— sur la mémoire
— une réflexion anthropologique sur ce que nous avons découvert à ce moment là de la réalité touristique ; j’appelle cela « la personne mis à l’épreuve »
— La foi mis à l’épreuve
— La reconnaissance de l’autre dans sa différence Je terminerai par des considérations (donc cela fera cinq points) dans la perspective de la nouvelle évangélisation. Alors d’abord, ce texte que je vais vous lire c’est ceci : « Avec la diminution plus ou moins généralisée du temps de travail », rappelez-vous, nous sommes en 1965 quand ce texte a été écrit. A titre d’information en 1960, en France il y avait 300.000 chômeurs, c'est-à-dire le1/10 de ce qu’il y a aujourd’hui, « En effet, avec la diminution plus ou moins généralisée du temps de travail, les occasions de se cultiver se multiplient pour la plupart des hommes. Que les loisirs soient bien employés, pour se détendre et pour fortifier la santé de l’esprit et du corps : en se livrant à des activités libres et à des études désintéressées ; à l’occasion de voyages en d’autres régions (tourisme) qui affinent l’intelligence et qui, de surcroît, enrichissent chacun par la connaissance de l’autre(Dans sa différence bien sûr) ; également par des exercices physiques et des activités sportives qui aident à conserver un bon équilibre psychique, individuellement et aussi collectivement, et à établir des relations fraternelles entre les hommes de toutes conditions, de toutes nations ou de races différentes. Que les chrétiens collaborent donc aux manifestations et aux actions culturelles collectives qui sont de leur temps, qu’ils les humanisent et les imprègnent d’esprit chrétien. (Il faut dire aussi que Lille a été capitale de la culture et nous avons essayé d’en faire partie) 4. Cependant tous ces avantages ne sauraient parvenir à réaliser l’éducation culturelle intégrale de l’homme si, en même temps, on néglige de s’interroger sur la signification profonde de la culture et de la science pour la personne humaine.» Cette note de 1965 passage 61, connaissance de l’autre, intelligence, relation humanisée, Esprit chrétien, mais cela demande de s’interroger sur la signification de la culture et de la science pour la personne humaine.
L’histoire de la PRTL : je vais évoquer justement cette histoire telle que je l’ai connue, c'est-à-dire du côté du secrétariat de l’épiscopat, c'est-à-dire institutionnel; mais il n’y aurait rien eu s’il n’y avait pas eu tout d’abord des initiatives prises spontanément par le peuple de Dieu un peu partout en tout cas en France et même à cette époque là aussi dans les pays appelés, après guerre, colonies. Il y a donc eu une réalité culturelle qui s’est révélée à travers le tourisme. Ce n’est pas par ce que je vais raconter l’histoire de l’institution de la PRTL, qu’il faut oublier qu’elle est implantée dans le peuple de Dieu. Donc, revenant du Concile, Monseigneur Etchegaray originaire de Bayonne, un lieu touristique, avec Biarritz et le pays basque il a voulu justement réunir tous ceux qui faisaient déjà quelque chose. C’était un peu le rôle du secrétariat de pastorale de la conférence épiscopale. Ce n’est pas d’abord raconter, mais accueillir le quotidien du peuple de Dieu. Et dans l’Esprit de »Gaudium et spes », il lance les premières rencontres. Puis c’est (je vais faire plaisir aux Nantais qui sont ici) Monseigneur Rabine originaire de Nantes qui a repris le flambeau avant que je lui succède quand il a été nommé évêque de Cahors. Et ceci s’est fait autour du Père Bayeux, Jean Bayeux, du diocèse d’Arras qui avec plusieurs laïcs Monsieur Lainé, peut-être ce nom vous dit-il quelque chose, il y avait un prêtre dont le nom m’échappe, de Montpellier… il y avait aussi un prêtre du Jura Jean Ratte ??? Je me souviens, qui en même temps avait fondé, je dis cela pour faire plaisir aux anciens, qui avec d’autres organismes on a essayé ce qui était le point de départ du bureau on a essayé de permettre de travailler ensemble, ce qui n’a pas toujours été facile car comme en France chacun avait construit sa petite cathédrale, sa petite chapelle, mais c’est là que tout a commencé. Un des premiers effets a été d’assurer la demande cultuelle. Comment assurer : 1er les services cultuels. L’histoire est toujours une leçon. Quand on a voulu faire quelque chose, c'est-à-dire assurer qu’il y ai des horaires, des accueils, que les touristes ne viennent seulement des gens qui viennent s’accrocher à la célébration paroissiale, qu’il y ait donc des initiatives, qui soient prises pour les touristes. Que cela comprennent par exemple des conférences, la proposition dans des centres spirituels, de journées pour les touristes : Et il y a très longtemps, dans un centre de Nantes, à partir de l’institution, permettre aux quatre milles pratiquants ou semi pratiquants, de trouver quelque chose qui leur soit adapté au point de vue des horaires, pendant qu’ils étaient en situation de touristes. A la limite, profiter du tourisme pour faire de l’évangélisation. Une de mes inquiétudes, c’était de trouver de trouver des prêtres pour les envoyer dire la Messe en Yougoslavie. Il y avait beaucoup de gens qui allait sur la côte à cette époque du côté de Dubrovnik et je débauchais des prêtres pour un mois et il fallait trouver de l’argent. Il fallait aussi qu’ils soient en lien avec l’Eglise locale qui était contrainte sous le régime communiste. En France on continuait à bétonner les plages du Sud Est, puis s’élevait à grand renfort de béton la construction des grandes stations dans les Alpes. De nombreuses églises sont construites. Des Chapelles provisoires, sont élaborées, construites sur des terrains de camping. A Courchevel en 1970, la veille confessions de 8h du matin à 8 heures du soir et compte tenu de la messe de minuit du lendemain, il y avait 8 à 9 messes de célébrées dont l’une était célébrée sur la grande patinoire, une véritable cathédrale et nous étions 6 prêtres pour assurer l’animation de la station. Il y eu aussi une sorte de connivence le clergé local et les promoteurs des stations en Savoie et dans les Alpes. Le clergé et les maires ont été très impliqués dans la transformation de l’agriculture de montagne, vers une activité touristique, une activité de développement local. Parallèlement c’est développé dans les réunions d’Action Catholique ACI la volonté de faire du temps de loisir, un temps propre à évangéliser, à réfléchir. La JOC se préoccupe des ouvriers saisonniers, mal payés, exploités, mal logés. Côtoyer les personnes riches qui dépensent sans compter donne envie de jouer les riches et en un soir le saisonnier devenu client peut perdre sa paye pour pouvoir un soir jouer au seigneur. Là nous voyons l’effet de l’argent du fric sur la société, qui pourrit la société naissante du tourisme. On construit à tout va, on fait du fric à tout prix en exploitant au passage des pauvres qui ne peuvent se défendre. La Mission de France se saisit du problème et veut être présente dans les services hôteliers, faire respecter le droit, se préoccuper de ces employés saisonniers. Puis la présence de la PRTL se diversifie sur le terrain. Il s’agit de voir comment l’Eglise peut être accueillante à tous, comment les communautés accueillent les personnes qui viennent au milieu d’elles pour un temps. D’où la création et le développement d’espaces de rencontre Point H, dialogue avec les saisonniers, écoute, espaces pour ceux qui recherchent le silence. Parcours locaux de découvertes, entre chapelles, pèlerinages à portée de main, spectacles religieux, animations. Faire parler les pierres, que l’église bâtiment soit parlante de la foi de ceux qui l’ont bâtie et parlantes aussi de la communauté qui l’habite. Que ces pierres révèlent l’expression de foi de ceux qui nous ont précédés, transmettre la mémoire, d’une expérience qui traverse le temps. La PRTL se fait donc inventive, toujours en recherche et en mouvement ainsi naissent les pèlerinages sur les pas de saint Paul ; là un côté financier apparait. Les chemins de Compostelle, chemins pour les marcheurs de l’âme. La PRTL est donc devenue un lieu d’initiatives pastorales où l’on peut inventer de nouvelles pratiques pastorales. Nouvelles pratiques qui permettent la découverte, la connaissance l’affinement de l’intelligence spirituelle. Découvrir ce que la foi a fait construire dans la société qui est la nôtre. Entrer dans une audace d’invention. Dans le cadre de leurs vacances, assurer aux catholiques réguliers la pratique régulière. Pour les autres, la possibilité d’une pratique ponctuelle. Dans les temps libres, la pression disparait, pression du travail, des obligations, mais le risque aussi de passer d’une pratique régulière à une pratique ponctuelle. Faire en sorte que le temps libre devienne un temps de respiration spirituelle hors de la compétence technique du travail. Autres points d’attention de la PRTL, humaniser les conditions des travailleurs du tourisme, humaniser le tourisme. Que chez les promoteurs, les communes, la région, le droit et la justice demeurent. Ces problèmes sont encore ceux des personnes déplacées aujourd’hui. On ne fait pas de l’argent en exploitant les pauvres. La PRTL pose aussi la réflexion sur le tourisme dans les pays totalitaires, là où à quelques km des plages et hôtels luxueux se trouvent des ghettos où vivent ceux et celles qui sont au service des touristes, à mon service quand j’en fais partie. Comment faire la part entre aider au développement et aider des régimes totalitaires, s’informer. Bien sûr notre action ici n’a rien en commun avec cela mais, même ici des jeunes ou moins jeunes sont employés dans des temps partiels qui frisent l’exploitation ; et cela je dois en être conscient et ouvrir les yeux. Toutes ses visées de la PRTL ont été faites dans un contexte totalement neuf. Tout était à inventer, on ne connaissait pas l’avenir, l’avenir de ce nouveau lieu d’évangélisation. D’ailleurs cette pastorale demeure encore un chantier d’avenir devant les réalités humaines toujours en marche. Toutes les formes nouvelles auxquelles vous participez le prouvent. Nous sommes en en face de réalités humaines en marche. Dans le tourisme, la personne humaine est mise à l’épreuve. Subissant moins de pression puisque libérée des contraintes journalières, elle se trouve face à la pression du désir, « sexe, soleil mer, plage, neige »Les trois S en Anglais. Risque d’une paganisation des désirs du cœur de l’homme. Les contraintes familiales, sociales étant disparues, ressurgit les désirs de l’homo sapiens, trivialité de l’homme, jouissance narcissique de soi. Dans ce temps autre qui est un temps à apprivoiser, bien des dangers surgissent pour l’homme lui-même, le couple, la famille, la relation parents enfants, tout comme pour sa vie spirituelle, son rapport aux autres ou à son moi profond. Le rapport au temps se modifie, il faut faire vivre ce temps libre, et pas seulement l’occuper ou s’occuper, remplir les temps morts. Faire en sorte que ce temps soit un temps de construction et non pas un temps de destruction ; construction de soi dans la relation à l’autre. L’esprit est souvent face à une culture plus que superficielle, du gadget. La foi est mis à l’épreuve de l’universelle, Le religieux nous apparait multiple dans ses manifestations. Je découvre maintes manières de vivre différentes de la mienne, maintes façons de vivre une vie spirituelle, je regarde souvent l’autre par rapport à moi, par rapport à ma manière d’envisager la foi, d’une façon égocentrique. Dans nos pays nous sommes marqués par l’égocentrisme, nous regardons toujours par rapport à nous comme si nous étions la référence. Dans cette façon de faire, comment recevoir la foi de l’autre et sa manière de la vivre. Dans l’Evangile le Christ, lui, s’émerveille de la foi de l’autre, par exemple le centurion « Je n’ai jamais trouvé une foi en Israël comme chez cette ennemi. A partir de là je puis me poser des questions sur notre façon de faire en paroisse, dans nos communautés. Puis-je voir la part de vérité chez l’autre, comment ma foi est capable de comprendre l’universalité de la foi chez l’autre. Comprendre ceux qui n’ont pas nos sécurités religieuses ou culturelles que nous possédons ; les personnes déplacées, déracinées à cause du travail, par exemple comment comprendre ceux qui ont besoin de gestes religieux. Nous avons tendance à voir là du folklore alors et nous pouvons mépriser une culture différente à la nôtre. Tendance à folkloriser la culture de l’autre à travers même la photo souvenir. Autre point il nous faut comprendre l’autre dans ses projets de progrès, c’est une richesse pour nous dans la différence. L’ouverture à l’universelle est notre vocation, même si notre représentation de la foi peut se trouver contestée. Une foi vécue différemment peut être une foi aussi profonde. Nous ici nous avons le geste et le texte, ailleurs ce peut être le geste, la couleur plus que le discours. Il me faut reconnaître l’altérité de l’autre et ma volonté de désacralisation de sa façon de faire peut devenir la négation de la culture de l’autre. A travers la PRTL nous imaginons un tourisme différent qui favorise la connaissance réciproque, le développement humain intégral sans enlever l’espace pour le repos et la détente, le divertissement en un mot un tourisme différent lieu d’évangélisation pour l’autre mais aussi pour moi, dans la découverte de l’autre et de ses richesses dans la différence. Aujourd’hui la mondialisation fragilise les civilisations, et le non-respect des différences fait monter les nationalismes, le terrorisme. Ces antagonismes naissant paralysent, il faut prendre le temps de se parler, prendre le temps de regarder toutes les tendances, pas seulement celles qui sont à la une de la télé, qui peuvent altérer mon jugement, ma vision des choses. A travers des considérations plus proches, nous pouvons comprendre les effets d’une relation apaisée : regardons simplement une famille qui fait un weekend end à Disney ou ailleurs. Nous voyons un père heureux de partager ce temps avec ses enfants, dans une relation différente, la relation du père qui joue avec ses enfants change bien des choses, le regard des enfants vers leur père est découverte. Nous avons tous besoin de ces temps différents ; les jeunes et leurs concerts parfois bruyants, les spectacles grandioses, regroupements festifs, festi-jeunes par exemple. Nous existons aussi à travers ces différentes formes de relations entre nous, d’une façon décloisonnée. Il y a une explosion des formes de relations humaines. Souvent ces formes sont moins régulières, mais plus dans le ponctuel, y compris en Eglise pour la vie spirituelle. Langage de la fête partagée en famille, créativité collective, nouveau langage. Le langage de l’Eglise parait éloigné, difficile à comprendre. La façon de faire de l’Eglise « faire venir à soi » alors qu’il faudrait peut-être faire Eglise là où sont les gens. La logique est inadaptée, il nous faut prendre conscience des situations nouvelles de se rassembler régulièrement ou ponctuellement. Nous avons le sentiment de la délocalisation de l’identité, transfert de nos repères, qui nous font croire que nous ne sommes de nulle part. Il nous faut inventer des formes d’expressions religieuses pour les personnes qui sont en transhumance dirons-nous, aider à découvrir l’Evangile des pierres d’hier que l’on découvre aujourd’hui, faire parler la spiritualité par des gestes autant que par des conférences. La PRTL est au service du tissu humain de nos communautés, pour la spiritualité de l’homme en général. La différence de l’autre n’est pas un obstacle pour le rencontrer, mais une richesse à découvrir. Il y a trois sortes de rassemblements que le Christ a partagés qui doivent nous guider : la première la multiplication des pains, puis les noces de cana, et la rencontre des disciples d’Emmaüs; Comprendre que l’itinéraires de l’homme passe par la croix, mais pour le célébrer, faut-il d’abord l’avoir compris. Pour le comprendre au mieux, il nous faut nous convertir comme Jonas et Monseigneur Defois terminait en disant c’est mon vœux le plus cher. STRASBOURG Mairie De ces journées de Strasbourg, je ne voudrais pas passer sous silence la visite à la mairie où Jean-François Lanneluc, directeur du cabinet du maire, nous donna une conférence sur l’accueil. Son titre : « Entre invitation et confrontation ». Vous connaissez tous les marchés de Noël de Strasbourg, ils existent depuis 5 siècles et ses marchés n’existaient qu’à Strasbourg avec cette importance. Noël fête religieuse était aussi fêtée dans la cité à travers des manifestations de Noël. En 1991 le mois de décembre était le mois le plus creux pour Strasbourg, au niveau marchand comme touristique. Avec l’idée un peu marketing il est vrai de « Strasbourg capitale de Noël » en 1994, toutes les chambres de Strasbourg sont prises. Le concept était une activité marchande et une tradition de Noël. Mais pour les Strasbourgeois ce n’était pas aussi simple : il fallait accepter d’être envahi et de se laisser un peu déposséder de leur fête de leurs traditions. Il fallut beaucoup de discussions, de respect dans les échanges pour expliquer les retombées, et expliquer que Strasbourg ne pouvait pas revendiquer une identité à l’internationale, un statut international si l’on n’acceptait pas « d’être quelque peu envahi ». Donc beaucoup de pédagogie, du symbole aussi, lors de l’an 2000 recevoir Bethléem en partenariat et l’instituer capitale mondiale de Noël. Il fallut aussi vis-à-vis des visiteurs surtout étrangers, offrir plus que des marchés de Noël. Une offre culturelle de valeur avec France musique entre autre, un partenariat avec les cultes pour accompagner l’offre touristique d’une démarche religieuse, car Noël est avant tout une fête religieuse fêtée dans la cité. On ne peut pas tout valider au nom du tourisme il faut donner du sens à toute démarche. Tout cela c’est fait dans un lent cheminement. Il a fallu beaucoup de concertation pour accueillir au mieux l’autre. Convaincre de s’ouvrir pour aller au-delà du « on n’est plus chez nous » Pour cela il a fallu offrir aux visiteurs mais aussi aux gens de Strasbourg des activités culturelles de qualité que les Strasbourgeois soient fiers de leur ville et d’ailleurs c’est au moment de Noël que les familles de Strasbourg se retrouvent. On invite la famille éloignée à l’occasion de Noël. Donner du sens par rapport à la fête de Noël et donner du sens vis-à-vis des Strasbourgeois. Strasbourg avec ses 10 000chambres est ainsi devenue la première destination touristique urbaine de France ; 4 000 000 de nuitées. Pour cela il faudra éviter d’entrer dans la caricature et travailler ensemble grâce à des gens de dialogue et une relation constructive avec les cultes. Tout ne marche pas, on ne peut transposer un schéma, toute l’année et partout. Il faut des racines un vécu, et une offre d’une grande qualité. Que tout ne soit pas mercantile. Il précisait qu’avec des hommes de bonne volonté les difficultés peuvent être surmontées, mettre en œuvre l’action publique plus que la puissance publique pour faciliter les choses, canaliser les forces vives et avancer. Sans instrumentaliser qui que ce soit. Strasbourg accueille d’ailleurs le grand rassemblement du pèlerinage de confiance de Taizé 25 à 30 000 jeunes du 29 décembre au 1er janvier Vous retrouverai l’intégralité des différentes conférences sur les CD que je vais vous remettre. Vous aurez aussi l’enregistrement de la messe en l’honneur de l’intronisation du pape. Messe solennelle bien sûr avec les représentations de la ville de Strasbourg et du parlement européen mais aussi l’intervention du Père Jean-Yves Baziou, différentes conclusions et temps de prière.