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Retrouvez toutes les communautés religieuses présentes et vivantes dans les Vosges
Le 31 mai 2009, le diocèse de Saint-Dié s'est donné de nouvelles orientations pour une dynamique nouvelle au service de l'Evangile
Afin d’animer au mieux cette journée mondiale, le service des Vocations met à disposition des équipes : un dossier complet d’animation des affiches sur les différentes vocations un kakemono, panneau d’affichage mobile à réserver pour un ou plusieurs dimanches.
Contact :
Pierre Mathieu
Tél : XX.XX.XX.XX.XX
Prière pour les vocations – Année 2011Dieu notre Père,
Nous te rendons grâces
Car tu fais vivre ton Église
Dans des communautés fraternelles.Que ton Esprit Saint
Ouvre nos cœurs
Aux dimensions du monde.Accorde-nous de savoir accueillir
Les prêtres, diacres et consacrés
Que tu nous donnesConduis-nous sur le chemin
Qui nous dispose à répondre,
Libres et joyeux,
A l’appel du Christ.AMEN
« La capacité à cultiver les vocations est un signe caractéristique de la vitalité d’une Église Locale. »
Le Pape invite à relire comment Jésus lui-même a appelé des disciples dès le début de sa vie publique. En les appelant, Jésus leur a permis « d’entrer dans son amitié, d’écouter sa Parole et de vivre avec lui. »
Il rappelle que « le Seigneur ne manque pas d’appeler à tous les âges de la vie, à prendre part à sa mission, par le ministère ordonné ou la vie consacrée » et l’Église « est appelée à garder ce don, à l’estimer, à l’aimer : elle est responsable de la naissance et de la maturation des vocations sacerdotales » (Jean-Paul II, Pastores dabo vobis 41)
« Chaque communauté chrétienne, rappelle Benoit XVI, chaque fidèle, devrait accomplir consciencieusement son engagement pour la promotion des vocations ». « Il est important que chaque Église locale (le diocèse) se fasse toujours plus sensible et attentive à la pastorale des vocations ».
Benoit XI encourage les groupes qui accompagnent les jeunes à développer pour eux, une amitié avec le Christ dans la prière personnelle et liturgique, à « entrer dans une familiarité croissante » avec la Parole de Dieu. Pour le Pape, « entrer dans la Volonté de Dieu n’annihile ni ne détruit la personne mais permet de découvrir et de suivre la vérité la plus profonde sur soi. »
« Proposer les vocations dans l’Église locale, signifie avoir le courage d’indiquer (…) ce chemin exigeant à la suite du Christ qui engage toute une vie, tellement elle est riche de sens. »
Tout cela grâce notamment à ces acteurs qui oeuvrent grâce à vos dons.
Découvrez dans la vidéo "j'y crois" des témoignages bien réels et 100 % vosgiens de la réalité de cette vitalité de l'Eglise dans les Vosges.
C'est aussi votre générosité qui rend cela possible.
Augustin Baroi est responsable Caritas du programme « Gestion des ressources naturelles » au Bangladesh depuis 22 ans..Fort de son expérience, le délégué du Secours catholique interviendra exceptionnellement mercredi 18 mai à 20h30 à la maison diocésaine (Epinal) sur le thème « Partenaires ici et là-bas pour construire des sociétés plus justes ».
Tous les chrétiens sont invités à cette fête de la mission de 10h à 18h salle Saint Luc, place de la République.
Thème annuel : l'Océanie
Programme de la journée :
- 10h : accueil
- 10h30 à 12h : rencontre avec Mgr Mathieu, les missionnaires et la Coopération Missionnaire
- 12h : repas tiré du sac
- 14h : rencontre et dialogue avec les missionnaires
- 17h : goûter et préparation de la messe
- 18h : célébration de l'Eucharistie en l'église Saint-Luc, avec Mgr Mathieu et les missionnaires
Sœur Régine du Charlat est intervenue mardi 18 janvier 2011 à la maison diocésaine d’Épinal sur le thème “annoncer Jésus-Christ aujourd’hui, comment passer de l’implicite à l’explicite ?”. Cette journée d’échanges et de réflexion avait rassemblé de nombreux laïcs en mission ecclésiale. Église dans les Vosges vous propose de découvrir un extrait du discours de Régine du Charlat. Parce que trouver sa propre parole de foi n’est pas évident, voici de belles idées.
Une nécessité et une responsabilité.
Les Évangélistes nous ont livré ce qu’ils ont retenu de leur rencontre avec la “Parole faite chair”. Ils ont écouté, ils ont entendu et retenu l’écho de la Parole qui leur était adressée. Paul, lui, n’a rencontré le Christ que dans l’expérience bouleversante de la foi. Tous - et avec eux bien d’autres disciples - ont eu à cœur de transmettre cette Parole, d’écho en écho, pour qu’en tous elle résonne et donne la vie.
“Et vous, que dites-vous ?” Cette parole, Jésus nous l’adresse aujourd’hui. Il l’adresse à l’Église, il l’adresse à chacun d’entre nous. Le premier écho en nous, c’est la foi. La Parole qui donne vie nous fait vivre à notre tour. Immense don de la foi ! Écho fondamental de la Parole de Dieu qui va nous donner d’en vivre et, à notre tour de le communiquer.
Un contexte difficile
Or, nous faisons l’expérience que cette communication est très difficile aujourd’hui, y compris en nous-mêmes. Il nous faut d’abord essayer de comprendre pourquoi. Le paysage culturel et religieux dans lequel nous nous inscrivons aujourd’hui est complexe.
Il y a d’une part ceux pour qui le langage religieux, tout particulièrement le langage de l’Église, est devenu étranger. Le temps n’est plus à l’hostilité ou au mépris, mais plutôt à la perplexité devant un discours dont on ne perçoit pas la pertinence et qui engendre très vite, en conséquence, une large indifférence devant une réalité sur laquelle on n’a aucune prise. Il ne s’agit nullement d’une indifférence les uns aux autres, à ce qui nous lie dans une commune humanité mais, à proprement parler, de l’indifférence religieuse. Le religieux est hors champ ; on n’est ni pour ni contre, on est ailleurs.
D’autre part, il y a ceux, de plus en plus nombreux aujourd’hui, qui développent une sensibilité religieuse nouvelle, sans rattachement à une tradition particulière. La tendance est plutôt souvent à l’adoption et l’utilisation libre de rites ou de paroles appartenant à des traditions spirituelles diverses. Les chrétiens font là une expérience douloureuse et paradoxale : ils s’éprouvent proches et fraternels de tous mais ils sont eux-mêmes éprouvés comme une tribu étrange, dès lors qu’ils se risquent à exprimer leurs raisons de croire et leurs raisons de vivre.
Il y a peut-être plus grave encore. Car l’Église a probablement elle-même marginalisé de très nombreux croyants, en leur proposant un modèle de chrétien trop exclusivement “militant” ou “savant”. Ils ne peuvent se reconnaître dans un tel modèle. Alors ils perdent confiance en leur propre foi. A la fi n, ils deviennent muets et se mettent à douter de ce qui vit peut-être encore en eux mais qu’ils ne peuvent plus nommer.
Une œuvre créatrice
Parler n’est pas répéter, même si parfois l’expérience peut nous le laisser croire. Une parole n’est jamais répétitive si elle est habitée. “Je t’aime” ou “bonjour” le prouvent s’ils sont vraiment habités.
Pour donner un écho à la Parole de Dieu, nous disposons certes du langage de la Tradition, de la théologie, de la liturgie, souvent aussi d’écrits ou de témoignages qui nourrissent notre foi. Ils pourront peut-être parler à d’autres si nous nous les approprions et les transmettons. Cela ne suffi ra pas si nous n’accomplissons pas l’œuvre de trouver notre propre parole de foi pour la livrer neuve d’avoir recueilli en nous l’écho de la Parole de Dieu dans son infatigable nouveauté.
La parole juste
Attention ! Exigeant ne veut pas dire inatteignable. Juste ne veut pas dire savant. L’exigence est dans l’invitation à œuvrer soi-même mais il n’est pas interdit d’utiliser des paroles empruntées si elles nous parlent. Pour autant, l’œuvre de parler ne sera pas faite à notre place. La parole juste se révèlera dans la double attention à être fidèle à l’Évangile, écouté dans la foi, et à entrer dans une véritable et vivante communication avec autrui.
N’oublions pas non plus qu’il n’y a pas que les mots pour parler. Il y a tout un art de vivre et même l’art tout court. La parole dans tous ses états : la voix, le chant et la musique, la table et le repas, le jardin, le vêtement, la couleur… et “par-dessus tout, la charité”. Enfin - mais il y aurait bien d’autres remarques à faire - n’oublions pas la dimension collective, sociale, institutionnelle de la parole de foi. Passer “de l’implicite à l’explicite”, comme le pro- posait récemment le diocèse de Saint-Dié, révèle bien le désir de donner un écho de l’Évangile, audible aujourd’hui et reçu vraiment comme Bonne Nouvelle.
Régine du Charlat
La paroisse Sainte Jeanne d’Arc et Saint Elophe propose de fêter Sainte Jeanne d’Arc à Domrémy-la-Pucelle les 7 et 8 mai 2011 sous la présidence de Mgr Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié et Mgr Paul-Marie Guillaume, évêque émérite de Saint-Dié.
Au programme:
Samedi 7 mai
Dimanche 8 mai
Pour plus d'informations :
Presbytère de Domrémy
Tél : XX.XX.XX.XX.XX
