3 axes (pages 7, 17, 27). Elles donnent les enjeux et les objectifs de chaque axe.
— Choisir un axe qui nous semble urgent ou essentiel pour notre communauté. Il pourra y avoir des choix différents : partageons les raisons qui font que nous faisons tel ou tel choix, et décidons ensemble.
3. Dans l’axe choisi, choisir un chapitre et une ou deux actions que nous voulons mettre en place, maintenant. Sauf exception, tous les chapitres sont composés de la même manière : Lire l’introduction : elle donne la direction dans laquelle il nous faut aller, dans la situation d’aujourd’hui. Approfondir la citation : elle donne les options théologiques et pastorales qui fondent notre agir. Choisir une ou deux actions à mettre en place, en fonction de nos choix et de nos urgences.
4. Revenir à la boussole et veiller à la cohérence : Quels que soient l’axe et les pistes d’action choisis, n’oublions jamais de nous laisser interroger par les autres axes. En quoi viennent-ils enrichir, renouveler ou bousculer nos pratiques ou notre propre projet d’avenir ? Une fois le chapitre et la piste principaux choisis, aller voir dans les 2 autres axes, quel chapitre et quelle piste nous pourrions aussi mettre en œuvre afin de compléter notre projet et lui donner toute son amplitude chrétienne.
Marie-Claude Feltz et Pierre-Jean Duménil