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Le 31 mai 2009, le diocèse de Saint-Dié s'est donné de nouvelles orientations pour une dynamique nouvelle au service de l'Evangile


14/09 /09 Michèle Marchal prend l’accueil à cœur (Infos-Actualités)
Étymologiquement, accueil pourrait s’écrire acœuil comme cœur, ou acœil comme œil. Voilà qui donne relief à toute la dimension de la mission d’accueil et qui dépasse largement l’acte d’ouvrir une porte. Ce n’est très certainement pas, Michèle Marchal qui prétendra le contraire. Après des années à recevoir les personnes qui souhaitent entrer au presbytère de Vittel, Mme Marchal sait bien que chaque être est différent dans sa façon d’être, dans ses questionnements, dans ses besoins d’être écouté, dans les réponses attendues, espérées...

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Un coup de sonnette, Michèle se dirige vers la porte. Se présente une toute jeune femme qui passait par là. Mme Marchal n’est pas de “service” ce jour là, qu’à cela ne tienne. Elle recevra tout de même la visiteuse venue quérir des renseignements en vue d’un mariage religieux. Michèle Marchal pose sur ses interlocuteurs son regard profond et serein. Son tempérament de battante, sa patience aussi, Michèle les a peut être hérités de sa famille de cultivateurs. Des gens de bon sens. Dernière d’une fratrie de trois enfants, Michèle puisera ses premières armes scolaires, à l’école primaire à Crainvilliers, son village natal. Elle confortera plus tard son bagage de connaissances en cheminant dans la foi catholique.

Une école de vie

Son parcours la conduira dans le Pays- Haut. Tout autour des mines, elle côtoiera les gueules noires, les mains usées par le labeur, la maladie, les pauvretés. Elle entendra et comprendra aussi les revendications, les espoirs, les colères... Le quotidien impose ses lois, ses peines, ses joies “là-bas j’ai appris à connaître les gens !”. Michèle Marchal conserve de cette époque un souvenir puissant. Infirmière, elle entrera dans les foyers, en découvrira toutes les faiblesses, toutes les forces aussi.
Michèle reviendra dans l’Est en 1974, pour être embauchée à Brabois, quatre ans de service et ce sera l’école des cadres. Elle rencontrera alors un prêtre resté seul après le décès de sa maman. En toute amitié, l’homme d’Église lui proposera alors de partager son toit. Cela tout en poursuivant sa carrière professionnelle “Je n’ai jamais regretté...”.
Retraitée en 1996, Michèle eut l’opportunité de venir habiter la maison laissée vide après le décès de ses parents. Et, c’est tout naturellement qu’après avoir retapé l’habitation de son enfance elle vînt y vivre. Emmenant avec elle son vieil ami le prêtre. Noël 2001 était carillonné.
Michèle Marchal est de ceux qui se débusquent toujours quelque chose à faire. Après 40 ans d’absence, Michèle revenue au pays rencontrera en 2002 le curé de Vittel, Jean-Marie Lallement. Très vite, elle apportera son aide à la paroisse. Son ami prêtre, d’une santé précaire mourut après avoir été victime d’un malaise survenu après un enterrement qu’il venait de célébrer pour rendre service. Curieusement, c’est alors qu’elle annonçait ce décès à un garçon à la dérive, parent du prêtre, que sa façon d’écouter et d’entendre fut remarquée. Non pas en heurtant par le franc-parler qu’elle utilisera alors au téléphone pour se mettre à la portée de son interlocuteur, mais justement par sa capacité à s’adapter à la situation et d’y répondre. L’accueil du presbytère lui fut confié.
Ceux qui la connaissaient savaient pouvoir compter sur elle. Le mercredi matin au début, Michèle offrit encore un peu plus de son temps, lorsqu’elle se mit en demeure de mettre à jour et d’une forme claire les registres religieux. Mariages, baptêmes, décès... furent classifiés de façon rigoureuse. Sa permanence hebdomadaire s’étendit alors sur toute la journée du mercredi.
Il serait bien trop d’énumérer ici toutes les fonctions qui incombent aujourd’hui à Michèle. Sans ménager sa peine, elle épaule le curé du presbytère François Villemin. Les abbés, Jacques Heinrich et Olivier Bourion apprécient aussi en elle une collaboratrice précieuse pour la paroisse Saint-Basle et ses 53 villages.
Michèle porte en elle une foi chrétienne dont la richesse intérieure se révèle dans chacune de ses paroles. Michèle conduit parfois les célébrations d’obsèques, participe au conseil pastoral, au relais en zone rurale, à la distribution du bulletin municipal... L’Église catholique a changé, ses hommes et ses femmes aussi. Michèle Marchal en est un exemple vivant.

Josée Tomasi-Houillon

14/09 /09 Se former pour grandir dans la foi ! (Infos-Actualités)
« La formation et l’accompagnement sont essentiels pour la croissance de la foi et de l’Église » (Chemins d'Avenir page 24), tel est bien l’objectif des rendez-vous formation proposés par le service diocésain.

Il est nécessaire d'encourager et de donner les moyens d'une formation de qualité pour tous.
Les rencontres et stages organisés sont répartis en fonction des différents axes que le diocèse s’est donné dans son projet diocésain Chemins d’Avenir. Les thématiques sont diverses et variées, chacun est le bienvenu.

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Continuons à nous former tous et chacun. Ainsi, nous pourrons donner de l’avenir à notre chemin de foi personnel et par là-même à celui de notre Église diocésaine.

Livret disponible gratuitement auprès du Service formations à la Maison diocésaine ou à télécharger ci-dessous logo

Renseignements auprès des divers contacts mentionnés sur la plaquette ou au service de formations qui est à votre disposition.

Service de formations
Maison diocésaine
29, rue François de Neufchâteau
88000 Épinal
Tél. : XX.XX.XX.XX.XX
Courriel : xxx@xxx.xx

09/09 /09 Jeanne d'Arc, revisitée (Infos-Actualités)
Jeanne d'Arc, la Pucelle d'Orléans, est une figure emblématique de l'histoire de France. Femme de guerre et/ou femme de foi, le questionnement et la fascination perdurent.

Du 17 août au 31 octobre 2009, se tient une superbe exposition temporaire au Centre Visages de Jehanne à Domremy, en partenariat avec les Archives départementales des Vosges.
Sont proposées : des visites guidées et commentées, des conférences dans le cadre du cycle « Rencontres d’automne » et des lectures théâtralisées d’archives.

Jeanne d'Arc, c'est aussi une histoire de famille.

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Charles du Lys et Jean Hordal, premiers historiens de Jeanne d’Arc au XVIIe siècle et surtout petits-neveux de la sainte vosgienne, ont mené de précieuses recherches historiques et généalogiques consacrées à leur aïeule.
On a parfois tendance à croire que l'histoire de la jeune femme a été « oubliée », de sa mort jusqu'à la fin de la Révolution française. Or, les travaux des deux descendants prouvent à quel point le personnage de Jeanne était actuel et présent durant le Grand Siècle.
Les Archives départementales des Vosges ont récemment pu acquérir, avec le soutien de la Direction des Archives de France, 18 documents originaux, témoignant de ces recherches : actes notariés, arbres généalogiques, compilation de sources et projets iconographiques transportent le visiteur au plus profond de l'histoire de France.

Informations pratiques
Centre Visages de Jehanne
2 rue de la Basilique 88630 Domremy-la-Pucelle
Tel : XX.XX.XX.XX.XX
Courriel : xxx@xxx.xx
Ouverture :
- D’avril à septembre : tous les jours, de 10h à 18h
- D’octobre à mars : tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 12h et de 14h à 17h
Tarifs : 3 € plein tarif – 1,50 € tarif réduit

03/09 /09 Evangiles de septembre 2009 (Infos-Actualités)

Dimanche 6 septembre 2009

Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 7, 31-37)

Guérison d'un sourd-muet

Jésus quitta la région de Tyr ; passant par Sidon, il prit la direction du lac de Galilée et alla en plein territoire de la Décapole.
On lui amène un sourd-muet, et on le prie de poser la main sur lui.
Jésus l'emmena à l'écart, loin de la foule, lui mit les doigts dans les oreilles, et, prenant de la salive, lui toucha la langue.
Puis, les yeux levés au ciel, il soupira et lui dit : « Effata ! », c'est-à-dire : « Ouvre-toi ! »
Ses oreilles s'ouvrirent ; aussitôt sa langue se délia, et il parlait correctement.
Alors Jésus leur recommanda de n'en rien dire à personne ; mais plus il le leur recommandait, plus ils le proclamaient.
Très vivement frappés, ils disaient : « Tout ce qu'il fait est admirable : il fait entendre les sourds et parler les muets. »


Dimanche 13 septembre 2009

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Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 8, 27-35)

Confession de foi de saint Pierre et première annonce de la Passion

Jésus s'en alla avec ses disciples vers les villages situés dans la région de Césarée-de-Philippe. Chemin faisant, il les interrogeait : « Pour les gens, qui suis-je ? »
Ils répondirent : « Jean Baptiste ; pour d'autres, Élie ; pour d'autres, un des prophètes. »
Il les interrogeait de nouveau : « Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? » Pierre prend la parole et répond : « Tu es le Messie. »
Il leur défendit alors vivement de parler de lui à personne.
Et, pour la première fois, il leur enseigna qu'il fallait que le Fils de l'homme souffre beaucoup, qu'il soit rejeté par les anciens, les chefs des prêtres et les scribes, qu'il soit tué, et que, trois jours après, il ressuscite.
Jésus disait cela ouvertement. Pierre, le prenant à part, se mit à lui faire de vifs reproches.
Mais Jésus se retourna et, voyant ses disciples, il interpella vivement Pierre : « Passe derrière moi, Satan ! Tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes. »
Appelant la foule avec ses disciples, il leur dit : « Si quelqu'un veut marcher derrière moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il prenne sa croix, et qu'il me suive.
Car celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie pour moi et pour l'Évangile la sauvera.


Dimanche 20 septembre 2009

Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 9, 30-37)

Deuxième annonce de la Passion et appel à l'humilité

Jésus traversait la Galilée avec ses disciples, et il ne voulait pas qu’on le sache.
Car il les instruisait en disant : « Le Fils de l'homme est livré aux mains des hommes ; ils le tueront et, trois jours après sa mort, il ressuscitera. »
Mais les disciples ne comprenaient pas ces paroles et ils avaient peur de l'interroger.
Ils arrivèrent à Capharnaüm, et, une fois à la maison, Jésus leur demandait : « De quoi discutiez-vous en chemin ? »
Ils se taisaient, car, sur la route, ils avaient discuté entre eux pour savoir qui était le plus grand.
S'étant assis, Jésus appela les Douze et leur dit : « Si quelqu'un veut être le premier, qu'il soit le dernier de tous et le serviteur de tous. »
Prenant alors un enfant, il le plaça au milieu d'eux, l'embrassa, et leur dit :
« Celui qui accueille en mon nom un enfant comme celui-ci, c'est moi qu'il accueille. Et celui qui m'accueille ne m'accueille pas moi, mais Celui qui m'a envoyé. »


Dimanche 27 septembre 2009

Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 9, 38-43.45.47-48)

Contre le sectarisme et contre le scandale

Jean, l'un des Douze, disait à Jésus : « Maître, nous avons vu quelqu'un chasser des esprits mauvais en ton nom ; nous avons voulu l'en empêcher, car il n'est pas de ceux qui nous suivent. »
Jésus répondit : « Ne l'empêchez pas, car celui qui fait un miracle en mon nom ne peut pas, aussitôt après, mal parler de moi ; celui qui n'est pas contre nous est pour nous.
Et celui qui vous donnera un verre d'eau au nom de votre appartenance au Christ, amen, je vous le dis, il ne restera pas sans récompense.
Celui qui entraînera la chute d'un seul de ces petits qui croient en moi, mieux vaudrait pour lui qu'on lui attache au cou une de ces meules que tournent les ânes, et qu'on le jette à la mer.
Et si ta main t'entraîne au péché, coupe-la. Il vaut mieux entrer manchot dans la vie éternelle que d'être jeté avec tes deux mains dans la géhenne, là où le feu ne s'éteint pas.
Si ton pied t'entraîne au péché, coupe-le. Il vaut mieux entrer estropié dans la vie éternelle que d'être jeté avec tes deux pieds dans la géhenne.
Si ton œil t'entraîne au péché, arrache-le. Il vaut mieux entrer borgne dans le royaume de Dieu que d'être jeté avec tes deux yeux dans la géhenne, là où le ver ne meurt pas et où le feu ne s'éteint pas.

25/08 /09 Formation : Apprendre à écouter (Infos-Actualités)
Le service formation du diocèse en lien avec la Pastorale de la santé propose une formation à l'écoute pour tous ceux qui sont amenés à écouter dans leur responsabilité en Église.

La liste est longue : pastorale de la santé, équipes de funérailles, animateurs de jeunes, équipes de préparation aux sacrements…
Vous êtes tous les bienvenus !!

Gisèle Gaillot, formatrice du CLER Amour et Famille, coopératrice à la pastorale familiale du diocèse de Strasbourg, conseillère conjugale et familiale interviendra tout au long du week-end.

Date et lieu :
Samedi 19 et dimanche 20 septembre 2009
Maison paroissiale St Goëry
17 rue Boulay de la Meurthe à Epinal

Encore plus de précisions et contact dans le tract

24/08 /09 Grippe A H1N1 : Fermetures d'églises ? (Infos-Actualités)
H1N1, deux lettres, deux chiffres qui hantent les médias depuis des mois.
Chaque dimanche, les églises des Vosges accueillent des milliers de fidèles. Le caté, les groupes de réflexion et de prière sont d'autres exemples d'occasions de rassemblements chrétiens. Point d'étape sur les préconisations :

Les spécialistes craignent une propagation massive du virus pour la rentrée et prévoient une pandémie de grippe A pour l'hiver à venir. Si les prédictions s'avèrent exactes, le plan pandémie grippale sera mis en place.
Ce programme draconien préconise par exemple en cas de niveau d'alerte 6 - la France est aujourd'hui au niveau 5 - de limiter l'accès aux hôpitaux, maisons de retraite et établissements pénitentiaires en plus de la fermeture des établissements d'enseignement. Les lieux de culture, divertissement et/ou loisirs, tels que les restaurants, cinémas, salles de sport, musées ou piscines, seront fermés. Les commerces seront quant à eux ouverts, mais seuls les rayons indispensables seront accessibles à la clientèle : alimentation, hygiène, boisson par exemple.

Le gouvernement se prépare au pire des scénarii, à l'image du ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, qui ne lésine pas sur les précautions, de réunions de crise à l'envoi de circulaires aux académies.
Dans une interview, il dit vouloir « être prêt » en cas de pandémie totale et affirme « se préparer à toutes les éventualités ». « Si les circonstances l'exigent, nous nous tiendrons prêt à fermer les établissements », a-t-il déclaré.

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Qu'en est-il pour l'Église ?

Comme au Mexique, nos pasteurs et prêtres français pourraient être contraints d’annuler tous les cultes pour limiter les risques de propagation du virus.
Plusieurs églises de Mexico avaient effectivement dû interrompre la célébration des cultes en avril dernier. Cette décision avait été prise après la demande, de la part des autorités fédérales de la santé, de suspendre toutes les réunions dans des locaux fermés, y compris les églises, pour éviter la propagation du virus de la grippe porcine qui avait déjà fait plusieurs morts.
On redoute qu’une décision similaire soit prise en France. Pour l’instant, les autorités sanitaires n’évoquent pas le cas des rassemblements chrétiens, mais y réfléchissent. Affaire à suivre.

Deux médecins spécialistes de la grippe réagissent aux propos de Luc Chatel :

- Alain Fisch chef de service au CHU de Villeneuve-Saint-Georges, et président de l'Institut des études épidémiologiques et prophylactiques.

« Je crois que les gens n'ont pas bien compris l'ampleur de la situation. Deux cas de figures s'imposent. Soit le virus mute, – et il a des chances de muter –, il devient virulent cet hiver, et nous allons droit vers une catastrophe. Ce scénario annoncerait une mortalité assez forte, les décès se compteraient en centaine de milliers en France. Soit le virus ne mute pas, mais sa contagiosité est telle qu'il infectera des millions de personnes. Dans les deux cas, l'hiver prochain s'annonce chaotique, car le pic de l'épidémie est une évidence. Si 1% des malades se présente dans les hôpitaux, ces derniers seront saturés par la surpopulation de patients (...) »

- Jean-François Delfraissy chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre et directeur de l'Institut «Maladies infectieuses» à l'INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale)

« Ne cédons pas à la panique. D'un point de vue médical, je répète qu'à l'heure actuelle le virus n'est pas grave, il n'y pas de raison qu'il mute et devienne dangereux. L'épidémie de grippe A ne sera sans doute, cet hiver, qu'un problème quantitatif, du moins je l'espère. Luc Chatel prend ce problème d'épidémie au sérieux, et c'est là son rôle de ministre. Car le problème reste de taille. Je pense qu'il a raison d'agir avec anticipation puisque l'épidémie sera là cet hiver. Il y aura une poussée d'endémie importante, c'est une évidence, mais on ne sait pas encore dans quelle proportion.
Le virus est bénin, mais il entraînera tout de même une désorganisation sociale importante. Si les cas grippés se multiplient par milliers voire par millions, ce qui est probable, l'absentéisme sera sans aucun doute très élevé dans les milieux professionnels. Les arrêts maladie seront en très forte augmentation. Même si la grippe reste non-virulente, tous les rouages de la société s'enrayeront pendant un temps X. Dans les hôpitaux, on s'attend à 50% d'absentéisme au moment du pic de l'épidémie. Les professeurs et les maîtres d'école seront également touchés. (...) Si la situation devient vraiment critique, il faudra là penser à fermer d'autres structures collectives, mais ce n'est pas encore d'actualité. »

Rappel : symptômes de grippe à reconnaître

- fièvre
- courbatures, douleurs musculaires surtout dans le dos
- maux de gorge
- maux de tête
- affaiblissement extrême, fatigue intense mais variable selon les individus.
- difficultés respiratoire, quelquefois très importantes.
- toux, plutôt sèche qui apparaît sous la forme de quintes
- jetage (écoulement par le nez) très important.
- diarrhées (assez rarement).
- vomissements (assez rarement).
- perte d'appétit survenant brutalement.

Habituellement, la grippe A H1N1 évolue favorablement vers la guérison en une semaine (parfois plus). Pas de panique !

source interviews : Libération