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Le 31 mai 2009, le diocèse de Saint-Dié s'est donné de nouvelles orientations pour une dynamique nouvelle au service de l'Evangile


08/01 /10 Etre pèlerin, avec Saint Paul (Infos-Actualités)
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Le service diocésain des pèlerinages vous offre la possibilité de participer à un voyage sur les pas du premier voyage de Saint Paul du lundi 26 avril au mardi 4 mai 2010.

L’accompagnateur sera l’abbé Carillon, grand habitué et fin connaisseur de ce pèlerinage.

Informations
Pré-inscriptions :

Marie-France Georgel
Tél. : XX.XX.XX.XX.XX - tous les jours de 10h à 12h et de 14h à 16h

Découvrez le programme de ce pèlerinage


05/01 /10 Haiti : appel à la prière et au partage (Infos-Actualités)
« J’ai entendu le cri de mon peuple… » Message de Mgr Garnier et Mgr Stenger

Une fois de plus, Haïti est blessé ! Le tremblement de terre qui vient de toucher Haïti et plus particulièrement Port au Prince, déclenche une attention, une générosité sans précédent. Avec le Secours Catholique, le CCFD, et bien d’autres organisations, toutes les mobilisations se mettent en place pour être à la fois efficaces dans l’urgence, mais aussi pour engager un avenir dans la relance de la vie quotidienne et d’une reconstruction.

L’accueil et les soins pour des nombreux blessés, la poursuite des recherches dans les gravats, le décompte des dizaines de milliers de morts, les réponses aux besoins d’urgence, eau, nourriture, soins vont appeler dans la durée des moments d’attention et de générosité de nos communautés et de la communauté internationale. Aux côtés du peuple Haïtien et de l’Eglise d’Haïti, notre solidarité doit être sans faille. Les nombreux liens historiques qui unissent Haïti et la France se trouvent renforcés dans l’épreuve. La prière et la communion avec nos frères haïtiens seront aussi l’expression indispensable de notre fraternité chrétienne. Samedi 16 janvier à 18 h 30 une messe sera célébrée à Notre-Dame de Paris. Nous sommes invités à nous donner partout le rendez-vous de la prière, dans les diocèses, dans les paroisses, dans les communautés. La communion dans la prière est irremplaçable au milieu de notre recherche d’information et de la mise en place du partage et de la solidarité. Cette solidarité aussi à vivre avec les nombreux haïtiens présents dans nos communautés ici en France.

Mgr François Garnier, archevêque de Cambrai Président de la Commission épiscopale de la Mission Universelle.

Mgr Marc Stenger, évêque de Troyes, Chargé des relations avec l’Amérique latine et les Caraïbes.

02/01 /10 « Si tu veux construire la paix, protège la création », thème du message du Pape pour la Journée mondiale de la Paix (01/01/2010) (Infos-Actualités)
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A l'occasion de la 43è Journée mondiale de la Paix, celébrée le 1er janvier 2010, le Pape Benoit XVI a mis à la disposition des communautés son message.

Accédez à l'intégralité du message

Ou découvrez de larges extraits Les intertitres sont de la rédaction du site

Renforcer l’alliance entre l’être humain et l’environnement

Le respect de la création revêt une grande importance, car «la création est le début et le fondement de toutes les œuvres de Dieu» et, aujourd’hui, sa sauvegarde devient essentielle pour la coexistence pacifique de l’humanité. Si, en effet, à cause de la cruauté de l’homme envers l’homme, nombreuses sont les menaces qui mettent en péril la paix et le développement intégral authentique de l’homme – guerres, conflits internationaux et régionaux, actes terroristes et violations des droits de l’homme – les menaces engendrées par le manque d’attention – voire même par les abus – vis-à-vis de la terre et des biens naturels, qui sont un don de Dieu, ne sont pas moins préoccupantes. C’est pour cette raison qu’il est indispensable que l’humanité renouvelle et renforce «l’alliance entre l’être humain et l’environnement, qui doit être le miroir de l’amour créateur de Dieu, de qui nous venons et vers qui nous allons».

Un profond impact sur l’exercice des droits humains

En 1990, Jean-Paul II parlait de «crise écologique» et, en soulignant que celle-ci avait un caractère principalement éthique, il indiquait «la nécessité morale urgente d’une solidarité nouvelle».[7] Cet appel est encore plus pressant aujourd’hui, face aux manifestations croissantes d’une crise qu’il serait irresponsable de ne pas prendre sérieusement en considération. Comment demeurer indifférents face aux problématiques qui découlent de phénomènes tels que les changements climatiques, la désertification, la dégradation et la perte de productivité de vastes surfaces agricoles, la pollution des fleuves et des nappes phréatiques, l’appauvrissement de la biodiversité, l’augmentation des phénomènes naturels extrêmes, le déboisement des zones équatoriales et tropicales? Comment négliger le phénomène grandissant de ce qu’on appelle les «réfugiés de l’environnement»: ces personnes qui, à cause de la dégradation de l’environnement où elles vivent, doivent l’abandonner – souvent en même temps que leurs biens – pour affronter les dangers et les inconnues d’un déplacement forcé? Comment ne pas réagir face aux conflits réels et potentiels liés à l’accès aux ressources naturelles? Toutes ces questions ont un profond impact sur l’exercice des droits humains, comme par exemple le droit à la vie, à l’alimentation, à la santé, au développement.

Une révision du modèle de développement

Il faut considérer que la crise écologique ne peut être appréhendée séparément des questions qui s’y rattachent, étant profondément liée au concept même de développement et à la vision de l’homme et de ses relations avec ses semblables et avec la création. Il est donc sage d’opérer une révision profonde et perspicace du modèle de développement, et de réfléchir également sur le sens de l’économie et de ses objectifs, pour en corriger les dysfonctionnements et les déséquilibres. L’état de santé écologique de la planète l’exige; la crise culturelle et morale de l’homme le requiert aussi et plus encore, crise dont les symptômes sont évidents depuis un certain temps partout dans le monde.[8] L’humanité a besoin d’un profond renouvellement culturel; elle a besoin de redécouvrir les valeurs qui constituent le fondement solide sur lequel bâtir un avenir meilleur pour tous.

S'opposer aux modes d'exploitations nuisibles

Quand on utilise des ressources naturelles, il faut se préoccuper de leur sauvegarde, en en prévoyant aussi les coûts – en termes environnementaux et sociaux –, qui sont à évaluer comme un aspect essentiel des coûts mêmes de l’activité économique. Il revient à la communauté internationale et aux gouvernements de chaque pays de donner de justes indications pour s’opposer de manière efficace aux modes d’exploitation de l’environnement qui lui sont nuisibles. Pour protéger l’environnement, pour sauvegarder les ressources et le climat, il convient, d’une part, d’agir dans le respect de normes bien définies, également du point de vue juridique et économique, et, d’autre part, de tenir compte de la solidarité due à ceux qui habitent les régions plus pauvres de la terre et aux générations futures.

L'urgence d'une solidarité intergénérationnelle

Les coûts découlant de l’usage des ressources environnementales communes ne peuvent être à la charge des générations futures: «Héritiers des générations passées et bénéficiaires du travail de nos contemporains, nous avons des obligations envers tous, et nous ne pouvons nous désintéresser de ceux qui viendront agrandir après nous le cercle de la famille humaine. La solidarité universelle qui est un fait, et un bénéfice pour nous, est aussi un devoir. Il s’agit d’une responsabilité que les générations présentes ont envers les générations à venir, une responsabilité qui appartient aussi aux Etats individuellement et à la Communauté internationale ».[17] L’usage des ressources naturelles devrait être tel que les avantages immédiats ne comportent pas de conséquences négatives pour les êtres vivants, humains et autres, présents et futurs; que la sauvegarde de la propriété privée ne fasse pas obstacle à la destination universelle des biens;[18] que l’intervention de l’homme ne compromette pas la fécondité de la terre, pour le bien d’aujourd’hui et celui de demain. Au-delà d’une loyale solidarité intergénérationnelle, l’urgente nécessité morale d’une solidarité intra-générationnelle renouvelée doit être réaffirmée, spécialement dans les relations entre les pays en voie de développement et les pays hautement industrialisés: «la communauté internationale a le devoir impératif de trouver les voies institutionnelles pour réglementer l’exploitation des ressources non renouvelables, en accord avec les pays pauvres, afin de planifier ensemble l’avenir».[19] La crise écologique montre l’urgence d’une solidarité qui se déploie dans l’espace et le temps.

l’éducation à une responsabilité écologique

L’Église a une responsabilité vis-à-vis de la création et elle pense qu’elle doit l’exercer également dans le domaine public, pour défendre la terre, l’eau et l’air, dons du Dieu Créateur à tous, et, avant tout, pour protéger l’homme du danger de sa propre destruction. La dégradation de la nature est, en effet, étroitement liée à la culture qui façonne la communauté humaine, c’est pourquoi «quand l’“écologie humaine” est respectée dans la société, l’écologie proprement dite en tire aussi avantage».[27] On ne peut exiger des jeunes qu’ils respectent l’environnement, si on ne les aide pas, en famille et dans la société, à se respecter eux-mêmes: le livre de la nature est unique, aussi bien à propos de l’environnement que de l’éthique personnelle, familiale et sociale.[28] Les devoirs vis-à-vis de l’environnement découlent des devoirs vis-à-vis de la personne considérée en elle-même, et en relation avec les autres. J’encourage donc volontiers l’éducation à une responsabilité écologique, qui, comme je l’ai indiqué dans l’encyclique Caritas in veritate, préserve une authentique «écologie humaine», et affirme ensuite avec une conviction renouvelée l’inviolabilité de la vie humaine à toutes ses étapes et quelle que soit sa condition, la dignité de la personne et la mission irremplaçable de la famille, au sein de laquelle on est éduqué à l’amour envers le prochain et au respect de la nature.[29]

Perplexité de l'Eglise face à une conception de l’environnement qui s’inspire de l’éco-centrisme et du bio-centrisme

Enfin, un fait hautement significatif à ne pas oublier est que beaucoup trouvent la tranquillité et la paix, se sentent renouvelés et fortifiés, lorsqu’ils sont en contact étroit avec la beauté et l’harmonie de la nature. Il existe donc une sorte de réciprocité: si nous prenons soin de la création, nous constatons que Dieu, par l’intermédiaire de la création, prend soin de nous. Par ailleurs, une conception correcte de la relation de l’homme avec l’environnement ne conduit pas à absolutiser la nature ni à la considérer comme plus importante que la personne elle-même. Si le Magistère de l’Église exprime sa perplexité face à une conception de l’environnement qui s’inspire de l’éco-centrisme et du bio-centrisme, il le fait parce que cette conception élimine la différence ontologique et axiologique qui existe entre la personne humaine et les autres êtres vivants. De cette manière, on en arrive à éliminer l’identité et la vocation supérieure de l’homme, en favorisant une vision égalitariste de la «dignité» de tous les êtres vivants. On se prête ainsi à un nouveau panthéisme aux accents néo-païens qui font découler le salut de l’homme de la seule nature, en son sens purement naturaliste. L’Église invite au contraire à aborder la question de façon équilibrée, dans le respect de la «grammaire» que le Créateur a inscrite dans son œuvre, en confiant à l’homme le rôle de gardien et d’administrateur responsable de la création, rôle dont il ne doit certes pas abuser, mais auquel il ne peut se dérober.

Au coeur de tout homme et de toute femme

J’invite tous les croyants à élever leur fervente prière vers Dieu, Créateur tout-puissant et Père miséricordieux, afin qu’au cœur de tout homme et de toute femme résonne, soit accueilli et vécu cet appel pressant: Si tu veux construire la paix, protège la création.

Du Vatican, le 8 décembre 2009.

01/01 /10 Meilleurs voeux aux internautes (Infos-Actualités)
Bonne année à tous les visiteurs du site de l'Eglise catholique des Vosges. Puisse cette nouvelle année vous apporter joie, santé, fraternité.

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Ajoutons également un zest de pétillance, de nouveautés et de découvertes...Et, pour cela, vous pourrez compter sur http://www.catholique-vosges.fr tout au long de l'année !

Merci aux 6398 visiteurs uniques du site en décembre 2009. Soyons de plus en plus nombreux, chaque mois en 2010.

Belle et heureuse année à chacune et chacun.

28/12 /09 Haltes spirituelles à Portieux (Infos-Actualités)
Les sœurs de la Providence proposent des journées thématiques tout au long de l’année : sessions, haltes spirituelles et retraites.

La première halte consistera en une initiation à la prière ignatienne avec Michel Roger, jésuite.
Elle se déroulera du samedi 13 février 9h30 au dimanche 14 février 16h.

Contacts et renseignements :
- Sœur Thi Hao : par Tél XX.XX.XX.XX.XX ou par courriel xxx@xxx.xx
- Sœur Ève Marie : par Tél XX.XX.XX.XX.XX ou par courriel xxx@xxx.xx.


Logo

Le programme annuel est à disposition à l’accueil Sainte Anne :

Sœurs de la Providence
Accueil Sainte Anne
21 rue Eugène Huraux
88330 Portieux

Vous avez également la possibilité de télécharger le programme ci-dessous : logo logo



28/12 /09 Tsunami de 2004 : bilan du Secours Catholique (Infos-Actualités)
Tsunami du 26 décembre 2004 : Cinq ans d’engagement du Secours Catholique-Caritas France aux côtés des populations victimes

Cinq ans après le tsunami qui a fait des centaines de milliers de victimes en Asie du Sud-Est, le Secours Catholique-Caritas France achève actuellement ses programmes au Sri Lanka, en Inde et en Indonésie. Cet engagement de cinq ans représente le plus grand chantier de réhabilitation de l’histoire de l’association, mené en lien avec ses partenaires locaux. Il s’est fait dans trois domaines prioritaires : réponse à l’urgence les premiers mois, reconstruction des infrastructures, et enfin relance des activités socio-économiques afin de redonner les moyens aux communautés de se projeter dans l’avenir. Cette stratégie globale d’intervention a par ailleurs intégré une préparation indispensable des populations aux urgences, afin qu’une autre catastrophe ne produise pas les mêmes effets.

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A la fin de l’année 2009, les fonds collectés par le Secours Catholique-Caritas France s’élèvent à 38,2 millions d’euros. Ils ont été engagés à 49% sur le Sri Lanka, 25,6% sur l’Indonésie, 24,6% sur l’Inde et 0,8% sur la Thaïlande. Sur ces fonds, 36 millions d’euros ont été consacrés aux victimes du tsunami et à leurs communautés, et 2,2 millions d’euros ont été réaffectés, avec l’accord préalable des donateurs, aux victimes du Darfour.
Dans un souci d’efficacité, une unité opérationnelle spécifique a été créée afin de gérer au mieux les dons. Ce travail, mené de concert avec le réseau Caritas et les partenaires locaux du Secours Catholique, a abouti notamment à la mise en place de 15 600 abris temporaires dans la phase d’urgence, puis à la reconstruction de 26 800 maisons et de 165 écoles. 230 000 personnes ont également bénéficié de programmes de relance économique (microcrédits, formations,…) et d’aide psycho-sociale.
Au total, on dénombre environ 1,4 million de bénéficiaires des actions menées dans les trois pays par le Secours Catholique-Caritas France et ses partenaires au cours des cinq ans. L’intervention du Secours Catholique-Caritas France s’est faite dans trois domaines prioritaires (urgence, reconstruction, relance des activités socio-économiques), en intervenant dans la durée auprès des populations et en collaborant avec des organisations locales partenaires afin de répondre au mieux aux besoins.

Dès les premiers mois, le Secours Catholique-Caritas France a mis en œuvre un premier plan d’action pour répondre à l’urgence : distribution de biens de première nécessité, construction d’abris temporaires, mise en place d’un soutien psychologique.
Après ces premiers secours délivrés, l’organisation et ses partenaires se sont engagés à reconstruire des infrastructures résistantes (maisons et écoles antisismiques), avec l’appui de professionnels dans ce domaine. Ainsi, le 30 septembre 2009, lors du séisme à Padang en Indonésie, plusieurs centaines de familles ont été épargnées car elles avaient été relogées dans des maisons construites selon les normes antisismiques. Une fois les bénéficiaires dans les trois pays relogés, l’objectif principal a été de donner les moyens aux populations d’exercer une activité leur permettant d’assurer leur subsistance.
Des actions de relance économique ont été mises en place (création de micro-entreprises, microcrédit, distribution de matériel, formations,…), principalement dans les secteurs qui ont été les plus touchés par le tsunami, la pêche et l’agriculture.

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