Notre paroisse comprend les communes de SAULXURES-SUR- MOSELOTTE (église Saint-Prix) et THIEFOSSE (église Saint-Antoine) regroupant 3329 habitants dont 2742 Saulxurons et 587 Kédales.
Eglise Saint Prix
Notre paroisse comprend les communes de SAULXURES-SUR- MOSELOTTE (église Saint-Prix) et THIEFOSSE (église Saint-Antoine) regroupant 3329 habitants dont 2742 Saulxurons et 587 Kédales.
Eglise Saint Prix
Editions Parole et Silence, 676 pages
Le 29 mars 2015 à 10 H 30, ils chanteront la messe des Rameaux et de la Passion à l'église de Saulxures-sur-Moselotte.
Nous les retrouverons à 15 H 30 dans cette même église pour un concert (entrée libre).
Le Chœur de Garçons de Mulhouse
Le chœur, c’est cinquante enfants et adultes répartis en quatre pupitres.
Les enfants (sopranos et altos) répètent deux fois par semaine pendant 1h15.
Les hommes (ténors et basses) se retrouvent toutes les semaines.
Les répétitions Tutti permettent de mettre en commun leur travail.
Ce travail a été récompensé par des prix : 1er au festival de chant scolaire de Mulhouse, lauréat de la Chorale Européenne à Colmar en 2010 (Fondation européenne pour la Culture).
Au travers de ses concerts en Alsace, en France et dans le monde, le Chœur de garçons diffuse le chant choral et la joie de la vie de groupe.
Le travail et l’engagement sont récompensés par le plaisir des concerts et les moments partagés.
L’association des « Petits chanteurs du chœur de garçons de Mulhouse » a été créée en 1948. Suite au film « La cage aux Rossignols » et au concert donné à Mulhouse par Les Petits Chanteurs à La Croix de Bois, Roger Weick créa Les Petits Chanteurs de Dornach.
En 1961, le Chœur prit une nouvelle dénomination sous l’appellation Les Petits Chanteurs à La Croix d’Ebène pour être renommé en 1994 Le Chœur de Garçons de Mulhouse. Dirigé par son père fondateur jusqu’en 1981, c’est Jean-Michel Schmitt qui en assure à ce jour la direction musicale.
Ecole reconnue de chant choral, le Chœur de Garçons de Mulhouse est à ce titre affilié à la Fédération Française des Petits Chanteurs, elle-même maillée à la Fédération des Pueri Cantores (Association Internationale de Droit Pontifical) qui regroupe des milliers de Petits Chanteurs sur tous les continents.
Celle-ci a été fondée par Mgr Maillet et regroupe aujourd’hui plus de 3000 Petits Chanteurs. Les chœurs de la fédération régionale des Petits Chanteurs d’Alsace ont uni leurs voix au printemps 2014 lors d’un rassemblement régional à Saverne. La majorité d’entre eux ont aussi rejoint leurs camarades venus du monde entier au Rassemblement International qui s’est tenu en juillet 2014 à Paris.
Jean-Michel Schmitt, chef de Chœur
Né à Mulhouse, il rejoint ses 2 frères à la Manécanterie des Petits Chanteurs à la croix d’Ebène de Mulhouse-Dornach en 1962, alors qu’il n’a pas encore 8 ans.
Soliste soprano puis alto, il grandit avec ses camarades chanteurs et entre, à 14 ans, en classe de guitare classique à l’Ecole Nationale de Musique de Mulhouse.
Il y restera 6 ans.
A 20 ans, doué d’une voix agréable de baryton, il passe un an en classe de chant lyrique.
Mais c’est la direction de chœur et plus précisément celle d’un chœur d’enfants, qui l’attire et qui le pousse à reprendre, en 1981, la conduite du Chœur de Garçons de Mulhouse, où il a grandi. Autodidacte, il apprendra au fil des mois et des années la gestique, la présentation, la discipline, sans oublier la pédagogie, nécessaires à la direction d’un chœur d’enfants.
Un répertoire varié:
Sous la direction de Jean-Michel Schmitt, avec Luc Marin au piano, le Chœur interprète un répertoire varié. Vous entendrez des extraits de musique sacrée et des chants profanes de différentes époques et styles.
La qualité artistique, l’implication et l’enthousiasme des chanteurs et de leur chef de Chœur vous promettent un moment de plaisir partagé !
Renseignements et programme sur le site internet : http://www.cdgmulhouse.com
Il faut avouer que le programme intergénérationnel concocté pour la circonstance est alléchant.
Ce sera l’occasion de goûter, de savourer et même de se régaler sans modération des fondamentaux de la Foi et de la Joie qu’apporte l’Évangile.
Ce grand moment de fraternité a été construit autour d’ateliers, de conférences, de forums, de jeux.
Tous les grands sujets qui font l’Eglise et la société seront proposés : spiritualité, société, Eglise, solidarité, art, écologie, sacrements, familles, éducation,
Une animation musicale de qualité sera servie par Jean-Jacques Juven et le groupe de musiciens de Romain Zupranski.
En parcourant le « village des initiatives », seul, en famille, entre amis, chacun trouvera plus de 35 propositions pour dire, partager, chanter sa Joie de croire. Les plus petits ne sont pas oubliés, des jeux amuseront les enfants.
De façon à ce que les parents puissent suivre les activités de leur choix, une garderie est prévue pour les bambins de moins de trois ans.
Les Mouvements, Services, paroisses et tous les bénévoles se mobilisent pour la réussite de cette fête.
Plusieurs formules de restauration permettront de déjeuner sur place.
Avec et pour tous, un même dessert, présenté sous forme d’une salade de fruits géante.
Le principe est aussi simple que sympa.
Chacun apporte un fruit et l’on prépare ensemble un immense saladier débordant d’amitié à partager entre une communauté de proximité.
Des transports sur différents circuits de bus, des navettes, des parkings seront mis à disposition. Informations et inscriptions sont à faire en paroisse.
Dans son exhortation apostolique, le pape François s’adresse aux chrétiens « Le message que nous avons reçu et que nous avons à transmettre n’est-il pas rayonnant de Joie?... »
Mgr Mathieu évoque un Évangile qui nous revigore et nous invite à la lecture du livre du Saint-Père : « La Joie de l’Évangile » Notre évêque met l’accent sur une obligation. « Souvenons-nous : nous sommes tous des disciples missionnaires ! » Un rappel fort et très tonique à la Joie. Josée Tomasi-Houillon
Plus d’infos : http://www.joiedecroire.com Des questions : xxx@xxx.xx
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
L’onction des malades est le sacrement de la maladie grave.
Pourquoi un sacrement de la maladie grave ?
Parce que celle-ci apporte un bouleversement profond dans la vie d’un homme ou d’une femme : rupture avec les activités professionnelles et souvent avec la vie familiale, isolement ou promiscuité de la chambre d’hôpital, préoccupation financière, sans parler de la souffrance physique et morale, des interrogations secrètes que chacun se pose alors.
Par le sacrement de l’Onction, le Christ vient vers le malade pour l’apaiser, lui rendre confiance, lui pardonner sa faiblesse et le fortifier ainsi moralement face à la maladie.
On peut en voir déjà une annonce dans le récit que donne St Marc de la mission des Apôtres, envoyés par le Seigneur prêcher la conversion dans les village de Galilée : Ils faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades et les guérissaient. (Mc 5,13)
Mais c’est avec la lettre de St Jacques qu’apparaît le sacrement de l’Onction des malades. "L’un de vous est-il malade ? Qu’il fasse appeler les anciens de l’Eglise et qu’ils prient après avoir fait sur lui une onction d’huile au nom du Seigneur. La prière de la foi sauvera le patient ; le Seigneur le relèvera et, s’il a des péchés à son actif, il lui sera pardonné." (Jacques 5, 14-15)
La visite des malades :
La visite des malades et des personnes âgées est un geste fraternel, que tout homme et toute femme savent accomplir sans qu’ils aient besoin d’être motivés par la foi.
A côté du service rempli près des malades par le personnel médical et infirmier, la visite constitue une démarche gratuite et amicale, qui ravive l’espérance de celui qui la reçoit. Le bienfait est inappréciable pour le malade privé de toute relation familiale ou sociale.
Dans une perspective de foi, visiter un malade, c’est visiter le Christ, car celui-ci a voulu s’identifier à tous ceux qui souffrent : J’étais malade, et vous m’avez visité (Mt 25,36). La visite des malades et des personnes âgées est une charge qui incombe à toute communauté de chrétiens et particulièrement à la communauté paroissiale.
Sans doute la visite du prêtre a-t-elle un impact particulier près d’un malade chrétien, car il espère du ministre de Jésus Christ une parole qui, à ses yeux, aura plus de poids que celle d’un autre de ses frères, mais ceux-ci doivent se sentir concernés. Il est d’ailleurs des milieux où des laïcs pénètrent plus facilement que le prêtre, car on n’y attend rien de son sacerdoce. Il est souhaitable qu’on ne s’en remette pas à la bonne volonté générale mais que, dans chaque paroisse, il y ait un service des malades et des personnes âgées, chargé de coordonner les initiatives individuelles. Le rôle des femmes y est capital.